Photo © Stef Depover
SIMONNE MOESEN RACONTE...
J’avais envie de chanter de l’opéra. Depuis des années je m’étais entraînée dans ma salle de bain et voilà, je me suis jetée à l’eau avec les héroïnes de Puccini.
Enfant déjà, ayant vu l’affiche de Madame Butterfly, j’étais intriguée par cette femme papillon si fine et délicate, exotique, féérique…
Aujourd’hui, c’est la réalité derrière cette image séduisante qui me titillait.
J’ai passé au crible les livrets des opéras de Puccini et je me suis intéressée de près au sort de Butterfly, Mimi, Tosca, Liù, Turandot…
Pourquoi tous ces drames qui finissent par la mort d’une femme au nom de l’amour avaient-ils tant de succès ? Pourquoi ce penchant pour la souffrance ?
Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Je me suis ainsi posée des tas de questions et comme une détective je suis allée à la recherche des faits réels.
Pourquoi ? Parce qu’en chantant les airs émouvants des héroïnes, j’ai senti une étrange résonance, comme si toutes ces femmes vivaient quelque part enfouies en moi et qu’elles étaient contentes d’enfin pouvoir s’exprimer. Je me suis dit qu’il était temps de les laisser s’envoler, de guérir ces blessures ancestrales. Alors j’ai mis l’âme romantique à nu, juste pour voir, pour bien mettre les choses au clair.
Théâtre des Bernardines
17 bd Garibaldi
13001 Marseille
04 91 24 30 40 / 41 (fax)
contact@theatre-bernardines.org
J’avais envie de chanter de l’opéra. Depuis des années je m’étais entraînée dans ma salle de bain et voilà, je me suis jetée à l’eau avec les héroïnes de Puccini.
Enfant déjà, ayant vu l’affiche de Madame Butterfly, j’étais intriguée par cette femme papillon si fine et délicate, exotique, féérique…
Aujourd’hui, c’est la réalité derrière cette image séduisante qui me titillait.
J’ai passé au crible les livrets des opéras de Puccini et je me suis intéressée de près au sort de Butterfly, Mimi, Tosca, Liù, Turandot…
Pourquoi tous ces drames qui finissent par la mort d’une femme au nom de l’amour avaient-ils tant de succès ? Pourquoi ce penchant pour la souffrance ?
Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Je me suis ainsi posée des tas de questions et comme une détective je suis allée à la recherche des faits réels.
Pourquoi ? Parce qu’en chantant les airs émouvants des héroïnes, j’ai senti une étrange résonance, comme si toutes ces femmes vivaient quelque part enfouies en moi et qu’elles étaient contentes d’enfin pouvoir s’exprimer. Je me suis dit qu’il était temps de les laisser s’envoler, de guérir ces blessures ancestrales. Alors j’ai mis l’âme romantique à nu, juste pour voir, pour bien mettre les choses au clair.
Théâtre des Bernardines
17 bd Garibaldi
13001 Marseille
04 91 24 30 40 / 41 (fax)
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