Rafaele Arditi © DR
Du pamphlet, il se cherche une forme, une construction, un fil conducteur assez fort pour affirmer un sens. S’il en trouve un, ce dernier n’est pas assez épais ni dense pour faire un texte ; il dégage seulement le « rôle inutile » des envoyés spéciaux qui n’ont rien à dire parce qu’on absorbe leur texte avant même qu’ils l’aient présenté et qui n’ont de spéciaux que le fait qu’ils planquent devant l’Elysée ou un Palais de Justice en plein vent ou sous un parapluie, dans l’attente de la parole que peut-être on va bientôt leur « prêter »…
On pressent sous le texte de Rafaële Arditi le frémissement de ce qui n’est pas dit, retenu ou contraint et que sans doute il aurait fallu dire.
Dommage, il y a tant à penser de la Télébidon et tant à en dire…
Jacqueline Aimar
On pressent sous le texte de Rafaële Arditi le frémissement de ce qui n’est pas dit, retenu ou contraint et que sans doute il aurait fallu dire.
Dommage, il y a tant à penser de la Télébidon et tant à en dire…
Jacqueline Aimar