Dès l’âge de 7ans, mes parents m’offrent mon premier appareil photo, c’est là que l’aventure commence, dans le viseur de mon Polaroïd. Déjà, ce sont les gens que je préférais photographier.
J’aime raconter l’histoire de ces personnages. De montrer qui ils sont, ce qu’ils font.
Des gens célèbres et des anonymes se sont succédé devant mon objectif, et c’est tou-jours avec la même passion que je les ai immortalisés, tous et toutes.
Des sourires, des regards complices, des émotions… saisis dans le cadre de reportages, dans leur environnement. Et ce, pas toujours dans les conditions parfaites que seraient celles d’un studio…
Rien de posé, mais du naturel, au milieu de livres et de vélos, dans un théâtre ou une prison, ou pourquoi pas… dans le fond d’une casserole ou à travers une loupe. Avec toujours un impératif : aller vite. Le style de ces portraits c’est celui d’un journal de PQR, la presse quotidienne régionale, où il faut faire comprendre en une image, une seule, qui sont ces personnes et retransmettre leur trait principaux de caractère. Ces photos ont un peu le rôle d’un « documentaire », où compte aussi l’environnement du « personnage ».
Chercher à capter la nature de quelqu’un est un défi mais c’est une grande satisfaction d’y arriver.
En multipliant les clichés par dizaines, parfois, ou en n’en faisant que quelques uns, et d’un coup, une certitude : «c’est celle-là la bonne. » Sophie Spitéri
J’aime raconter l’histoire de ces personnages. De montrer qui ils sont, ce qu’ils font.
Des gens célèbres et des anonymes se sont succédé devant mon objectif, et c’est tou-jours avec la même passion que je les ai immortalisés, tous et toutes.
Des sourires, des regards complices, des émotions… saisis dans le cadre de reportages, dans leur environnement. Et ce, pas toujours dans les conditions parfaites que seraient celles d’un studio…
Rien de posé, mais du naturel, au milieu de livres et de vélos, dans un théâtre ou une prison, ou pourquoi pas… dans le fond d’une casserole ou à travers une loupe. Avec toujours un impératif : aller vite. Le style de ces portraits c’est celui d’un journal de PQR, la presse quotidienne régionale, où il faut faire comprendre en une image, une seule, qui sont ces personnes et retransmettre leur trait principaux de caractère. Ces photos ont un peu le rôle d’un « documentaire », où compte aussi l’environnement du « personnage ».
Chercher à capter la nature de quelqu’un est un défi mais c’est une grande satisfaction d’y arriver.
En multipliant les clichés par dizaines, parfois, ou en n’en faisant que quelques uns, et d’un coup, une certitude : «c’est celle-là la bonne. » Sophie Spitéri
Pratique
Office de Tourisme
Les Allées Provençales
300, avenue Giuseppe Verdi
13100 Aix-en-Provence
T +33 (0)4 42 16 11 61
www.aixenprovencetourism.com
Lundi au samedi 8h30 à 19h (17h les 24 et 31.12) et dimanche 10h à 13h et 14h à 18h
(fermé les 25.12 et 01.01) | Entrée libre
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Lundi au samedi 8h30 à 19h (17h les 24 et 31.12) et dimanche 10h à 13h et 14h à 18h
(fermé les 25.12 et 01.01) | Entrée libre