Awa Ly © DR
Awa Ly
Si c’est sur le tapis velouté du jazz que sa voix mystique se balade, Awa Ly l’orne de doux motifs soul, folk et de sonorités africaines et laisse ses invités y broder leur passage. La Kora de Ballaké Sissoko, la senza de Paco Sery, la contrebasse de Greg Cohen, le chant de Faada Freddy, la steel-guitar ou le erhu (violon chinois) sont autant d’éléments qui viennent enluminer les récits de la conteuse chama- nique.
Passionnel, destructeur, déçu, romantique, universel : l’amour est indéniablement le thème principal de son premier album "Five and a Feather". Celui qu’on porte à l’être cher comme à un ami ou l’amour qui pousse jusqu’à la folie .
L’évocation de l’amour de son prochain entre étrangement en résonance avec le sort des migrants qui périssent en mer. Five, comme toutes ces choses que l’on chiffre par cinq : les sens, les océans, les lignes d’une portée musicale, les doigts de la main… Et feather, la plume, l’élément magique, qui les relie, celle dont Awa s’est servie pour écrire et composer les dix titres de ce nouvel album. Un disque écrit, composé et enregistré comme une fine dentelle constellée de détails qui ne se révèlent qu’à celui qui saura les débusquer.
Thomas Schoeffler
Un rocking chair berce un vieillard sous l'auvent d'une cabane de montagne, un ciel couleur ocre se couche derrière les pins et des renégats hurlent à la mort devant les portes d'un pénitencier du Midwest.
Ce sont quelques-unes des images de la musique de Thomas Schoeffler Jr, images d'un blues sanguin et d'un folk cendreux.
Images d'un one-man band dont on ne sait plus s'il possède ses instruments ou si ce sont eux qui le possèdent. Où les cordes claquent puis caressent, où l'harmonica déchire le coeur, et la voix, reconnaissable entre mille, porte crânement les couleurs des condamnés, des bannis et des amours non-renouvelés.
Avec "The Hunter" son 3eme album ce jeune bluesman alsacien nous emerveille par la tonalité de ses voyages introspectifs nourris de vecus personnels et de ses rêves de grand espace.
Un enchantement à l'état brut.
Si c’est sur le tapis velouté du jazz que sa voix mystique se balade, Awa Ly l’orne de doux motifs soul, folk et de sonorités africaines et laisse ses invités y broder leur passage. La Kora de Ballaké Sissoko, la senza de Paco Sery, la contrebasse de Greg Cohen, le chant de Faada Freddy, la steel-guitar ou le erhu (violon chinois) sont autant d’éléments qui viennent enluminer les récits de la conteuse chama- nique.
Passionnel, destructeur, déçu, romantique, universel : l’amour est indéniablement le thème principal de son premier album "Five and a Feather". Celui qu’on porte à l’être cher comme à un ami ou l’amour qui pousse jusqu’à la folie .
L’évocation de l’amour de son prochain entre étrangement en résonance avec le sort des migrants qui périssent en mer. Five, comme toutes ces choses que l’on chiffre par cinq : les sens, les océans, les lignes d’une portée musicale, les doigts de la main… Et feather, la plume, l’élément magique, qui les relie, celle dont Awa s’est servie pour écrire et composer les dix titres de ce nouvel album. Un disque écrit, composé et enregistré comme une fine dentelle constellée de détails qui ne se révèlent qu’à celui qui saura les débusquer.
Thomas Schoeffler
Un rocking chair berce un vieillard sous l'auvent d'une cabane de montagne, un ciel couleur ocre se couche derrière les pins et des renégats hurlent à la mort devant les portes d'un pénitencier du Midwest.
Ce sont quelques-unes des images de la musique de Thomas Schoeffler Jr, images d'un blues sanguin et d'un folk cendreux.
Images d'un one-man band dont on ne sait plus s'il possède ses instruments ou si ce sont eux qui le possèdent. Où les cordes claquent puis caressent, où l'harmonica déchire le coeur, et la voix, reconnaissable entre mille, porte crânement les couleurs des condamnés, des bannis et des amours non-renouvelés.
Avec "The Hunter" son 3eme album ce jeune bluesman alsacien nous emerveille par la tonalité de ses voyages introspectifs nourris de vecus personnels et de ses rêves de grand espace.
Un enchantement à l'état brut.
Pratique
Awa Ly / Thomas Schoeffler
au Théâtre du Chêne Noir (Avignon) Vendredi 23 novembre à 20h30
Tarifs de 5€ à 18€
Locations 04 90 86 74 87 & www.chenenoir.fr
Théâtre du Chêne Noir
8 bis, rue Sainte Catherine
84000 Avignon
au Théâtre du Chêne Noir (Avignon) Vendredi 23 novembre à 20h30
Tarifs de 5€ à 18€
Locations 04 90 86 74 87 & www.chenenoir.fr
Théâtre du Chêne Noir
8 bis, rue Sainte Catherine
84000 Avignon