Grand ami de Versailles, il y fit sa première visite à l’invitation de Robert de Montesquiou qui résidait alors au 53 avenue de Paris (aujourd’hui n°93). Le peintre ne cessa plus d’y revenir, notamment pour peindre les jardins du parc du château, allant même jusqu’à louer une résidence d’été à Versailles, à partir de 1911.
Homme de son temps, La Gandara fréquenta les salons mondains, l’Opéra et le monde du théâtre pour y trouver son inspiration et ses modèles. Il fut alors un familier de la comtesse de Noailles, d’Anatole France, d’Henri de Régnier, de Gabriele d’Annunzio, de Maurice Barrès, mais aussi de Debussy, Saint-Saëns et Satie.
L’exposition Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, avec 120 œuvres et une centaine d’objets et documents, présente toute la richesse du parcours et les différentes facettes du talent de La Gandara. Elle a été rendue possible grâce aux nombreuses œuvres conservées chez les descendants du peintre, aux prêts de collectionneurs privés, ainsi qu’à ceux de plusieurs musées et institutions, en particulier le musée départemental de l’Oise, à Beauvais. L’exposition dialogue également avec le fonds de portraits Belle Époque conservé au musée Lambinet, mis en valeur pour l’occasion.
Commissariat de l’exposition : Xavier Mathieu, biographe et président de l’association des Amis d’Antonio de La Gandara
Scénographie : Jérôme Dumoux, Myartdesign
Catalogue : Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque (Éd. Gourcuff Gradenigo 144 pages, 190 ill.- Prix de vente : 24€)
Homme de son temps, La Gandara fréquenta les salons mondains, l’Opéra et le monde du théâtre pour y trouver son inspiration et ses modèles. Il fut alors un familier de la comtesse de Noailles, d’Anatole France, d’Henri de Régnier, de Gabriele d’Annunzio, de Maurice Barrès, mais aussi de Debussy, Saint-Saëns et Satie.
L’exposition Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, avec 120 œuvres et une centaine d’objets et documents, présente toute la richesse du parcours et les différentes facettes du talent de La Gandara. Elle a été rendue possible grâce aux nombreuses œuvres conservées chez les descendants du peintre, aux prêts de collectionneurs privés, ainsi qu’à ceux de plusieurs musées et institutions, en particulier le musée départemental de l’Oise, à Beauvais. L’exposition dialogue également avec le fonds de portraits Belle Époque conservé au musée Lambinet, mis en valeur pour l’occasion.
Commissariat de l’exposition : Xavier Mathieu, biographe et président de l’association des Amis d’Antonio de La Gandara
Scénographie : Jérôme Dumoux, Myartdesign
Catalogue : Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque (Éd. Gourcuff Gradenigo 144 pages, 190 ill.- Prix de vente : 24€)
Antonio de La Gandara (1861-1917)
Né d’un père mexicain et d’une mère anglaise, Antonio de La Gandara a suivi les cours de l’École nationale des Beaux-Arts et rejoint les classes de Gérôme et de Cabanel, à l’âge de 16 ans. En 1882, il expose au Salon des Artistes Français où il reçoit sa première médaille. C’est en 1885 qu’il fait la connaissance du comte Robert de Montesquiou-Fézansac et de son ami Gabriel Yturri. Séduit par les œuvres de l’artiste, inspirées de celles de Goya, Ribot et Vélasquez, le comte s’emploie à faire connaître le jeune peintre auprès de l’aristocratie pour l’élever au rang de peintre mondain, ce que l’histoire retiendra.
S'y rendre
Musée Lambinet - 54, boulevard de la Reine - 78000 Versailles
Tél. : 01 30 97 28 75
Ouvert du lundi au dimanche, de 14h à 18h, sauf le vendredi et les jours fériés
6€ (plein tarif) / 4€ (tarif réduit)
Gratuit le dernier dimanche du mois.
Site partiellement accessible aux personnes en fauteuil roulant. Ascenseur sur place.
Tél. : 01 30 97 28 75
Ouvert du lundi au dimanche, de 14h à 18h, sauf le vendredi et les jours fériés
6€ (plein tarif) / 4€ (tarif réduit)
Gratuit le dernier dimanche du mois.
Site partiellement accessible aux personnes en fauteuil roulant. Ascenseur sur place.