Momix, l'extraordinaire chorégraphie
Cette année, ce sont six spectacles tous très différents et d’origines diverses que le public va découvrir. Ainsi on pourra aller à la rencontre de Momix qui depuis 25 ans symbolise la poésie, l’illusion et le délire. Ses fameux danseurs venus du Connecticut, à la fois athlètes et illusionnistes et aussi virtuoses, vont présenter une sélection, un best of aux confins de l’imaginable. Jeux de lumière et d’ombre, jeux de positif, négatif, faux semblants et vrais reliefs ce spectacle à la limite du rêve joue sur l’émerveillement.
Le Béjart Ballet Lausanne retrouve sa place dans les arènes et l’on est assuré avec l’amour, la danse, de retrouver malgré la disparition du grand danseur, son humanisme et son style éclectique et foisonnant.
Avec la Compania Buenos Aires, le spectacle Tango Metropolis et ses dix danseurs, les meilleurs tangueros d’Argentine accompagnés par Daniel Binelli au bandonéon et son jeu nostalgique et passionné qui semble souvent au bord des larmes, sont la source du voyage émotionnel.
A partir de la célèbre cantate de Bach Jésus que ma joie demeure, c’est une tout autre forme de danse offerte au spectateur ; une danse baroque conçue par Béatrice Massin sur les concertos brandebourgeois, qui utilise de chaudes couleurs où s’épanouissent les danseurs de la Compagnie Fêtes Galantes.
D’un saut passons à Alonzo King’s Lines ballet et les moines shaolin qui tout en technique et virtuosité, nous invitent à un inoubliable spectacle où les gestes de guerre et une danse classique exceptionnelle interviennent ensemble.
Quant à la compagnie Maguy Marin, elle propose une des œuvres majeures de la danse contemporaine May Be ; pièce expressionniste pour dix danseurs qui explore l’humanité fragile et lunaire propre aux personnages de Beckett : itinéraires improbables, personnages errants et chargés de paquets, clones et clowns exaltés et hallucinés.
C’est ainsi que grâce à ces six spectacles nous est offert un véritable voyage, et la découverte, au delà des pays et des croyances, d’un tourbillon d’émotions.
Jacqueline Aimar
Du 10 au 26 juillet,
Réservations 04 90 28 74 74
Le Béjart Ballet Lausanne retrouve sa place dans les arènes et l’on est assuré avec l’amour, la danse, de retrouver malgré la disparition du grand danseur, son humanisme et son style éclectique et foisonnant.
Avec la Compania Buenos Aires, le spectacle Tango Metropolis et ses dix danseurs, les meilleurs tangueros d’Argentine accompagnés par Daniel Binelli au bandonéon et son jeu nostalgique et passionné qui semble souvent au bord des larmes, sont la source du voyage émotionnel.
A partir de la célèbre cantate de Bach Jésus que ma joie demeure, c’est une tout autre forme de danse offerte au spectateur ; une danse baroque conçue par Béatrice Massin sur les concertos brandebourgeois, qui utilise de chaudes couleurs où s’épanouissent les danseurs de la Compagnie Fêtes Galantes.
D’un saut passons à Alonzo King’s Lines ballet et les moines shaolin qui tout en technique et virtuosité, nous invitent à un inoubliable spectacle où les gestes de guerre et une danse classique exceptionnelle interviennent ensemble.
Quant à la compagnie Maguy Marin, elle propose une des œuvres majeures de la danse contemporaine May Be ; pièce expressionniste pour dix danseurs qui explore l’humanité fragile et lunaire propre aux personnages de Beckett : itinéraires improbables, personnages errants et chargés de paquets, clones et clowns exaltés et hallucinés.
C’est ainsi que grâce à ces six spectacles nous est offert un véritable voyage, et la découverte, au delà des pays et des croyances, d’un tourbillon d’émotions.
Jacqueline Aimar
Du 10 au 26 juillet,
Réservations 04 90 28 74 74