Michel Piquemal dirigera la Messe de Sainte-Cécile © Pierre Aimar
Les grandes œuvres
Le choix des œuvres est vaste ; il comporte de très grandes œuvres très classiques qui demandent orchestres et chœurs comme la Passion selon Saint-Jean de Bach par l’Ensemble Vocal et Instrumental de Montpellier dirigé par Jean Gouzes (à l’abbaye), le 14 juillet,
Ou le 21 juillet, Un Requiem Allemand de Brahms, avec Marie-Josèphe Jude et Jeff Cohen au piano, Yuree Jan, soprano et Jacques Bona, baryton : une œuvre sacrée mais non liturgique, qui comporte sept mouvements, tire son texte de la bible protestante de Luther et non pas du requiem catholique traditionnel. La Messe de Sainte-Cécile de Joseph Haydn donnée les 13 et 15 août, est interprétée par le Grand Chœur du 36e Festival et l’Ensemble Instrumental Contrepoint dirigé par Michel Piquemal avec Jean-Louis Serre, basse. Elle représente le concert de la 24e Académie de Chœurs et d’Orchestre de Sylvanès.
Mentionnons aussi la Cantate de l’Apocalypse du Père André Gouzes, pour solistes, chœur, orgue et récitant sous la direction de Jean-François Capony avec les solistes de la Capella Sylvanensis, le grand chœur liturgique du festival, Romain Bastard à l’orgue et Michel Wolkowitsky, récitant. Une véritable fresque sonore à découvrir à Albi, le 12 juillet, et Sylvanès, le 13 juillet.
N’oublions pas le concert du 40e anniversaire, the Best of the Tallis Scholars qui donne à entendre les splendeurs de la polyphonie européenne, de la renaissance à nos jours, le 18 août.
Des musiques moins graves
Une autre catégorie de musique, moins solennelle, moins religieuse, plus familière semble-t-il, provoque la rencontre avec d’autres pays, d’autres genres, d’autres cultures.
Ainsi le premier concert, le 7 juillet, les Chants sacrés, populaires et contemporains d’Afrique et le chœur la Grâce de Kinshasa sous la direction d’Ambroise Kua-Nzambi Toko. Ou encore la Splendeur de la Liturgie Orthodoxe par le Chœur de Crimée, dirigé par Igor Mikhailevsky. Cet ensemble a le mérite d’avoir interprété pour la première fois et en public des œuvres de compositeurs occidentaux, Russes et Ukrainiens interdits sous le régime soviétique. A Rodez, le 27 juillet, Sylvanès le 28 et Conques, le 29.
Parmi les ensembles classiques, notons encore Acqua Di Musica pour le Salve Regina de Scarlatti, le 10 août à Comberoumal, superbe prieuré de l’ordre de Saint-Michel de Grandmont (à voir également), Magali Léger et l’Ensemble Rosasolis présentant Boccherini à la cour d’Espagne, le 11 août.
A noter aussi les Huit Saisons, Quatre de Vivaldi, fort connues et un dialogue avec les Quatre de Piazzolla, interprétées par Richard Galliano. Une découverte.
Et d’autres musiques encore, les voix du pays Basque et de Russie, le 25 août ; les Musiques du Soleil sur les routes d’Espagne et d’Amérique du sud, par le trio Borsalino, le 16 août; du classique au violon tzigane avec Gypsy Way et Pavel Sporcl, ou la Féerie Russe et Tsigane du 28 juillet.
Partout et encore des musiques, qui font danser et chanter, qui mettent de la gaîté, font sècher les larmes -ou créent l’émotion-, des musiques qui mettent en transes ou libèrent, qui font songer et penser. La voilà la musique libératrice et c’est par elle que passent les métamorphoses nécessaires.
Jacqueline Aimar
05 65 98 20 20
Le choix des œuvres est vaste ; il comporte de très grandes œuvres très classiques qui demandent orchestres et chœurs comme la Passion selon Saint-Jean de Bach par l’Ensemble Vocal et Instrumental de Montpellier dirigé par Jean Gouzes (à l’abbaye), le 14 juillet,
Ou le 21 juillet, Un Requiem Allemand de Brahms, avec Marie-Josèphe Jude et Jeff Cohen au piano, Yuree Jan, soprano et Jacques Bona, baryton : une œuvre sacrée mais non liturgique, qui comporte sept mouvements, tire son texte de la bible protestante de Luther et non pas du requiem catholique traditionnel. La Messe de Sainte-Cécile de Joseph Haydn donnée les 13 et 15 août, est interprétée par le Grand Chœur du 36e Festival et l’Ensemble Instrumental Contrepoint dirigé par Michel Piquemal avec Jean-Louis Serre, basse. Elle représente le concert de la 24e Académie de Chœurs et d’Orchestre de Sylvanès.
Mentionnons aussi la Cantate de l’Apocalypse du Père André Gouzes, pour solistes, chœur, orgue et récitant sous la direction de Jean-François Capony avec les solistes de la Capella Sylvanensis, le grand chœur liturgique du festival, Romain Bastard à l’orgue et Michel Wolkowitsky, récitant. Une véritable fresque sonore à découvrir à Albi, le 12 juillet, et Sylvanès, le 13 juillet.
N’oublions pas le concert du 40e anniversaire, the Best of the Tallis Scholars qui donne à entendre les splendeurs de la polyphonie européenne, de la renaissance à nos jours, le 18 août.
Des musiques moins graves
Une autre catégorie de musique, moins solennelle, moins religieuse, plus familière semble-t-il, provoque la rencontre avec d’autres pays, d’autres genres, d’autres cultures.
Ainsi le premier concert, le 7 juillet, les Chants sacrés, populaires et contemporains d’Afrique et le chœur la Grâce de Kinshasa sous la direction d’Ambroise Kua-Nzambi Toko. Ou encore la Splendeur de la Liturgie Orthodoxe par le Chœur de Crimée, dirigé par Igor Mikhailevsky. Cet ensemble a le mérite d’avoir interprété pour la première fois et en public des œuvres de compositeurs occidentaux, Russes et Ukrainiens interdits sous le régime soviétique. A Rodez, le 27 juillet, Sylvanès le 28 et Conques, le 29.
Parmi les ensembles classiques, notons encore Acqua Di Musica pour le Salve Regina de Scarlatti, le 10 août à Comberoumal, superbe prieuré de l’ordre de Saint-Michel de Grandmont (à voir également), Magali Léger et l’Ensemble Rosasolis présentant Boccherini à la cour d’Espagne, le 11 août.
A noter aussi les Huit Saisons, Quatre de Vivaldi, fort connues et un dialogue avec les Quatre de Piazzolla, interprétées par Richard Galliano. Une découverte.
Et d’autres musiques encore, les voix du pays Basque et de Russie, le 25 août ; les Musiques du Soleil sur les routes d’Espagne et d’Amérique du sud, par le trio Borsalino, le 16 août; du classique au violon tzigane avec Gypsy Way et Pavel Sporcl, ou la Féerie Russe et Tsigane du 28 juillet.
Partout et encore des musiques, qui font danser et chanter, qui mettent de la gaîté, font sècher les larmes -ou créent l’émotion-, des musiques qui mettent en transes ou libèrent, qui font songer et penser. La voilà la musique libératrice et c’est par elle que passent les métamorphoses nécessaires.
Jacqueline Aimar
05 65 98 20 20