Patricia Erbelding est une artiste française dont l’atelier est basé à Paris. Ses œuvres sont exposées dans des galeries et musées à travers le monde et intègrent de nombreuses collections publiques et privées. Elle est reconnue pour son approche pluridisciplinaire. Peinture, collage, sculpture, photographie et livres d’artiste composent un corpus d’œuvres riche et reconnaissable par sa singularité. Abstraction et réflexion dialoguent sans cesse autour des notions de transformation, de métamorphose et d’évolution liées au temps qui passe.
La parole de l’artiste : une ode au noir
« Rien n’est vraiment noir ou blanc. Peut-être est-ce cette complexité qui rend le noir si fascinant en peinture. Chaque détail, chaque variation devient perceptible et significative : la texture du papier, la technique employée, la densité du noir, le mat ou le brillant. Tout cela compose un langage unique, une calligraphie personnelle.
Les formes que je crée ne sont jamais aléatoires ; elles sont réfléchies, construites, comme une écriture.
Le noir m’évoque tout à la fois la photographie et sa vision en noir et blanc du monde, la gravure et l’imprimerie, une partition musicale.
En peinture il traverse le temps. Il nous transporte de la préhistoire à l’antiquité avec les os d’animaux brulés et la calcination de l’ivoire. Arrivé jusqu’à nous, toujours résolument moderne, on l’associe à la recherche de l’harmonie et de la contemplation avec Malévitch et Aurélie Nemours, mais aussi à une forme de radicalité de l’esthétique qui pousse vers la réflexion et nous entraine vers les infinis de Pierre Soulages.
Le noir s’impose sur la blancheur du papier faisant surgir la lumière. La nuit précède toujours la clarté ».
Cette exposition est une invitation à plonger dans les infinies nuances du noir, entre contemplation, introspection et modernité.
La parole de l’artiste : une ode au noir
« Rien n’est vraiment noir ou blanc. Peut-être est-ce cette complexité qui rend le noir si fascinant en peinture. Chaque détail, chaque variation devient perceptible et significative : la texture du papier, la technique employée, la densité du noir, le mat ou le brillant. Tout cela compose un langage unique, une calligraphie personnelle.
Les formes que je crée ne sont jamais aléatoires ; elles sont réfléchies, construites, comme une écriture.
Le noir m’évoque tout à la fois la photographie et sa vision en noir et blanc du monde, la gravure et l’imprimerie, une partition musicale.
En peinture il traverse le temps. Il nous transporte de la préhistoire à l’antiquité avec les os d’animaux brulés et la calcination de l’ivoire. Arrivé jusqu’à nous, toujours résolument moderne, on l’associe à la recherche de l’harmonie et de la contemplation avec Malévitch et Aurélie Nemours, mais aussi à une forme de radicalité de l’esthétique qui pousse vers la réflexion et nous entraine vers les infinis de Pierre Soulages.
Le noir s’impose sur la blancheur du papier faisant surgir la lumière. La nuit précède toujours la clarté ».
Cette exposition est une invitation à plonger dans les infinies nuances du noir, entre contemplation, introspection et modernité.
Info +
Galerie Marie-Claude Duchosal
1 rue Ferdinand Duval
Paris IV (M° Saint-Paul)
1 rue Ferdinand Duval
Paris IV (M° Saint-Paul)