Programme
Miroku mardi 15 février à 20h30, mercredi 16 février à 19h30, durée 1 heure
Le solo Miroku porte le nom de la dernière incarnation de bouddha, qui apparaîtra lorsque le monde aura atteint l’harmonie, ultime état qui n’est pourtant jamais ni fixe, ni stable, mais en perpétuel recherche d’équilibre. Dans un écrin de lumière vibrante et atmosphérique digne d’une toile vivante, Saburo Teshigawara évolue en créant une tension, quasi électrique, rendant vivante la relation entre l’homme et son environnement. Il parvient ici à une danse de l’âme, et ainsi à une forme ultime de danse, épopée sublime de l’esprit humain, selon l’un des grands quotidiens nationaux japonais l’Asahi Shimbun.
She vendredi 18 février à 20h30, samedi19 février à 19 h30, durée 1 heure
She est un solo dansé par Rihoko Sato, l'une des principales danseuses de la compagnie KARAS, et assistante artistique de Saburo Teshigawara. Son extrême souplesse ainsi que sa sensibilité exceptionnelle lui ont permis de développer un langage de la danse singulier, allant de la fragilité à l’intensité. Elle incarne une dimension entièrement nouvelle de l'expression physique, en harmonie totale avec l’air, la lumière et la musique, la rendant présente et invisible à la fois.
Mirror and Music, mercredi 23 février à 19h30, jeudi 24 février à 19h30, durée 1 heure 15
Créé à Tokyo en septembre 2009, Mirror and Music est présenté pour la première fois en France. Saburo Teshigawara tente ici de nous faire « voir » la musique, laissant sans arrêt nos yeux et nos oreilles en alerte, guettant tous les mouvements intenses et précis de ses danseurs virtuoses qui vont jusqu’à faire vibrer l’air.
Miroku mardi 15 février à 20h30, mercredi 16 février à 19h30, durée 1 heure
Le solo Miroku porte le nom de la dernière incarnation de bouddha, qui apparaîtra lorsque le monde aura atteint l’harmonie, ultime état qui n’est pourtant jamais ni fixe, ni stable, mais en perpétuel recherche d’équilibre. Dans un écrin de lumière vibrante et atmosphérique digne d’une toile vivante, Saburo Teshigawara évolue en créant une tension, quasi électrique, rendant vivante la relation entre l’homme et son environnement. Il parvient ici à une danse de l’âme, et ainsi à une forme ultime de danse, épopée sublime de l’esprit humain, selon l’un des grands quotidiens nationaux japonais l’Asahi Shimbun.
She vendredi 18 février à 20h30, samedi19 février à 19 h30, durée 1 heure
She est un solo dansé par Rihoko Sato, l'une des principales danseuses de la compagnie KARAS, et assistante artistique de Saburo Teshigawara. Son extrême souplesse ainsi que sa sensibilité exceptionnelle lui ont permis de développer un langage de la danse singulier, allant de la fragilité à l’intensité. Elle incarne une dimension entièrement nouvelle de l'expression physique, en harmonie totale avec l’air, la lumière et la musique, la rendant présente et invisible à la fois.
Mirror and Music, mercredi 23 février à 19h30, jeudi 24 février à 19h30, durée 1 heure 15
Créé à Tokyo en septembre 2009, Mirror and Music est présenté pour la première fois en France. Saburo Teshigawara tente ici de nous faire « voir » la musique, laissant sans arrêt nos yeux et nos oreilles en alerte, guettant tous les mouvements intenses et précis de ses danseurs virtuoses qui vont jusqu’à faire vibrer l’air.
Saburo Teshigawara
Originaire de Tokyo, Saburo Teshigawara entame sa carrière de chorégraphe en 1981, après avoir étudié les arts plastiques et la danse classique. En 1985, il fonde KARAS ((“corbeau“ en japonais) avec la danseuse Kei Miyata. Depuis, KARAS est régulièrement invitée en Europe, Asie, Amérique et Océanie. L’objectif de la compagnie est de chercher “une nouvelle forme de beauté“. Dépassant les classifications conventionnelles ou historiques appliquées à la danse, Saburo Teshigawara a su créer un langage original, qui se démarque autant de la danse moderne que du butô et explore l‘interaction entre la danse, les arts plastiques et la musique, en vue de créer de nouveaux espaces poétiques.
Outre ses créations en solo et pour KARAS, il chorégraphie pour d’autres prestigieuses compagnies. De 1994 à 1995, il crée deux pièces pour le Ballet de Francfort, White Clouds Under the Heels Part I et II. Il signe sa version du Sacre du Printemps pour le Ballet national de Bavière en 1999, crée Modulation pour le Nederlands Dans Theater en 2000, Para-Dice en 2002 puis VACANT en 2006 pour le Ballet du Grand Théâtre de Genève, et AIR pour le Ballet de l’Opéra de Paris en 2003, repris en 2006.
Saburo Teshigawara s’intéresse également aux différentes formes d’arts visuels. Dans chacune de ses créations, il conçoit l’oeuvre dans sa globalité, aussi bien les costumes, les éclairages, le dispositif scénique que la chorégraphie. Parallèlement il crée des installations, dont les récentes Double District ou Fragments of Time (2008), réalise des vidéos (comme le remarqué T-City en 1993), participe à plusieurs films et met en scène l’opéra Turandot de Puccini en 1999 (coproduit par le Bunkamura, Tokyo et le Festival international d'Edimbourg).
Son intérêt pour la musique et ses recherches sur l'espace le conduisent à monter des oeuvres in situ. Ainsi en 1992, il crée NOIJECT, association de noise (bruit) et object (objet) dans un entrepôt désaffecté, puis In: Edit (1996), dans une centrale électrique. En 1999, il présente Triad à la Hayward Gallery et OXYGEN (2002) dans un marché à bétail à Schwaz, Autriche et Bolzano, Italie. Il dirige également des ateliers permanents au studio de KARAS à Tokyo, dans lesquels il encourage et inspire de nombreux jeunes danseurs. En 1995, il lance à Londres, un projet pédagogique appelé S.T.E.P. (Saburo Teshigawara Education Project), avec plusieurs partenaires anglais. En 2004, le Rolex Mentor and Protege Arts Initiative lui demande d'être l'un de ses mentors pour travailler pendant un an avec un jeune danseur de son choix. Depuis 2006, Saburo Teshigawara est professeur au Department of Expression Studies de l'Université St Paul's (Rikkyo) au Japon.
Autres chorégraphies : The Pale Boy et Constellation (1986) ; The Arm of the Blue Sky et The Moon is Quicksilver (1987) ; Saracens (1988 – solo pour Kei Miyata) ; Karada-no-Yume, The Wisdom of Buttons et Ishi-no-Hana [Fleurs de pierre] (1989) ; Blue Meteorite (1990) ; Dah-Dah-Sko-Dah-Dah (1991) ; Season of Burns (1993) ; Q (1997) ; Absolute Zero (1998) ; Night Songs (1999 – solo pour Kei Miyata) ; Light Behind Light (2000) ; Raj Packet (2000/2002) ; Luminous (2001); Green (2003); Bones in Pages (1991/2003), Kazahan (2004). Scream and Whisper (2005).
Outre ses créations en solo et pour KARAS, il chorégraphie pour d’autres prestigieuses compagnies. De 1994 à 1995, il crée deux pièces pour le Ballet de Francfort, White Clouds Under the Heels Part I et II. Il signe sa version du Sacre du Printemps pour le Ballet national de Bavière en 1999, crée Modulation pour le Nederlands Dans Theater en 2000, Para-Dice en 2002 puis VACANT en 2006 pour le Ballet du Grand Théâtre de Genève, et AIR pour le Ballet de l’Opéra de Paris en 2003, repris en 2006.
Saburo Teshigawara s’intéresse également aux différentes formes d’arts visuels. Dans chacune de ses créations, il conçoit l’oeuvre dans sa globalité, aussi bien les costumes, les éclairages, le dispositif scénique que la chorégraphie. Parallèlement il crée des installations, dont les récentes Double District ou Fragments of Time (2008), réalise des vidéos (comme le remarqué T-City en 1993), participe à plusieurs films et met en scène l’opéra Turandot de Puccini en 1999 (coproduit par le Bunkamura, Tokyo et le Festival international d'Edimbourg).
Son intérêt pour la musique et ses recherches sur l'espace le conduisent à monter des oeuvres in situ. Ainsi en 1992, il crée NOIJECT, association de noise (bruit) et object (objet) dans un entrepôt désaffecté, puis In: Edit (1996), dans une centrale électrique. En 1999, il présente Triad à la Hayward Gallery et OXYGEN (2002) dans un marché à bétail à Schwaz, Autriche et Bolzano, Italie. Il dirige également des ateliers permanents au studio de KARAS à Tokyo, dans lesquels il encourage et inspire de nombreux jeunes danseurs. En 1995, il lance à Londres, un projet pédagogique appelé S.T.E.P. (Saburo Teshigawara Education Project), avec plusieurs partenaires anglais. En 2004, le Rolex Mentor and Protege Arts Initiative lui demande d'être l'un de ses mentors pour travailler pendant un an avec un jeune danseur de son choix. Depuis 2006, Saburo Teshigawara est professeur au Department of Expression Studies de l'Université St Paul's (Rikkyo) au Japon.
Autres chorégraphies : The Pale Boy et Constellation (1986) ; The Arm of the Blue Sky et The Moon is Quicksilver (1987) ; Saracens (1988 – solo pour Kei Miyata) ; Karada-no-Yume, The Wisdom of Buttons et Ishi-no-Hana [Fleurs de pierre] (1989) ; Blue Meteorite (1990) ; Dah-Dah-Sko-Dah-Dah (1991) ; Season of Burns (1993) ; Q (1997) ; Absolute Zero (1998) ; Night Songs (1999 – solo pour Kei Miyata) ; Light Behind Light (2000) ; Raj Packet (2000/2002) ; Luminous (2001); Green (2003); Bones in Pages (1991/2003), Kazahan (2004). Scream and Whisper (2005).
Pratique
MC2 : Maison de la culture de Grenoble
4 avenue Paul Claudel
BP 2448
38034 GRENOBLE CEDEX 2
TEL / 04.76.00.79.00
www.mc2grenoble.fr
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