Francesca Caruana © DR
Il s’agit d’un ensemble d’œuvres comprenant une courte période surréalisante libératoire d’un certain parti pris conceptuel qui l’avait précédée, suivie d’un ancrage dans la couleur affirmé pendant les vingt dernières années, selon des thématiques liées à l’eau, à l’espace et aux arts exogènes.
La sélection ne suit pas une datation chronologique mais une logique visuelle adaptée aux espaces d’exposition. En ce sens, une décennie d’œuvres ne s’y trouve pas.
Du papier à la bâche plastique, en passant par l’installation d’objets, d’os, la radiographie ou la pâte à papier, Francesca Caruana a exploré de nombreux supports, objets trouvés, dont les axes conducteurs sont le tracé, la gestualité et la spatialisation. Chacun d’entre eux explore la logique du matériau, et tous sont liés aux caractères qu’impose la surface ou le volume. En ce sens, elle utilise parfois son principe de « peintures installées », où les objets posés au sol complémentent l’espace vertical du regard.
A la fin cette exposition un catalogue sera publié aux éditions Paraules.
Remerciements à Joséphine Matamoros, conservatrice en chef du patrimoine, pour le co-commissariat de l’exposition.
acentmetresducentredumonde
3, avenue de Grande Bretagne
66000 Perpignan
Tél : 04 68 34 14 35
contact@acmcm.fr
www.acentmetresducentredumonde.com
Vernissage : Vendredi 7 mars à partir de 18h30
La sélection ne suit pas une datation chronologique mais une logique visuelle adaptée aux espaces d’exposition. En ce sens, une décennie d’œuvres ne s’y trouve pas.
Du papier à la bâche plastique, en passant par l’installation d’objets, d’os, la radiographie ou la pâte à papier, Francesca Caruana a exploré de nombreux supports, objets trouvés, dont les axes conducteurs sont le tracé, la gestualité et la spatialisation. Chacun d’entre eux explore la logique du matériau, et tous sont liés aux caractères qu’impose la surface ou le volume. En ce sens, elle utilise parfois son principe de « peintures installées », où les objets posés au sol complémentent l’espace vertical du regard.
A la fin cette exposition un catalogue sera publié aux éditions Paraules.
Remerciements à Joséphine Matamoros, conservatrice en chef du patrimoine, pour le co-commissariat de l’exposition.
acentmetresducentredumonde
3, avenue de Grande Bretagne
66000 Perpignan
Tél : 04 68 34 14 35
contact@acmcm.fr
www.acentmetresducentredumonde.com
Vernissage : Vendredi 7 mars à partir de 18h30
Francesca Caruana
Francesca Caruana © DR
Née à Casablanca, Francesca Caruana est d’origine maltaise, elle vit et peint dans le Roussillon.
Marquée par sa culture méditerranéenne, elle suit d’abord une formation aux beaux-arts de Montpellier puis à l’université de Paris I-Sorbonne tout en travaillant comme professeur d’arts plastiques, avant d’être titulaire d’un doctorat de sémiotique de l’art et de devenir enseignant-chercheur à l’université du Mirail à Toulouse puis à l’université de Perpignan.
La couleur, le dessin et les matériaux variés font écho aux références artistiques qui sont sa toile de fond comme Matisse, l’Arte Povera, la peinture italienne du XVe siècle… Ces références accompagnent une liberté de croisements entre peintures, installations, écritures, détournements d’objets particulièrement présents depuis son travail avec les artistes Kanak de Nouvelle-Calédonie, où elle a réalisé une exposition au Centre Tjibaou de Nouméa.
Invitée dans le programme des artistes-graveurs par le ministère de la culture flamande, elle a fait de la gravure plusieurs années dans l’atelier Lacourière-Frélaut, taille-doucier de Picasso où elle a côtoyé l’artiste Dado.
Dès 1993, elle crée un spectacle multimédia à partir d’une goutte d’eau fuyant du robinet de son atelier, Foule-eau-up, suivi plus tard de Diablitos-1994, Deux bouches à oreilles, La clef des chants…
Toujours en quête de lier les disciplines entre elles, elle est lauréate des ateliers de création de Radio-France pour une série radiophonique sur la peinture, Balades en couleurs.
En tant qu’enseignant chercheur elle a créé le cycle d’expositions-débat « Questions d’art » en partenariat avec la DRAC LR de 2008 à 2018 où elle invite Dominique Gauthier, Alain Clément, Nicolas Daubanes, J-M. Meurice, Artur Heras….
Marquée par sa culture méditerranéenne, elle suit d’abord une formation aux beaux-arts de Montpellier puis à l’université de Paris I-Sorbonne tout en travaillant comme professeur d’arts plastiques, avant d’être titulaire d’un doctorat de sémiotique de l’art et de devenir enseignant-chercheur à l’université du Mirail à Toulouse puis à l’université de Perpignan.
La couleur, le dessin et les matériaux variés font écho aux références artistiques qui sont sa toile de fond comme Matisse, l’Arte Povera, la peinture italienne du XVe siècle… Ces références accompagnent une liberté de croisements entre peintures, installations, écritures, détournements d’objets particulièrement présents depuis son travail avec les artistes Kanak de Nouvelle-Calédonie, où elle a réalisé une exposition au Centre Tjibaou de Nouméa.
Invitée dans le programme des artistes-graveurs par le ministère de la culture flamande, elle a fait de la gravure plusieurs années dans l’atelier Lacourière-Frélaut, taille-doucier de Picasso où elle a côtoyé l’artiste Dado.
Dès 1993, elle crée un spectacle multimédia à partir d’une goutte d’eau fuyant du robinet de son atelier, Foule-eau-up, suivi plus tard de Diablitos-1994, Deux bouches à oreilles, La clef des chants…
Toujours en quête de lier les disciplines entre elles, elle est lauréate des ateliers de création de Radio-France pour une série radiophonique sur la peinture, Balades en couleurs.
En tant qu’enseignant chercheur elle a créé le cycle d’expositions-débat « Questions d’art » en partenariat avec la DRAC LR de 2008 à 2018 où elle invite Dominique Gauthier, Alain Clément, Nicolas Daubanes, J-M. Meurice, Artur Heras….