© C. Bruchet
Pour le retour de son exposition internationale en 2016, la Triennale de Milan, via son directeur, Andrea Cancellato, a invité Saint-Étienne et en particulier la Cité du design, l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne (ESADSE) et la Biennale Internationale Design Saint-Étienne à représenter la France en matière de design. Cette Triennale représente un beau tremplin pour Saint-Étienne, une des villes pionnières du réseau villes créatives UNESCO, seule représentante française.
C’est désormais officiel et c’est une première pour notre territoire, Saint-Étienne, seule ville créative UNESCO française de design, représentera la France à la Triennale de Milan, du 2 avril au 12 septembre 2016, confirme le maire et président de la communauté urbaine de Saint-Étienne Métropole, Gaël Perdriau :
« Nous avons la volonté d’inscrire concrètement et durablement, Saint-Étienne et son agglomération, dans le concert des grandes villes et des Métropoles qui compteront demain sur des thématiques d’avenir, attractives, créatrices d’activités et d’emplois. Après le beau succès de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2015, puis l’obtention
du label French Tech/ Design Tech en juin dernier, nous avons souhaité aujourd’hui franchir une nouvelle étape en répondant favorablement à l’invitation de participer à cette exposition internationale, afin de renforcer encore davantage notre visibilité, à l’échelle mondiale, en matière de design, d’innovation et de développement numérique. Ce sera l’occasion, d’expliquer comment Saint-Étienne, en s’appuyant sur le design et l’innovation, participe à la création, de la ville, de l’économie et des objets de demain, et présenter les premiers axes de réflexion de la prochaine Biennale Internationale Design Saint-Étienne, qui aura pour thème, en 2017, les mutations du travail. Saint-Étienne change le design et change le monde à travers le design. »
C’est désormais officiel et c’est une première pour notre territoire, Saint-Étienne, seule ville créative UNESCO française de design, représentera la France à la Triennale de Milan, du 2 avril au 12 septembre 2016, confirme le maire et président de la communauté urbaine de Saint-Étienne Métropole, Gaël Perdriau :
« Nous avons la volonté d’inscrire concrètement et durablement, Saint-Étienne et son agglomération, dans le concert des grandes villes et des Métropoles qui compteront demain sur des thématiques d’avenir, attractives, créatrices d’activités et d’emplois. Après le beau succès de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2015, puis l’obtention
du label French Tech/ Design Tech en juin dernier, nous avons souhaité aujourd’hui franchir une nouvelle étape en répondant favorablement à l’invitation de participer à cette exposition internationale, afin de renforcer encore davantage notre visibilité, à l’échelle mondiale, en matière de design, d’innovation et de développement numérique. Ce sera l’occasion, d’expliquer comment Saint-Étienne, en s’appuyant sur le design et l’innovation, participe à la création, de la ville, de l’économie et des objets de demain, et présenter les premiers axes de réflexion de la prochaine Biennale Internationale Design Saint-Étienne, qui aura pour thème, en 2017, les mutations du travail. Saint-Étienne change le design et change le monde à travers le design. »
« Saint-Étienne change le design, Capitale française du design » Éric Jourdan, designer, scénographe et professeur à l’ESADSE s’attachera à exprimer sur 250 mètres carrés les forces du design en marche à Saint-Étienne.
Articulée en trois volets, cette exposition :
- montrera comment la Ville de Saint-Étienne s’est emparée du design et fait de son territoire un laboratoire à ciel ouvert, à travers des expérimentations pérennes, sous l’impulsion de la Cité du design ;
- donnera quelques pistes sur les sujets qui seront traités lors de la 10e Biennale Internationale Design Saint-Étienne, qui a pour thème « Les mutations du travail » ainsi que l’exposition BOG Data, extrait de l’ouvrage éponyme, publié aux éditions Cité du design sur les nouvelles formes de travail à l’ère du numérique. - présentera l’exposition « Fukushima MON AMOUR » des étudiants en design de l’ESADSE.
Premier volet : Design et territoire
Design et territoire ou quand le design sert la mutation d’une ville, par la Cité du design en partenariat avec la Ville de SaintÉtienne.
(opération banc d’essai, etc.)
Deuxième volet : Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2017
La Biennale 2017 qui se déroulera du 9 mars au 9 avril 2017 a pour thème « Les mutations du travail ». Elle sera l’occasion de dresser un bilan approfondi, d’ouvrir des perspectives alternatives, spéculatives et créatives à travers le regard singulier que porte le design sur ce changement de société.
Toutes ces questions seront traitées à travers deux axes prospectifs majeurs : le travail digital (digital labor) et l’économie du partage (share), dans la programmation IN et OFF (expositions et événements) de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2017. Autant de pistes de réflexion à la portée de tous et pour tous publics (designers, entreprises, étudiants, scolaires, grand public).
Cette présentation s’appuiera sur l’ouvrage BOG Data publié aux éditions Cité du design. BOG Data sera également présenté lors de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2017.
Troisième volet : Fukushima MON AMOUR
Ce troisième et dernier volet est un projet de l’option design de l’ESADSE.
F93 Centre de culture, scientifique, technique et industrielle propose une réflexion autour de la catastrophe de Fukushima et de ses conséquences.
L’ESADSE s’est associée à ce projet, les étudiants de l’option design se sont attachés à explorer différents aspects de la catastrophe de Fukushima. Ce travail s’est fait au travers des compétences des étudiants qui sont de : créer des objets, des dispositifs d’informations ou d’organiser des espaces. Comment vivent les réfugiés ? Comment recréer un cadre
de vie adapté ? Comment informer les populations sur le site avec une signalétique dédiée ? Comment redessiner le paysage en intégrant les déchets dont la croissance est exponentielle. D’autres étudiants se sont tournés sur la symbolique de l’événement en traitant l’idée du souvenir, de la mémoire de cette catastrophe. Autant de manières, de questions qui sont au cœur des préoccupations des étudiants à l’aube de leur parcours de designer loin d’un point de vue historique ou scientifique. C’est ce qui donne à cette exposition sa singularité.
- montrera comment la Ville de Saint-Étienne s’est emparée du design et fait de son territoire un laboratoire à ciel ouvert, à travers des expérimentations pérennes, sous l’impulsion de la Cité du design ;
- donnera quelques pistes sur les sujets qui seront traités lors de la 10e Biennale Internationale Design Saint-Étienne, qui a pour thème « Les mutations du travail » ainsi que l’exposition BOG Data, extrait de l’ouvrage éponyme, publié aux éditions Cité du design sur les nouvelles formes de travail à l’ère du numérique. - présentera l’exposition « Fukushima MON AMOUR » des étudiants en design de l’ESADSE.
Premier volet : Design et territoire
Design et territoire ou quand le design sert la mutation d’une ville, par la Cité du design en partenariat avec la Ville de SaintÉtienne.
(opération banc d’essai, etc.)
Deuxième volet : Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2017
La Biennale 2017 qui se déroulera du 9 mars au 9 avril 2017 a pour thème « Les mutations du travail ». Elle sera l’occasion de dresser un bilan approfondi, d’ouvrir des perspectives alternatives, spéculatives et créatives à travers le regard singulier que porte le design sur ce changement de société.
Toutes ces questions seront traitées à travers deux axes prospectifs majeurs : le travail digital (digital labor) et l’économie du partage (share), dans la programmation IN et OFF (expositions et événements) de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2017. Autant de pistes de réflexion à la portée de tous et pour tous publics (designers, entreprises, étudiants, scolaires, grand public).
Cette présentation s’appuiera sur l’ouvrage BOG Data publié aux éditions Cité du design. BOG Data sera également présenté lors de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2017.
Troisième volet : Fukushima MON AMOUR
Ce troisième et dernier volet est un projet de l’option design de l’ESADSE.
F93 Centre de culture, scientifique, technique et industrielle propose une réflexion autour de la catastrophe de Fukushima et de ses conséquences.
L’ESADSE s’est associée à ce projet, les étudiants de l’option design se sont attachés à explorer différents aspects de la catastrophe de Fukushima. Ce travail s’est fait au travers des compétences des étudiants qui sont de : créer des objets, des dispositifs d’informations ou d’organiser des espaces. Comment vivent les réfugiés ? Comment recréer un cadre
de vie adapté ? Comment informer les populations sur le site avec une signalétique dédiée ? Comment redessiner le paysage en intégrant les déchets dont la croissance est exponentielle. D’autres étudiants se sont tournés sur la symbolique de l’événement en traitant l’idée du souvenir, de la mémoire de cette catastrophe. Autant de manières, de questions qui sont au cœur des préoccupations des étudiants à l’aube de leur parcours de designer loin d’un point de vue historique ou scientifique. C’est ce qui donne à cette exposition sa singularité.
Pratique
BASE
Via Bergognone 34,
20144, Milano, Italy
Accès Tram 33 arrêt Via Porro Lambertenghi
Via Bergognone 34,
20144, Milano, Italy
Accès Tram 33 arrêt Via Porro Lambertenghi