Ensemble Calliopée le 28 juillet dans Grottes des Canalettes © DR
Des mises en scène attractives
Autre découverte, les Histoires de soldats, le 30 juillet. Œuvres au rythme martial - la Marche des soldats de plomb de Gabriel Piern,- cavalcades épiques et miniatures enfantines, de Haydn à Hindemith en passant par le Chevalier de Saint-Georges. Elles sont interprétées par le Quatuor Enesco, entre les murs du Fort Libéria, - ce n’est pas un hasard,- un édifice construit par Vauban. C’est Didier Sandre qui intervient au fort Libéria, dans ces histoires de soldats.
Grande mise en scène attractive : une journée consacrée à l’art, au Musée d’Art Moderne de Céret : les Tableaux d’une improvisation, avec des moments musicaux improvisés devant les pièces majeures du musée, le 31 juillet entre 10 et 18h .
Le soir, Peinture et Musique par l’ensemble Calliopee et le Fine Arts Quartet avec Ralf Evans et Robert Cohen, violoncelle.
Et pour rester très classique, une soirée Mozart profane et religieux toujours très apprécié, avec une version du Requiem en quatuor à cordes puis des extraits avec voix par le Talich Quartet.
Comme l’Espagne est toute proche, elle sera très présente aussi le 11 août grâce à Sur la route d’Espagne par le Talich Quartet.
Le 7 août, embarquement ultime pour les Amériques : le programme fait appel à Bela Bartok, Aaron Copland, Vila-Lobos, Dvorak et son quatuor Américain ; et aussi les Tangos de Piazzolla. (avec Christian Altenburger, le Talich Quartet, et aussi Michel Lethiec, et Yves Henry.)
Les hommages
Le festival rend hommage à d’autres interprètes mythiques, du violoniste virtuose Joseph Joachim, célèbre dédicataire de partitions de Brahms et Schumann, à Mstislav Rostropovitch devenu une légende du violoncelle et honoré dans les Rencontres avec Rostropovitch, le 9 août.
Hommage enfin à Pablo Casals pour le concert de clôture, le 13 août, celui des étudiants, avec des œuvres de Schubert et de Casals (Le Chant des Oiseaux).
Un vibrant hommage est également rendu aux Deux Pablo pour la paix, Picasso et Casals, ambassadeurs de la paix, sur des textes de Pablo Neruda dits par Didier Sandre.
Et Pablo Casals, l’artiste et violoncelliste épris de liberté, qui croyait à la folie que la musique pouvait sauver le monde et qui a agi en tout, pour tenter de le sauver.
Et qui pensait que Pau, peut-être, aurait voulu dire paix !
Et a créé ce Festival de Prades.
Jacqueline Aimar
Rens. 04 68 96 33 07
Autre découverte, les Histoires de soldats, le 30 juillet. Œuvres au rythme martial - la Marche des soldats de plomb de Gabriel Piern,- cavalcades épiques et miniatures enfantines, de Haydn à Hindemith en passant par le Chevalier de Saint-Georges. Elles sont interprétées par le Quatuor Enesco, entre les murs du Fort Libéria, - ce n’est pas un hasard,- un édifice construit par Vauban. C’est Didier Sandre qui intervient au fort Libéria, dans ces histoires de soldats.
Grande mise en scène attractive : une journée consacrée à l’art, au Musée d’Art Moderne de Céret : les Tableaux d’une improvisation, avec des moments musicaux improvisés devant les pièces majeures du musée, le 31 juillet entre 10 et 18h .
Le soir, Peinture et Musique par l’ensemble Calliopee et le Fine Arts Quartet avec Ralf Evans et Robert Cohen, violoncelle.
Et pour rester très classique, une soirée Mozart profane et religieux toujours très apprécié, avec une version du Requiem en quatuor à cordes puis des extraits avec voix par le Talich Quartet.
Comme l’Espagne est toute proche, elle sera très présente aussi le 11 août grâce à Sur la route d’Espagne par le Talich Quartet.
Le 7 août, embarquement ultime pour les Amériques : le programme fait appel à Bela Bartok, Aaron Copland, Vila-Lobos, Dvorak et son quatuor Américain ; et aussi les Tangos de Piazzolla. (avec Christian Altenburger, le Talich Quartet, et aussi Michel Lethiec, et Yves Henry.)
Les hommages
Le festival rend hommage à d’autres interprètes mythiques, du violoniste virtuose Joseph Joachim, célèbre dédicataire de partitions de Brahms et Schumann, à Mstislav Rostropovitch devenu une légende du violoncelle et honoré dans les Rencontres avec Rostropovitch, le 9 août.
Hommage enfin à Pablo Casals pour le concert de clôture, le 13 août, celui des étudiants, avec des œuvres de Schubert et de Casals (Le Chant des Oiseaux).
Un vibrant hommage est également rendu aux Deux Pablo pour la paix, Picasso et Casals, ambassadeurs de la paix, sur des textes de Pablo Neruda dits par Didier Sandre.
Et Pablo Casals, l’artiste et violoncelliste épris de liberté, qui croyait à la folie que la musique pouvait sauver le monde et qui a agi en tout, pour tenter de le sauver.
Et qui pensait que Pau, peut-être, aurait voulu dire paix !
Et a créé ce Festival de Prades.
Jacqueline Aimar
Rens. 04 68 96 33 07