Enrique Mestre-Jaime : Pirogue - 2010, technique mixte sur toile, 40 x 120 cm
Tetsuo Harada sculpte la pierre, le marbre et le bois. “ Je respecte, je dégage la forme, il ne faut pas retirer trop, on avance petit à petit... et il faut savoir s’arrêter quand la forme est là. La violence ne fait pas naître une forme fluide. “
Medjid Houari utilise principalement le métal, et notamment l’acier, le cuivre, le laiton et l’inôx. [Sa quête permanente tend à concilier la simplicité de la forme et la dimension monumentale de l’oeuvre.] Extrait texte de J.Conjat
Enrique Mestre-Jaime s’inspire de ses nombreux voyages en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud qu’il transcrit aussi bien sur papier que sur toile. On retrouve régulièrement dans sa peinture des éléments appartenant à l’eau comme des symboles indispensable à la vie.
Medjid Houari utilise principalement le métal, et notamment l’acier, le cuivre, le laiton et l’inôx. [Sa quête permanente tend à concilier la simplicité de la forme et la dimension monumentale de l’oeuvre.] Extrait texte de J.Conjat
Enrique Mestre-Jaime s’inspire de ses nombreux voyages en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud qu’il transcrit aussi bien sur papier que sur toile. On retrouve régulièrement dans sa peinture des éléments appartenant à l’eau comme des symboles indispensable à la vie.
Tetsuo Harada
Douceur, 2012 marbre blanc de Carrare , H. 30 x 39 x 22 cm
Né en 1949 à Niigata au Japon, il étudie aux beaux-arts à Tamabi à tokyo et s’installe à Paris en 1973.
« Ma recherche s’oriente vers des volumes aux contours légers, voluptueux, libres s’inspirant des parties du corps humain, comme des paysages poétiques, charnels.
Je redécouvre la taille directe avec le marbre italien de façon plus intuitive, progressive, dans la douceur et la finesse de la matière, mes outils transmettent mes desseins.
Je délivre des formes des blocs : une épaule, un ventre bombé, un sein soyeux, la tension d’un muscle, le creux des reins, le grain d’une peau, un paysage tendre et chaleureux.... Mon cheminement commence par un rêve qui se prolonge sur le papier, une ligne spontanée au crayon sur mon carnet, puis mes formes sont affinées sur des dessins au format raisin et parfois sur des toiles. Ce n’est qu’après ce parcours sensible que certaines formes seront sculptées. Dans mon atelier de nombreux blocs de marbre, de granit, de bois m’attendent. Je choisis la matière en fonction des sensations que je veux transmettre. En ce moment, je suis inspiré par les marbres italiens, les mêmes qu’employait Michel-Ange, mais j’ai envie de donner une lecture tactile. Mon plaisir serait de voir mes visiteurs caresser mes sculptures pour les comprendre en les touchant, voyager ».
« Ma recherche s’oriente vers des volumes aux contours légers, voluptueux, libres s’inspirant des parties du corps humain, comme des paysages poétiques, charnels.
Je redécouvre la taille directe avec le marbre italien de façon plus intuitive, progressive, dans la douceur et la finesse de la matière, mes outils transmettent mes desseins.
Je délivre des formes des blocs : une épaule, un ventre bombé, un sein soyeux, la tension d’un muscle, le creux des reins, le grain d’une peau, un paysage tendre et chaleureux.... Mon cheminement commence par un rêve qui se prolonge sur le papier, une ligne spontanée au crayon sur mon carnet, puis mes formes sont affinées sur des dessins au format raisin et parfois sur des toiles. Ce n’est qu’après ce parcours sensible que certaines formes seront sculptées. Dans mon atelier de nombreux blocs de marbre, de granit, de bois m’attendent. Je choisis la matière en fonction des sensations que je veux transmettre. En ce moment, je suis inspiré par les marbres italiens, les mêmes qu’employait Michel-Ange, mais j’ai envie de donner une lecture tactile. Mon plaisir serait de voir mes visiteurs caresser mes sculptures pour les comprendre en les touchant, voyager ».
Medjid Houari
Rapte , acier 20 x 15 x 15 cm
Né à Paris en 1950
Pour découvrir l’artiste, adressez-vous à ses sculptures. Si vous savez les écouter, elles sauront vous parler de lui, laissez-vous emporter, son travail traduit en formes épurées des réalités complexes et, dans son paysage abstrait, résonnent des percussions. “Un peu de légèreté“ C’est une sculpture sans cesse renouvelée, qui refuse de se complaire dans la redite, et qui, dès lors, s’avère riche de mille subtilités, mille trouvailles, mille traits d’humour. C’est une sculpture toute de légèreté qui vise par l’épure à donner du monde une image simplifiée, sereine et abstraite. Medjid Houari utilise pour ce faire l’acier, le cuivre, le laiton, l’inox, et pour chaque oeuvre joue de sa fantaisie naturelle afin de guider le regard vers la perfection des formes. (in Miroir de l’Art)
Pour découvrir l’artiste, adressez-vous à ses sculptures. Si vous savez les écouter, elles sauront vous parler de lui, laissez-vous emporter, son travail traduit en formes épurées des réalités complexes et, dans son paysage abstrait, résonnent des percussions. “Un peu de légèreté“ C’est une sculpture sans cesse renouvelée, qui refuse de se complaire dans la redite, et qui, dès lors, s’avère riche de mille subtilités, mille trouvailles, mille traits d’humour. C’est une sculpture toute de légèreté qui vise par l’épure à donner du monde une image simplifiée, sereine et abstraite. Medjid Houari utilise pour ce faire l’acier, le cuivre, le laiton, l’inox, et pour chaque oeuvre joue de sa fantaisie naturelle afin de guider le regard vers la perfection des formes. (in Miroir de l’Art)
Enrique Mestre-Jaime
Monzones de Tinta -2010 - 50 x 35 cm
Né en 1968 à Barcelone , Espagne.
« Éclaboussures de vie, là où l’eau s’arrête.
L’Afrique est le continent premier. Ses espaces, autant de portes ouvertes à ces cultures ancestrales qui détiennent le secret et le destin de l’humanité. Le continent originaire est pénétré d’une spiritualité chaleureuse et ardente qui prend racine dans les terres accueillantes de Mauritanie, du Mali ou du Niger, des terres qui ont conquis l’oeil et le coeur d’Enrique Mestre-Jaime lors de sa dernière échappée loin de nos villes. De là-bas, Enrique Mestre-Jaime nous a rapporté une expérience sensible de portée quasi géogénique : il nous invite à bord d’embarcations qui semblent jaillir de l’argile même des terres africaines et qui nous transportent au-delà de la voûte céleste, menées par des éclaboussures de vie, d’eau et de lumière. Au cours de ce voyage, les enfants prodigues sont des textures sableuses et dorées, des contours de medina et de mosquées. Une spiritualité qui se dessine d’une architecture de glaise faite main jusqu’à la texture de ces toiles dont la composition finale contient l’univers tout entier. Ce voyage à la limite méridionale du Sahara s’écoule le long du désir d’ « eau » de l’artiste, ce mot magique à la racine de toutes les espérances africaines et thème récurrent dans l’oeuvre d’Enrique Mestre-Jaime. En effet, si l’eau est le plus grand trésor de l’Afrique, elle est aussi à l’origine de la dette et du destin de l’humanité. Ici, la voie serait le fleuve Niger et sur ses berges, une explosion de couleurs qui éclaboussent les immenses plaines que sont les toiles et dans ces méandres qui, après avoir fertilisé la terre et tout en se retirant, créent cette glaise avec laquelle se façonnent les croyances, les mythes et le torchis des peuples africains. La vie renaît par la couleur, là où l’eau ne coule plus. Enfin, la couleur réveille le désir d’atteindre la toile de fond du destin, du continent, de la planète et de l’univers, depuis ses plus terriennes origines. » Tomás Caballero
« Éclaboussures de vie, là où l’eau s’arrête.
L’Afrique est le continent premier. Ses espaces, autant de portes ouvertes à ces cultures ancestrales qui détiennent le secret et le destin de l’humanité. Le continent originaire est pénétré d’une spiritualité chaleureuse et ardente qui prend racine dans les terres accueillantes de Mauritanie, du Mali ou du Niger, des terres qui ont conquis l’oeil et le coeur d’Enrique Mestre-Jaime lors de sa dernière échappée loin de nos villes. De là-bas, Enrique Mestre-Jaime nous a rapporté une expérience sensible de portée quasi géogénique : il nous invite à bord d’embarcations qui semblent jaillir de l’argile même des terres africaines et qui nous transportent au-delà de la voûte céleste, menées par des éclaboussures de vie, d’eau et de lumière. Au cours de ce voyage, les enfants prodigues sont des textures sableuses et dorées, des contours de medina et de mosquées. Une spiritualité qui se dessine d’une architecture de glaise faite main jusqu’à la texture de ces toiles dont la composition finale contient l’univers tout entier. Ce voyage à la limite méridionale du Sahara s’écoule le long du désir d’ « eau » de l’artiste, ce mot magique à la racine de toutes les espérances africaines et thème récurrent dans l’oeuvre d’Enrique Mestre-Jaime. En effet, si l’eau est le plus grand trésor de l’Afrique, elle est aussi à l’origine de la dette et du destin de l’humanité. Ici, la voie serait le fleuve Niger et sur ses berges, une explosion de couleurs qui éclaboussent les immenses plaines que sont les toiles et dans ces méandres qui, après avoir fertilisé la terre et tout en se retirant, créent cette glaise avec laquelle se façonnent les croyances, les mythes et le torchis des peuples africains. La vie renaît par la couleur, là où l’eau ne coule plus. Enfin, la couleur réveille le désir d’atteindre la toile de fond du destin, du continent, de la planète et de l’univers, depuis ses plus terriennes origines. » Tomás Caballero
Pratique
Galerie 22
Art contemporain et actuel
267 route de Gordes - Coustellet
84220 Cabrières d’Avignon
Tél. 04 90 71 85 06 / 06 84 47 49 54
contact@galerie22contemporain.com
Du 8 mai au 16 juin 2013, vernissage jeudi 9 mai à partir de 18h30
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