Superstudio, Canapé Bazaar, 1968 © C. Toraido di Francia, Superstudio
Le thème choisi est celui du rapport à l’intime et de ses transformations au cours des siècles. Chambre, lits, fauteuils et canapés, paravents, coiffeuses, bourdaloues, chaises percées, baignoires, sex-toys, objets connectés et applications peuplent cette exposition qui explore divers thèmes liés à l’intimité : le sommeil, l’érotisme, la sexualité, la beauté, la toilette, la façon d’être ensemble, la promiscuité ou le désir d’isolement.
À travers douze thématiques, l’exposition s’ouvre sur un gigantesque trou de serrure. Dans une ambiance intimiste, cinq thématiques se déploient dans la galerie côté jardin autour du thème de la femme et l’intime, la chambre, les lieux de commodités, la toilette et la beauté, jusqu’au parfum.
470 œuvres, peintures et photographies, mais aussi objets d’art décoratifs, du quotidien et de design, révèlent comment l’intime a évolué. De la chambre vue par Henri Cartier‑Bresson ou Nan Goldin, des lits en fer forgé du XIXe siècle au lit-clos des Frères Bouroullec, de la chaise percée à l’urinoir pour femmes, des objets de la toilette sèche à la salle de bain, de la beauté aristocratique à la consommation de masse, des livres licencieux aux sex-toys, du walkman aux réseaux sociaux et à l’influence, en passant par les outils de surveillance et de protection, l’exposition montre comment l’intime s’est imposé puis s’est profondément modifié. Les frontières entre privé et public devenues plus floues et poreuses engendrent de nombreux débats.
À travers douze thématiques, l’exposition s’ouvre sur un gigantesque trou de serrure. Dans une ambiance intimiste, cinq thématiques se déploient dans la galerie côté jardin autour du thème de la femme et l’intime, la chambre, les lieux de commodités, la toilette et la beauté, jusqu’au parfum.
470 œuvres, peintures et photographies, mais aussi objets d’art décoratifs, du quotidien et de design, révèlent comment l’intime a évolué. De la chambre vue par Henri Cartier‑Bresson ou Nan Goldin, des lits en fer forgé du XIXe siècle au lit-clos des Frères Bouroullec, de la chaise percée à l’urinoir pour femmes, des objets de la toilette sèche à la salle de bain, de la beauté aristocratique à la consommation de masse, des livres licencieux aux sex-toys, du walkman aux réseaux sociaux et à l’influence, en passant par les outils de surveillance et de protection, l’exposition montre comment l’intime s’est imposé puis s’est profondément modifié. Les frontières entre privé et public devenues plus floues et poreuses engendrent de nombreux débats.
Info+
Musée des Arts décoratifs
107, rue de Rivoli
75001 Paris
Tél. : +33 (0)1 44 55 57 50
Métro : Palais-Royal, Pyramides ou Tuileries
Bus : 21, 27, 39, 68, 69, 72, 95
Du mardi au dimanche de 11h à 18h ; sauf jeudi de 11h à 21h
Fermeture des caisses à 17h15 ; le jeudi à 20h15
107, rue de Rivoli
75001 Paris
Tél. : +33 (0)1 44 55 57 50
Métro : Palais-Royal, Pyramides ou Tuileries
Bus : 21, 27, 39, 68, 69, 72, 95
Du mardi au dimanche de 11h à 18h ; sauf jeudi de 11h à 21h
Fermeture des caisses à 17h15 ; le jeudi à 20h15