Plasticien, costumier, scénographe, danseur, commissaire d’exposition et nouveau directeur du Centre chorégraphique de Montpellier, Christian Rizzo est un artiste pluridisciplinaire. C’est en tant que chorégraphe qu’il synthétise les multiples facettes de son art. Il explore tous les possibles de l’espace et du corps : des terrains inépuisables.
En avril dernier, LUX hors les murs proposait, à la Bourse du travail, une installation de Christian Rizzo et Iuan Hau Chiang, née d’une collaboration au Fresnoy, studio des arts contemporains. Cette double installation signe l’intérêt de Christian Rizzo pour les rencontres entre les disciplines. Avant d’être chorégraphe et danseur, interprète auprès de nombreux chorégraphes contemporains (Mathilde Monnier, Mark Tompkins, Georges Appaix,…) Christian Rizzo a été musicien de rock, créateur de vêtements, s’est formé aux arts plastiques.
Dans le cadre de « l’association fragile », une trentaine de productions ont vu le jour : performances, objets dansants et pièces solos ou de groupes en alternance avec d’autres projets hybrides ou commandes pour la mode, l’opéra et les arts plastiques. Lorsqu’il présente avec Bernard Blistène l’exposition Le Sort probable de l’homme qui avait avalé un fantôme à la Conciergerie (Paris, dans le cadre du Nouveau Festival du Centre Pompidou), il met en scène une cinquantaine d’œuvres contemporaines (sculptures, objets, accessoires, photographies) qui interrogent les enjeux de la représentation du corps, les notions d’apparition et de disparition. Des thèmes récurrents que l’artiste aime à creuser et qui transcendent tous les domaines de l’art.
Pour LUX Scène nationale, espace pluriel (plateau, galerie, cinéma) invitant tant à la circulation des œuvres qu’à la contemplation, Christian Rizzo proposera une forme de cabinet de curiosités, avec ses œuvres (notamment 100 % polyesther), en conviant plusieurs artistes à ses côtés, comme sa collaboratrice Sophie Laly, réunissant des pièces qui interrogent corps et mouvements, paysages naturels ou numériques… toutes représentations visuelles. Même si on ne trouve pas d’image dans ses pièces, le visuel est pour le chorégraphe un puissant support d’imagination, dont on peut retrouver des traces sur scène, et par lesquelles on peut voir la forte inspiration de la mode et de la musique dans son travail.
La Comédie de Valence propose D’après une histoire vraie, chorégraphie de Christian Rizzo les 24 et 25 mars
LUX propose C’est l’œil que tu protèges qui sera perforé, chorégraphie de Christian Rizzo le 28 mai
En avril dernier, LUX hors les murs proposait, à la Bourse du travail, une installation de Christian Rizzo et Iuan Hau Chiang, née d’une collaboration au Fresnoy, studio des arts contemporains. Cette double installation signe l’intérêt de Christian Rizzo pour les rencontres entre les disciplines. Avant d’être chorégraphe et danseur, interprète auprès de nombreux chorégraphes contemporains (Mathilde Monnier, Mark Tompkins, Georges Appaix,…) Christian Rizzo a été musicien de rock, créateur de vêtements, s’est formé aux arts plastiques.
Dans le cadre de « l’association fragile », une trentaine de productions ont vu le jour : performances, objets dansants et pièces solos ou de groupes en alternance avec d’autres projets hybrides ou commandes pour la mode, l’opéra et les arts plastiques. Lorsqu’il présente avec Bernard Blistène l’exposition Le Sort probable de l’homme qui avait avalé un fantôme à la Conciergerie (Paris, dans le cadre du Nouveau Festival du Centre Pompidou), il met en scène une cinquantaine d’œuvres contemporaines (sculptures, objets, accessoires, photographies) qui interrogent les enjeux de la représentation du corps, les notions d’apparition et de disparition. Des thèmes récurrents que l’artiste aime à creuser et qui transcendent tous les domaines de l’art.
Pour LUX Scène nationale, espace pluriel (plateau, galerie, cinéma) invitant tant à la circulation des œuvres qu’à la contemplation, Christian Rizzo proposera une forme de cabinet de curiosités, avec ses œuvres (notamment 100 % polyesther), en conviant plusieurs artistes à ses côtés, comme sa collaboratrice Sophie Laly, réunissant des pièces qui interrogent corps et mouvements, paysages naturels ou numériques… toutes représentations visuelles. Même si on ne trouve pas d’image dans ses pièces, le visuel est pour le chorégraphe un puissant support d’imagination, dont on peut retrouver des traces sur scène, et par lesquelles on peut voir la forte inspiration de la mode et de la musique dans son travail.
La Comédie de Valence propose D’après une histoire vraie, chorégraphie de Christian Rizzo les 24 et 25 mars
LUX propose C’est l’œil que tu protèges qui sera perforé, chorégraphie de Christian Rizzo le 28 mai
Pratique
LUX 2.0 Scène Nationale
36, boulevard du Général de Gaulle
26000 Valence
04 75 82 44 15
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