Hiroshi Sugimoto / Alberto Giacometti © DR
Cette exposition qui fait référence au théâtre sera animée par une sélection de sculptures d’Alberto Giacometti, de photographies et de films de Hiroshi Sugimoto ainsi que de masques Nô anciens de la collection de l’artiste.
Photographe japonais de renommée internationale, Hiroshi Sugimoto, né à Tokyo en 1948, présentera pour la première fois en Europe, cinq œuvres de la série Past Presence (2013 - 2016) ainsi qu’un ensemble de polaroïds réalisés entre 2013 et 2018. Son choix personnel d’œuvres emblématiques de Giacometti sera présenté de façon originale et surprenante.
En 2013, le MoMA de New York invitait Sugimoto à photographier les chefs-d’œuvre du Jardin de sculptures du musée.
Grande Femme III de Giacometti est la première à arrêter son regard. La série Past Presence, centrée sur un choix d’icônes de l’art moderne, interroge la capacité de l’art à rendre présente une force symbolique dans le monde actuel.
La donation faite par l’artiste à la Fondation Giacometti en 2019, porte sur huit photographies réalisées à partir d’œuvres de Giacometti au sein de cette série.
Photographe japonais de renommée internationale, Hiroshi Sugimoto, né à Tokyo en 1948, présentera pour la première fois en Europe, cinq œuvres de la série Past Presence (2013 - 2016) ainsi qu’un ensemble de polaroïds réalisés entre 2013 et 2018. Son choix personnel d’œuvres emblématiques de Giacometti sera présenté de façon originale et surprenante.
En 2013, le MoMA de New York invitait Sugimoto à photographier les chefs-d’œuvre du Jardin de sculptures du musée.
Grande Femme III de Giacometti est la première à arrêter son regard. La série Past Presence, centrée sur un choix d’icônes de l’art moderne, interroge la capacité de l’art à rendre présente une force symbolique dans le monde actuel.
La donation faite par l’artiste à la Fondation Giacometti en 2019, porte sur huit photographies réalisées à partir d’œuvres de Giacometti au sein de cette série.
La série Past Presence (2013 - 2016)
Chaque œuvre est photographiée en noir et blanc dans son contexte de présentation, souvent décentrée dans le cadre.
L’œuvre étant traitée comme une apparition, l’espace représenté n’est pas l’espace réel mais un espace flottant, mental. Selon le propos de l’artiste, le flou, déjà présent dans la série Architecture (1997) sur l’architecture moderne, permet de rendre perceptible l’idée précédant la réalisation. Entravant la vision précise et détaillée de l’œuvre, il tend à susciter chez le spectateur, qui reconnaît l’œuvre photographiée, une réflexion sur la constitution de celle-ci en tant que jalon marquant de la création occidentale.
L’œuvre étant traitée comme une apparition, l’espace représenté n’est pas l’espace réel mais un espace flottant, mental. Selon le propos de l’artiste, le flou, déjà présent dans la série Architecture (1997) sur l’architecture moderne, permet de rendre perceptible l’idée précédant la réalisation. Entravant la vision précise et détaillée de l’œuvre, il tend à susciter chez le spectateur, qui reconnaît l’œuvre photographiée, une réflexion sur la constitution de celle-ci en tant que jalon marquant de la création occidentale.
Informations pratiques
Institut Giacometti
5, rue Victor-Schoelcher
75014 Paris
Ouvert du mardi
au dimanche, 10h – 18h
Fermeture hebdomadaire le lundi
Billetterie sur réservation et sur place (par CB) : fondation-giacometti.fr/fr/billetterie
5, rue Victor-Schoelcher
75014 Paris
Ouvert du mardi
au dimanche, 10h – 18h
Fermeture hebdomadaire le lundi
Billetterie sur réservation et sur place (par CB) : fondation-giacometti.fr/fr/billetterie