Les rues de Sète se transforment en scènes poétiques dès l’aurore et jusqu’à minuit grâce à plus de 100 poètes de toutes les Méditerranées et plus de 650 rendez-vous pour plus de 60.000 festivaliers.
Parmi les poètes, certains connus, d’autres moins mais tous porteurs d’une âme, de mots et d’envie de les faire entendre : citons Jacques Ancet et Philippe Delaveau, Déwé-Gorodé (Francophonie/Nouvelle-Calédonie), Vénus Khouy-Ghata (Liban /France) (France), Horia Badescu (Roumanie), Mohammed Bennis (Maroc) ; Denise Boucher (Francophonie /Québec), Haydar Hergülen (Turquie), Paulo Jose Miranda (Portugal), Maria Antonia Ortega (Espagne), Anthony Phelps (Francophonie/Haïti), Liana Sakelliou ( Grèce), Yvan Tetelbom (Algérie) ; et la présence pendant tout le festival de son président d’honneur, Salah Stétié (Liban).
Gratuité pour ces manifestations, qui permet à tous de découvrir tous les visages de la poésie : lectures, performances, poésie en langue des signes et poésie pour enfants… Et aussi concerts ( payants) : Tiken Ja Fakoly,Racines ( 23 juillet), Pierre Perret (25 juillet), et Missa Criolla, Misa de Indios par l’Ensemble La Chimera, le 27 juillet.
Sète on le sait se présente comme un vaste décor de théâtre ouvert sur la Méditerranée d’un côté et de l’autre, sur la sérénité lisse de l’Etang de Thau. Il y a d’ailleurs dans cette ville un Théâtre de la Mer, très beau site, et partout des jardins et des placettes lumineuses, des rues et la chapelle du Quartier Haut, le Môle Saint-Louis et bien sûr, le Mont-Saint Clair ; et aussi les ombres précieuses de deux grands poètes, chacun à sa façon, Georges Brassens sous sa moustache souriante et narquoise, et là-haut sous les pins Paul Valéry :
« Ce toit tranquille où marchent le colombes,
Entre les pins palpite entre les tombes»,
Brassens, Paul Valéry et son ombre tutélaire et inoubliable, qui ont teinté pour toujours la douce lumière sétoise.
Jacqueline Aimar
04 99 04 72 51 | 04 99 04 7 1 71
Parmi les poètes, certains connus, d’autres moins mais tous porteurs d’une âme, de mots et d’envie de les faire entendre : citons Jacques Ancet et Philippe Delaveau, Déwé-Gorodé (Francophonie/Nouvelle-Calédonie), Vénus Khouy-Ghata (Liban /France) (France), Horia Badescu (Roumanie), Mohammed Bennis (Maroc) ; Denise Boucher (Francophonie /Québec), Haydar Hergülen (Turquie), Paulo Jose Miranda (Portugal), Maria Antonia Ortega (Espagne), Anthony Phelps (Francophonie/Haïti), Liana Sakelliou ( Grèce), Yvan Tetelbom (Algérie) ; et la présence pendant tout le festival de son président d’honneur, Salah Stétié (Liban).
Gratuité pour ces manifestations, qui permet à tous de découvrir tous les visages de la poésie : lectures, performances, poésie en langue des signes et poésie pour enfants… Et aussi concerts ( payants) : Tiken Ja Fakoly,Racines ( 23 juillet), Pierre Perret (25 juillet), et Missa Criolla, Misa de Indios par l’Ensemble La Chimera, le 27 juillet.
Sète on le sait se présente comme un vaste décor de théâtre ouvert sur la Méditerranée d’un côté et de l’autre, sur la sérénité lisse de l’Etang de Thau. Il y a d’ailleurs dans cette ville un Théâtre de la Mer, très beau site, et partout des jardins et des placettes lumineuses, des rues et la chapelle du Quartier Haut, le Môle Saint-Louis et bien sûr, le Mont-Saint Clair ; et aussi les ombres précieuses de deux grands poètes, chacun à sa façon, Georges Brassens sous sa moustache souriante et narquoise, et là-haut sous les pins Paul Valéry :
« Ce toit tranquille où marchent le colombes,
Entre les pins palpite entre les tombes»,
Brassens, Paul Valéry et son ombre tutélaire et inoubliable, qui ont teinté pour toujours la douce lumière sétoise.
Jacqueline Aimar
04 99 04 72 51 | 04 99 04 7 1 71