L'Illuminé. Un Cinéma-Théâtre de Marc Hollogne. Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir. 11h Salle Léo Ferré.
La journée débute avec l’inattendu Cinéma-théâtre vérité de Marc Hollogne, dont c’est la 1ère venue à Avignon après 30 années de spectacles à travers le monde. Fidèle à ses mises en scène permettant aux acteurs sur scène de dialoguer tout à fait naturellement avec leurs répliques projetées sur un écran de cinéma, avec L'illuminé, Marc Hollogne intensifient le propos et la forme de ces créations précédentes : 1788, la veille d'une révolution qui n'en était encore qu'à ses tous premiers balbutiements, la révolution
industrielle ! Le Chevalier de Casignac hurle, du fond de son cachot, qu'il faut interdire la multiplication de ces machines. Les tirades excentriques de ce Chevalier, par illuminations métaphoriques, nous parlent de notre environnement actuel, truffé de dépendances technologiques, truffé de signaux alarmistes que la course au profit continue de « nuancer ».
industrielle ! Le Chevalier de Casignac hurle, du fond de son cachot, qu'il faut interdire la multiplication de ces machines. Les tirades excentriques de ce Chevalier, par illuminations métaphoriques, nous parlent de notre environnement actuel, truffé de dépendances technologiques, truffé de signaux alarmistes que la course au profit continue de « nuancer ».
La Ferme des concombres, de et avec Patrick Robine. Mise en scène Jean-Michel Ribes. 11h15 Salle John Coltrane
Ce spectacle, crée au Théâtre du Rond Point à Paris, a obtenu le Grand prix de l’Humour Noir 2009.
Coréalisation Théâtre du Chêne Noir Patrick Robine, qualifié de "comédien phénomène sonore", la formule résume l’exploit !
Guidé par Jean-Michel Ribes, seul en scène, il nous entraîne sur toutes les traces de l’animal à l’homme, pour un de ses voyages formidables loin de toutes destinations.
« Patrick Robine a ce don rare de porter l’incongru au sommet des Beaux-arts. Dans le ciel de la cocasserie, du drolatique, et de la poésie malicieusement subversive, Patrick Robine, acteur aussi singulier que ses textes, incarne le non-voyage d’une famille qui semble sortie tout droit des oeuvres de Lewis Carroll, d’un film des Marx Brothers et d’une toile de Magritte. Je reste persuadé que notre théâtre a besoin d’être rafraîchi régulièrement par l’extravagance poétique du trop rare Patrick Robine. » Jean-Michel Ribes
Coréalisation Théâtre du Chêne Noir Patrick Robine, qualifié de "comédien phénomène sonore", la formule résume l’exploit !
Guidé par Jean-Michel Ribes, seul en scène, il nous entraîne sur toutes les traces de l’animal à l’homme, pour un de ses voyages formidables loin de toutes destinations.
« Patrick Robine a ce don rare de porter l’incongru au sommet des Beaux-arts. Dans le ciel de la cocasserie, du drolatique, et de la poésie malicieusement subversive, Patrick Robine, acteur aussi singulier que ses textes, incarne le non-voyage d’une famille qui semble sortie tout droit des oeuvres de Lewis Carroll, d’un film des Marx Brothers et d’une toile de Magritte. Je reste persuadé que notre théâtre a besoin d’être rafraîchi régulièrement par l’extravagance poétique du trop rare Patrick Robine. » Jean-Michel Ribes
Carmenseitas. De Edmonde Franchi, Mise en scène : Agnès Régolo. 13h15 salle Léo Ferré
Avec Hélène Force, Edmonde Franchi, Catherine Lecoq, Tania Sourseva; Chants : Michèle Fernandez
Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Un spectacle théâtro-musical drôle et émouvant, qui trace des histoires d’immigration, d'entraide, d'amitiés, des histoires humaines. Il s’inscrit du côté des gens que l’on dit de peu, et qui recèlent toutes les richesses du coeur. Pour garder la mémoire!
Carmenseitas ravive avec chaleur et émotion la mémoire d'un monde perdu, populaire et militant, celui des femmes ouvrières à la Manufacture des tabacs de Marseille, de 1890 à 1990. Car plus oubliée que l'ouvrier est l'ouvrière ! Que sont elles devenues ?
La mémoire est un processus cocasse, Carmenseitas l'est aussi, réunissant enquêtes, chants, monologues, dialogues et portraits, dans une association libre et facétieuse.
Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Un spectacle théâtro-musical drôle et émouvant, qui trace des histoires d’immigration, d'entraide, d'amitiés, des histoires humaines. Il s’inscrit du côté des gens que l’on dit de peu, et qui recèlent toutes les richesses du coeur. Pour garder la mémoire!
Carmenseitas ravive avec chaleur et émotion la mémoire d'un monde perdu, populaire et militant, celui des femmes ouvrières à la Manufacture des tabacs de Marseille, de 1890 à 1990. Car plus oubliée que l'ouvrier est l'ouvrière ! Que sont elles devenues ?
La mémoire est un processus cocasse, Carmenseitas l'est aussi, réunissant enquêtes, chants, monologues, dialogues et portraits, dans une association libre et facétieuse.
Femmes passées sous silence. Idée originale, mise en scène et scénographie : François BOURCIER. 13h30 Salle John Coltrane
Avec Flavie AVARGUES, Vanessa BETTANNE, Caroline FILIPEK
Montage de textes de A.GUYARD, M.LEVY, N.TRINTIGNANT, A.VISNIEC, B.WERBER…
et avec l’aimable participation de MOLIERE, BEAUMARCHAIS, MUSSET, FEYDEAU…
Chorégraphie : Balkis Manoukian
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Après Sacco et Vanzetti avec Dau et Catella l’été dernier, le Chêne Noir retrouve François Bourcier (qui avait également livré au festival dernier un vibrant Résister c’est exister), pour cette toute nouvelle création autour de la question du droit des Femmes. Un savant dosage où tolérance et liberté riment avec sagacité.
Femmes voilées, battues, violées, excisées, prostituées. Destins tragiques de celles que la morale universelle dominante condamne au silence, sous la chape de plomb de la burka, du mariage forcé, des guerres et religions… Femmes au quotidien, mères divorcées sans revenu ni mari, femmes syndicalistes harcelées. Âmes invisibles, inaudibles, condamnées à subir un autre type d'oppression: la misère. Réunir les témoignages de ces femmes-là et les autres, les restituer par l’intermédiaire d’un collectif d’auteurs, c’est entendre leurs cris. Écoutez, ce sont aussi les nôtres!
Montage de textes de A.GUYARD, M.LEVY, N.TRINTIGNANT, A.VISNIEC, B.WERBER…
et avec l’aimable participation de MOLIERE, BEAUMARCHAIS, MUSSET, FEYDEAU…
Chorégraphie : Balkis Manoukian
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Après Sacco et Vanzetti avec Dau et Catella l’été dernier, le Chêne Noir retrouve François Bourcier (qui avait également livré au festival dernier un vibrant Résister c’est exister), pour cette toute nouvelle création autour de la question du droit des Femmes. Un savant dosage où tolérance et liberté riment avec sagacité.
Femmes voilées, battues, violées, excisées, prostituées. Destins tragiques de celles que la morale universelle dominante condamne au silence, sous la chape de plomb de la burka, du mariage forcé, des guerres et religions… Femmes au quotidien, mères divorcées sans revenu ni mari, femmes syndicalistes harcelées. Âmes invisibles, inaudibles, condamnées à subir un autre type d'oppression: la misère. Réunir les témoignages de ces femmes-là et les autres, les restituer par l’intermédiaire d’un collectif d’auteurs, c’est entendre leurs cris. Écoutez, ce sont aussi les nôtres!
Agatha de Marguerite Duras. Mise en scène : Daniel MESGUICH. 15h30 salle Léo Ferré
Avec William Mesguich et Sarah Mesguich
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Le Chêne Noir poursuit sa longue histoire de théâtre et d’amitié avec "Les Mesguich".
En saisons d’hiver ou comme à l’été 2007 avec Pascal-Descartes, Daniel et William connaissent bien ses planches. Aujourd’hui, c’est inédit, nous retrouvons le père à la mise en scène, et la soeur et le frère sur scène, pour incarner le dialogue de ce frère et cette soeur, héros de Marguerite Duras, unis par un secret. Agatha, l’éloge de l’interdit suprême.
« Agatha a la rigueur d’une tragédie grecque contemporaine : la malédiction de l’amour a frappé et celle de la séparation va s’abattre. Il fallait deux acteurs familiers de l’écriture et qu’ils sachent jouer de celle, simple et difficile, de Duras. Il fallait qu’ils soient le plus différent possible mais que l’on ressente une mêmeté. J’ai choisi William et Sarah, frère et soeur dans la vie. » Daniel Mesguich
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Le Chêne Noir poursuit sa longue histoire de théâtre et d’amitié avec "Les Mesguich".
En saisons d’hiver ou comme à l’été 2007 avec Pascal-Descartes, Daniel et William connaissent bien ses planches. Aujourd’hui, c’est inédit, nous retrouvons le père à la mise en scène, et la soeur et le frère sur scène, pour incarner le dialogue de ce frère et cette soeur, héros de Marguerite Duras, unis par un secret. Agatha, l’éloge de l’interdit suprême.
« Agatha a la rigueur d’une tragédie grecque contemporaine : la malédiction de l’amour a frappé et celle de la séparation va s’abattre. Il fallait deux acteurs familiers de l’écriture et qu’ils sachent jouer de celle, simple et difficile, de Duras. Il fallait qu’ils soient le plus différent possible mais que l’on ressente une mêmeté. J’ai choisi William et Sarah, frère et soeur dans la vie. » Daniel Mesguich
Un privé à Babylone de Richard Brautigan. Mise en scène Philippe Rebbot. 15h45 Salle John Coltrane
Avec Romane BOHRINGER
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
En juillet 2001, le Chêne Noir recevait Richard Bohringer, son père. Romane avait « flashé » sur la salle John Coltrane, "j’y verrais bien quelque chose à moi" nous avait-elle dit. Et bien voilà, 9 ans après, elle et Philippe Rebbot sont heureux de faire naître leur bébé artistique au Chêne Noir. D’une lecture, saluée par les nombreux présents, Un privé à Babylone est devenu spectacle. Un papillon est né !
« Il existe une tribu quelque part, de papous, je crois, qui considèrent que le rêve est aussi important que la réalité, ainsi, dans cette tribu, si dans votre sommeil, en rêve vous avez trompé votre meilleur ami avec sa femme, vous devez , dès le lendemain, aller vous en excuser auprès du couple. Pourquoi je vous dis ça ?
Parce que pour Richard Brautigan et son héros « Privé à Babylone », les rêves, c’est pas un truc à prendre à la légère. Quand il s’est agit de trouver une voix à Richard Brautigan, le choix de Romane Bohringer s’est imposé immédiatement. Outre ses qualités d’actrice, et la beauté de son coeur naïf, encore neuf, toujours prêt au rêve et à l’amour, il se trouve que Romane B. est la femme de mes rêves, ma « nana de Babylone », avec qui je partage tous les jours une réalité… de rêve. » Philippe Rebbot
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
En juillet 2001, le Chêne Noir recevait Richard Bohringer, son père. Romane avait « flashé » sur la salle John Coltrane, "j’y verrais bien quelque chose à moi" nous avait-elle dit. Et bien voilà, 9 ans après, elle et Philippe Rebbot sont heureux de faire naître leur bébé artistique au Chêne Noir. D’une lecture, saluée par les nombreux présents, Un privé à Babylone est devenu spectacle. Un papillon est né !
« Il existe une tribu quelque part, de papous, je crois, qui considèrent que le rêve est aussi important que la réalité, ainsi, dans cette tribu, si dans votre sommeil, en rêve vous avez trompé votre meilleur ami avec sa femme, vous devez , dès le lendemain, aller vous en excuser auprès du couple. Pourquoi je vous dis ça ?
Parce que pour Richard Brautigan et son héros « Privé à Babylone », les rêves, c’est pas un truc à prendre à la légère. Quand il s’est agit de trouver une voix à Richard Brautigan, le choix de Romane Bohringer s’est imposé immédiatement. Outre ses qualités d’actrice, et la beauté de son coeur naïf, encore neuf, toujours prêt au rêve et à l’amour, il se trouve que Romane B. est la femme de mes rêves, ma « nana de Babylone », avec qui je partage tous les jours une réalité… de rêve. » Philippe Rebbot
Ernesto Che Guevara, la dernière nuit de José Pablo FEINMANN. Mise en scène, scénographie, lumière : Gérard GELAS. 18h Salle Léo Ferré
Traduction et adaptation : Marion LORAN
Avec Olivier SITRUK, Jacques FRANTZ, Laure VALLÈS, Guillaume LANSON, François SANTUCCI
Après le fabuleux destin de sa dernière mise en scène Confidences à Allah, saluée par le Syndicat National de la Critique et jusqu’aux Molières, Gérard Gelas secoue de nouveau nos consciences : dans une société qui se mondialise en semblant perdre ses valeurs, Che Guevara nous interroge. Icône romantique, ou bourreau sanguinaire? Héros de la jeunesse, quel idéal trouve-t-elle en lui, et sait-elle seulement vraiment qui il est ?
Révolutionnaire utopiste, mais au prix de quels sacrifices ? Le Che redevient un homme de chair et de sang, interrogé à vif, quelques heures avant sa mort...
C’est quoi pour vous le monde libre ? Un mano a mano abrasif et surréaliste, dans lequel nous entraîne l’auteur argentin José Pablo Feinmann. Face au Che qui vit ses dernières heures, campé dans les certitudes et les incertitudes de son temps, un journaliste de notre époque, pétri des questions qui sont les nôtres aujourd’hui. S’entame un vrai duel oratoire, vigoureux et passionné, autour de la violence des armes et celle des idées qui ne fait du Che ni une icône, ni un monstre assoiffé de sang.
« Il y a longtemps que je m’irritais de voir le Che réduit à une image pour tee-shirt. Enfin, il parle. Ce qu’il a à nous dire éclaire d’un autre jour une personnalité qui, qu’on le veuille ou non, fait partie de notre histoire. » Gérard Gelas
Avec Olivier SITRUK, Jacques FRANTZ, Laure VALLÈS, Guillaume LANSON, François SANTUCCI
Après le fabuleux destin de sa dernière mise en scène Confidences à Allah, saluée par le Syndicat National de la Critique et jusqu’aux Molières, Gérard Gelas secoue de nouveau nos consciences : dans une société qui se mondialise en semblant perdre ses valeurs, Che Guevara nous interroge. Icône romantique, ou bourreau sanguinaire? Héros de la jeunesse, quel idéal trouve-t-elle en lui, et sait-elle seulement vraiment qui il est ?
Révolutionnaire utopiste, mais au prix de quels sacrifices ? Le Che redevient un homme de chair et de sang, interrogé à vif, quelques heures avant sa mort...
C’est quoi pour vous le monde libre ? Un mano a mano abrasif et surréaliste, dans lequel nous entraîne l’auteur argentin José Pablo Feinmann. Face au Che qui vit ses dernières heures, campé dans les certitudes et les incertitudes de son temps, un journaliste de notre époque, pétri des questions qui sont les nôtres aujourd’hui. S’entame un vrai duel oratoire, vigoureux et passionné, autour de la violence des armes et celle des idées qui ne fait du Che ni une icône, ni un monstre assoiffé de sang.
« Il y a longtemps que je m’irritais de voir le Che réduit à une image pour tee-shirt. Enfin, il parle. Ce qu’il a à nous dire éclaire d’un autre jour une personnalité qui, qu’on le veuille ou non, fait partie de notre histoire. » Gérard Gelas
Paris Frou-Frou, la dernière séance. Ecrit et mis en scène par Jérôme SAVARY. 20h30 Salle Léo Ferré
Avec Michel DUSSARAT, Frédéric LONGBOIS et Philippe Rozenglotz au piano
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Ils se connaissent depuis plus de 40 ans. Ils ? Jérôme Savary et Gérard Gelas. C’était l’époque du Grand Magic Circus et du « toujours » Théâtre du Chêne Noir. Le retour ! Après plusieurs créations dans le Festival officiel, la dernière remonte à 1990, accueillir Jérôme Savary avec sa dernière pièce, une évidence et un honneur !
Tout comme pour Michel Dussarat pour lequel Savary a écrit ce "Paris Froufrou". On se régale à l’avance des affres de ce meneur de revue travesti aux portes de la retraite.
Monsieur Roger (Frédéric Longbois) est le directeur d’un cabaret de revue minable situé non loin du célèbre Moulin Rouge, et qui s’appelle le « Paris Frou-Frou ». René ou Renée (Michel Dussarat), en est au choix et simultanément le présentateur et la meneuse de revue. Les affaires vont mal au « Paris Frou-Frou » et Monsieur Roger songe à licencier René(e), qui, il faut le dire, va sur ses soixante-cinq ans, ce qui pour une meneuse de revue frôle le dépassement outrancier de la date de péremption...
Création / Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Ils se connaissent depuis plus de 40 ans. Ils ? Jérôme Savary et Gérard Gelas. C’était l’époque du Grand Magic Circus et du « toujours » Théâtre du Chêne Noir. Le retour ! Après plusieurs créations dans le Festival officiel, la dernière remonte à 1990, accueillir Jérôme Savary avec sa dernière pièce, une évidence et un honneur !
Tout comme pour Michel Dussarat pour lequel Savary a écrit ce "Paris Froufrou". On se régale à l’avance des affres de ce meneur de revue travesti aux portes de la retraite.
Monsieur Roger (Frédéric Longbois) est le directeur d’un cabaret de revue minable situé non loin du célèbre Moulin Rouge, et qui s’appelle le « Paris Frou-Frou ». René ou Renée (Michel Dussarat), en est au choix et simultanément le présentateur et la meneuse de revue. Les affaires vont mal au « Paris Frou-Frou » et Monsieur Roger songe à licencier René(e), qui, il faut le dire, va sur ses soixante-cinq ans, ce qui pour une meneuse de revue frôle le dépassement outrancier de la date de péremption...
Casanova, requiem for love. D’après Giacomo CASANOVA, Søren KIERKEGAARD, Diana DOBREVA (mise en scène).
Musique: Petia DIMANOVA; Chorégraphie: Tatiana SOKOLOVA
Avec Vladimir KARAMAZOV, Biliana PETRINSKA, Jana ILIEVA, Borislava KOSTADINOVA, Desislava PASHOVA, Vilma KARTALSKA, Aneli PINO, Diana SPASOVA, Asen LEVOV, Daniel RASHEV, Venelin METODIEV, Miroslava GOGOVSKA,
Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Au cours d’un voyage en Bulgarie, Gérard Gelas a découvert plusieurs spectacles de Diana Dobreva. Ce spectacle, d’une grande force et salué partout en Bulgarie et en Europe de l’Est, offre la vision d’un "Casanova" totalement renouvelé, où l’érotisme flamboyant pourrait se placer sous le haut patronage de Georges Bataille et d’Antonin Artaud.
C’est le parcours initiatique de Giacomo Casanova, l’histoire d’un homme qui à la fin de sa vie, dans son dernier souffle, va percevoir l’image lumineuse de l’Amour Eternel.
« L’idée même que ce paradis originel, nous en avons gardé la mémoire indélébile au plus profond de nos cellules, de nos gènes, et que nous le cherchons sans cesse jusqu’aux derniers instants de notre vie, sous-tend mon spectacle » Diana Dobreva.
Avec Vladimir KARAMAZOV, Biliana PETRINSKA, Jana ILIEVA, Borislava KOSTADINOVA, Desislava PASHOVA, Vilma KARTALSKA, Aneli PINO, Diana SPASOVA, Asen LEVOV, Daniel RASHEV, Venelin METODIEV, Miroslava GOGOVSKA,
Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
Au cours d’un voyage en Bulgarie, Gérard Gelas a découvert plusieurs spectacles de Diana Dobreva. Ce spectacle, d’une grande force et salué partout en Bulgarie et en Europe de l’Est, offre la vision d’un "Casanova" totalement renouvelé, où l’érotisme flamboyant pourrait se placer sous le haut patronage de Georges Bataille et d’Antonin Artaud.
C’est le parcours initiatique de Giacomo Casanova, l’histoire d’un homme qui à la fin de sa vie, dans son dernier souffle, va percevoir l’image lumineuse de l’Amour Eternel.
« L’idée même que ce paradis originel, nous en avons gardé la mémoire indélébile au plus profond de nos cellules, de nos gènes, et que nous le cherchons sans cesse jusqu’aux derniers instants de notre vie, sous-tend mon spectacle » Diana Dobreva.
Pratique
Locations :
- En ligne www.chenenoir.fr
- par téléphone 04 90 82 40 57
Jusqu’au 6 juillet, de 14h à 18h du mardi au vendredi
Dès le 7 juillet de 10h à 18h tous les jours
Courrier jusqu’au 2 juillet (8bis, rue Sainte Catherine 84000 Avignon)
Billetterie du Théâtre Dès le 7 juillet de 10h à 13h15 / 14h à 20h30 / 21h15 à 22h30
- En ligne www.chenenoir.fr
- par téléphone 04 90 82 40 57
Jusqu’au 6 juillet, de 14h à 18h du mardi au vendredi
Dès le 7 juillet de 10h à 18h tous les jours
Courrier jusqu’au 2 juillet (8bis, rue Sainte Catherine 84000 Avignon)
Billetterie du Théâtre Dès le 7 juillet de 10h à 13h15 / 14h à 20h30 / 21h15 à 22h30