La Vie fantastique @ Léo Ballani
Forts de leur expérience commune dans la pédagogie collective auprès d’enfants et de jeunes n’ayant pas un accès facile à la pratique musicale ou chorégraphique, le dispositif Démos et Josette Baïz ont co-construit ce projet éducatif et artistique qui réunit sur scène 200 musiciens et 39 jeunes danseurs du Groupe Grenade, dont une vingtaine est issue des quartiers nord de Marseille.
A l’issue de l’Olympiade Culturelle, La Vie fantastique est proposée en tournée dans sa version chorégraphique, sans la participation des orchestres Démos.
La Vie fantastique est une pièce chorégraphique en deux parties
Première partie
Le spectacle s’ouvre sur un quatuor, inspiré par la planète Neptune, du compositeur Gustav Holst.
Appelée la Mystique, elle ouvre vers une autre dimension, au-delà du connu, aussi vaste que l’espace et aussi intemporelle que l’infini. Elle nous permet, grâce à sa profondeur surnaturelle, de créer une chorégraphie qui semble flotter dans une zone éthérée et crépusculaire.
Lorsque Neptune disparaîtra dans l’obscurité noire de la nuit, elle nous laissera l’esprit libre et ouvert, pour embarquer vers le grand voyage de La Vie fantastique.
Seconde partie
Dans ce conte, pensé par Josette Baïz, une petite fille d’abord prisonnière, attire et emmène une troupe d’enfants dans son voyage aventureux, traversant forêts, châteaux et territoires lointains, oniriques et sensibles, paisibles comme paroxystiques.
Mais l’argument central, autre lecture, est aussi le chemin vers une nouvelle poétisation du monde, à la manière passionnée des romantiques - dont la musique « classique » parcourt le spectacle - ou des amérindiens – exaltation et mystère de la nature -, qui ont inspiré aussi les compositeurs contemporains de ce spectacle total.
Musiques, textes, chants, voix, mouvements et danses ethniques multiples s’enchaînent, exaltant l’imaginaire et la créativité des enfants et adolescents de Grenade comme la richesse de leur manifeste diversité. Le spectacle fait la part belle à la nature et à l’humanisme, sans ignorer les épisodes de guerre et de tensions qui traversent nos sociétés.
Après Baobabs et l’inquiétude sur le futur troublé de l’humanité, La Vie fantastique fait le choix de la joie dans une aventure qui tisse peu à peu les liens possibles entre le je, le nous et le monde vivant.
Christine Surdon, conseillère artistique
A l’issue de l’Olympiade Culturelle, La Vie fantastique est proposée en tournée dans sa version chorégraphique, sans la participation des orchestres Démos.
La Vie fantastique est une pièce chorégraphique en deux parties
Première partie
Le spectacle s’ouvre sur un quatuor, inspiré par la planète Neptune, du compositeur Gustav Holst.
Appelée la Mystique, elle ouvre vers une autre dimension, au-delà du connu, aussi vaste que l’espace et aussi intemporelle que l’infini. Elle nous permet, grâce à sa profondeur surnaturelle, de créer une chorégraphie qui semble flotter dans une zone éthérée et crépusculaire.
Lorsque Neptune disparaîtra dans l’obscurité noire de la nuit, elle nous laissera l’esprit libre et ouvert, pour embarquer vers le grand voyage de La Vie fantastique.
Seconde partie
Dans ce conte, pensé par Josette Baïz, une petite fille d’abord prisonnière, attire et emmène une troupe d’enfants dans son voyage aventureux, traversant forêts, châteaux et territoires lointains, oniriques et sensibles, paisibles comme paroxystiques.
Mais l’argument central, autre lecture, est aussi le chemin vers une nouvelle poétisation du monde, à la manière passionnée des romantiques - dont la musique « classique » parcourt le spectacle - ou des amérindiens – exaltation et mystère de la nature -, qui ont inspiré aussi les compositeurs contemporains de ce spectacle total.
Musiques, textes, chants, voix, mouvements et danses ethniques multiples s’enchaînent, exaltant l’imaginaire et la créativité des enfants et adolescents de Grenade comme la richesse de leur manifeste diversité. Le spectacle fait la part belle à la nature et à l’humanisme, sans ignorer les épisodes de guerre et de tensions qui traversent nos sociétés.
Après Baobabs et l’inquiétude sur le futur troublé de l’humanité, La Vie fantastique fait le choix de la joie dans une aventure qui tisse peu à peu les liens possibles entre le je, le nous et le monde vivant.
Christine Surdon, conseillère artistique
Info+
Durée : 1 heure
Pièce chorégraphique de Josette Baïz pour 39 danseurs enfants / adolescents
Premières
Grand Théâtre de Provence
Aix-en-Provence - Novembre 2024
Pièce chorégraphique de Josette Baïz pour 39 danseurs enfants / adolescents
Premières
Grand Théâtre de Provence
Aix-en-Provence - Novembre 2024