Richard Martin et le Prince Albert
La rencontre avec Richard Martin fut chaleureuse et pleine d’humanité avec une tendre évocation de Léo Ferré. Leur amour inconditionnel du poète semble les rapprocher. Ils se sont accordés sur l’importance de la Culture et l’Art dans notre monde actuel face à la montée des obscurantismes.
La phrase de Léo « Malheur à ceux qui moquent l’Art » n’a jamais été aussi d’actualité…
Pour le centenaire Léo Ferré, Richard Martin pourrait bien présenter un spectacle autour de Léo dont il a le secret dans l’un des théâtres de la principauté. Le prince s’est dit préoccupé par le sort réservé à La Calypso laissée à l’abandon en Bretagne. À suivre…
La principauté de Monaco a toujours été une pionnière dans la sauvegarde des Océans. Le prince lui-même fût un compagnon de plongée d’Albert Falco et de Jean-Michel Cousteau. Cette journée a trouvé son point d’orgue avec la présentation du film Secret des Océans de Jean-Michel Cousteau présenté en avant-première, une féerie pour les yeux à la rencontre de l’infiniment petit, à la rencontre de ce que l’on ne voit pas, indispensable à la chaine alimentaire de nos océans et un bel hommage au compagnon de route des Cousteau Albert Falco. Ce film parfaitement réalisé est un bel outil à montrer au plus grand nombre pour les sensibiliser à la mer, aux océans et à l’environnement. Quelque part à travers ces problématiques c’est une part de l’avenir de l’Homme qui se joue.
Utilisant les nouvelles technologies, ce film de quarante minutes devrait se transformer en long métrage salutaire en 3D de quatre-vingt dix minutes : l’odyssea qui sera présenté au prochain Festival de Cannes.
Un ravissement suivi par plus de 600 personnes, preuve s’il en est du dynamisme du Toursky et de ses Universités Populaires ouvertes à tous. Lors de la prochaine saison, les Universités populaires se déclineront en neuf temps avec des thématiques fortes abordées. Le premier rendez-vous est fixé au Mercredi 7 octobre à 19 heures avec Roland Gori et ses intervenants qui tenteront de répondre à la question : « Pourquoi les guerres ? ». Souhaitons que ces Universités populaires soient un jour soutenu par les pouvoirs publics comme il se doit.
Éric Gilles
La phrase de Léo « Malheur à ceux qui moquent l’Art » n’a jamais été aussi d’actualité…
Pour le centenaire Léo Ferré, Richard Martin pourrait bien présenter un spectacle autour de Léo dont il a le secret dans l’un des théâtres de la principauté. Le prince s’est dit préoccupé par le sort réservé à La Calypso laissée à l’abandon en Bretagne. À suivre…
La principauté de Monaco a toujours été une pionnière dans la sauvegarde des Océans. Le prince lui-même fût un compagnon de plongée d’Albert Falco et de Jean-Michel Cousteau. Cette journée a trouvé son point d’orgue avec la présentation du film Secret des Océans de Jean-Michel Cousteau présenté en avant-première, une féerie pour les yeux à la rencontre de l’infiniment petit, à la rencontre de ce que l’on ne voit pas, indispensable à la chaine alimentaire de nos océans et un bel hommage au compagnon de route des Cousteau Albert Falco. Ce film parfaitement réalisé est un bel outil à montrer au plus grand nombre pour les sensibiliser à la mer, aux océans et à l’environnement. Quelque part à travers ces problématiques c’est une part de l’avenir de l’Homme qui se joue.
Utilisant les nouvelles technologies, ce film de quarante minutes devrait se transformer en long métrage salutaire en 3D de quatre-vingt dix minutes : l’odyssea qui sera présenté au prochain Festival de Cannes.
Un ravissement suivi par plus de 600 personnes, preuve s’il en est du dynamisme du Toursky et de ses Universités Populaires ouvertes à tous. Lors de la prochaine saison, les Universités populaires se déclineront en neuf temps avec des thématiques fortes abordées. Le premier rendez-vous est fixé au Mercredi 7 octobre à 19 heures avec Roland Gori et ses intervenants qui tenteront de répondre à la question : « Pourquoi les guerres ? ». Souhaitons que ces Universités populaires soient un jour soutenu par les pouvoirs publics comme il se doit.
Éric Gilles