Qu’est qui est susceptible d’être aussi douloureux qu’une rage de dents et de durer en intensité le temps d’une rage de dents ? l’amour ! bien sûr ! ou tout au moins ce que l’on peut prendre pour ce sentiment !
L’histoire commence comme un drame de l’amour comme il en existe parfois dans les faits divers, son habilleuse qui s'est enfermée dans sa loge et surtout de sa meilleure amie qui menace de se suicider car elle vient d’être « plaquée » par l’homme qu’elle croyait être celui de sa vie.
Une occasion pour Agnès Soral de camper tous les personnages de son entourage, ses ex-copains qu’elle imite, ou bien son ex-future belle-mère à laquelle elle trouve un air de C….
Avec sa pêche communicative et sa gouaille, elle campe avec truculence sa bimbo de copine et n’hésite pas à monter très haut dans l’échelle de la naïveté, feinte certes, qui frise parfois l’indécence sans jamais toutefois atteindre la vulgarité, car tout y est décrit avec la classe d’une grande bourgeoise.
Sans vulgarité mais dans un vocabulaire très chatoyant et avec générosité, elle met les mâles à mal et dépeint les travers du couple. Elle casse, elle balance et c'est drôle, d’autant qu’elle n’hésite pas à prendre le public à témoin qui ne peut qu’être conquis par le charme de cette comédienne ne laisse pas indifférent.
Un spectacle dont l’intérêt réside dans une aisance pour l’interprétation et le talent de la comédienne y est pour beaucoup. Et, parfois, dans certaines répliques qui font mouche car inédites
L’histoire commence comme un drame de l’amour comme il en existe parfois dans les faits divers, son habilleuse qui s'est enfermée dans sa loge et surtout de sa meilleure amie qui menace de se suicider car elle vient d’être « plaquée » par l’homme qu’elle croyait être celui de sa vie.
Une occasion pour Agnès Soral de camper tous les personnages de son entourage, ses ex-copains qu’elle imite, ou bien son ex-future belle-mère à laquelle elle trouve un air de C….
Avec sa pêche communicative et sa gouaille, elle campe avec truculence sa bimbo de copine et n’hésite pas à monter très haut dans l’échelle de la naïveté, feinte certes, qui frise parfois l’indécence sans jamais toutefois atteindre la vulgarité, car tout y est décrit avec la classe d’une grande bourgeoise.
Sans vulgarité mais dans un vocabulaire très chatoyant et avec générosité, elle met les mâles à mal et dépeint les travers du couple. Elle casse, elle balance et c'est drôle, d’autant qu’elle n’hésite pas à prendre le public à témoin qui ne peut qu’être conquis par le charme de cette comédienne ne laisse pas indifférent.
Un spectacle dont l’intérêt réside dans une aisance pour l’interprétation et le talent de la comédienne y est pour beaucoup. Et, parfois, dans certaines répliques qui font mouche car inédites