Brigitte Bardot pour le Jardin des modes, 1950 © Robert Doisneau
En 1949, Michel de Brunhoff, qui dirige le magazine Vogue, passe un contrat d’exclusivité avec Robert Doisneau pour une durée de 3 ans.
Le photographe aux 450 000 négatifs couvrira l’actualité mondaine, fera quelques photos de mode et réalisera des reportages pour raconter la vie en France, accompagné d’Edmonde Charles-Roux, devenue sa rédactrice attitrée. Leur complicité est grande mais la vie de « photographe mondain » ne convient pas à Robert Doisneau qui reprend sa liberté à l’échéance du contrat.
Edmonde Charles-Roux devenue rédactrice en chef du titre, Robert Doisneau continuera pourtant à réaliser jusque dans les années 60 des prises de vues pour Vogue.
Cette importante collection, jamais présentée dans son intégralité, a été revisitée pour composer l’exposition, qui s’accompagne d’un important ouvrage publié aux Éditions Flammarion.
La somptuosité des bals mondains de l’après-guerre, les prises de vues où Brigitte Bardot fait ses débuts de jeune mannequin, Picasso retouchant les photos de mode, les répétitions dans la Rotonde de l’opéra de Paris permettent de découvrir une partie peu connue de l’œuvre du photographe.
À Doisneau qui écrivait « Pendant deux ans j’étais comme le fils du jardinier invité à partager les jeux des enfants du château à condition d’apporter sur le beau monde un regard neuf et une vivacité de dénicheur. », Edmonde Charles-Roux répondait qu’elle l’avait souvent vu comme un enfant devant une vitrine de Noël.
En regardant ses images on découvrira qu’ils n’avaient tort ni l’un, ni l’autre …
Commissariat : Annette Doisneau et Francine Deroudille, Atelier Robert Doisneau
Scénographie : Laurence Fontaine
Le photographe aux 450 000 négatifs couvrira l’actualité mondaine, fera quelques photos de mode et réalisera des reportages pour raconter la vie en France, accompagné d’Edmonde Charles-Roux, devenue sa rédactrice attitrée. Leur complicité est grande mais la vie de « photographe mondain » ne convient pas à Robert Doisneau qui reprend sa liberté à l’échéance du contrat.
Edmonde Charles-Roux devenue rédactrice en chef du titre, Robert Doisneau continuera pourtant à réaliser jusque dans les années 60 des prises de vues pour Vogue.
Cette importante collection, jamais présentée dans son intégralité, a été revisitée pour composer l’exposition, qui s’accompagne d’un important ouvrage publié aux Éditions Flammarion.
La somptuosité des bals mondains de l’après-guerre, les prises de vues où Brigitte Bardot fait ses débuts de jeune mannequin, Picasso retouchant les photos de mode, les répétitions dans la Rotonde de l’opéra de Paris permettent de découvrir une partie peu connue de l’œuvre du photographe.
À Doisneau qui écrivait « Pendant deux ans j’étais comme le fils du jardinier invité à partager les jeux des enfants du château à condition d’apporter sur le beau monde un regard neuf et une vivacité de dénicheur. », Edmonde Charles-Roux répondait qu’elle l’avait souvent vu comme un enfant devant une vitrine de Noël.
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Scénographie : Laurence Fontaine
Pratique
Espace Richaud
78, boulevard de la Reine
78000 Versailles
Tél. : +33 (0)1 30 97 85 15
www.versailles.fr
Du mercredi au dimanche, de 12h à 19h Fermé le lundi et le mardi / dernier accueil du public à 18h30
Fermeture exceptionnelle le jeudi 25 mai 2017
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