Ce n'est pas très compliqué
Ce n'est pas très compliqué, Samuel Ribeyron : Hier, en dessinant, Louise m’a demandé ce que j’avais dans la tête. Je n’ai pas su quoi répondre. Alors, j’ai voulu voir. Ce n’est pas très compliqué… une histoire tendre qui donne à voir l'intériorité de l'enfance et la richesse de son imaginaire. Paru en oct. 2014
Résumé du livre. Un garçon aime beaucoup Louise, sa voisine. Ensemble, ils partagent le plaisir de dessiner à la craie des arbres par terre dans leur petite rue. Un jour, Louise demande à son ami ce qu’il a dans la tête. Comme il ne sait pas quoi répondre, il décide d’aller y voir. Ce n’est pas très compliqué… Là, il découvre une forêt silencieuse, une autre secrète, puis une timide, etc. Dans un coin, il y a même la forêt de leur rue. Pendant ce temps, la vie réelle fait son œuvre et Louise déménage. Ici, point de larmes. Serait-ce que ce garçon n’a pas de cœur ? Ce n’est pas très compliqué… il suffit d’aller y voir pour découvrir son univers intime où Louise continue de rêver et de dessiner.
format : 25 x 34 cm, 48 p., relié, couv. cartonnée
collection : hors coll.
âge : dès 5 ans
parution : septembre 2014
ISBN : 978-2-35558-087-1
genre : album, histoire tendre pour grandir
mots clés : amitié, enfance, absence, imaginaire, vie intérieure
prix : 16,50 €
Résumé du livre. Un garçon aime beaucoup Louise, sa voisine. Ensemble, ils partagent le plaisir de dessiner à la craie des arbres par terre dans leur petite rue. Un jour, Louise demande à son ami ce qu’il a dans la tête. Comme il ne sait pas quoi répondre, il décide d’aller y voir. Ce n’est pas très compliqué… Là, il découvre une forêt silencieuse, une autre secrète, puis une timide, etc. Dans un coin, il y a même la forêt de leur rue. Pendant ce temps, la vie réelle fait son œuvre et Louise déménage. Ici, point de larmes. Serait-ce que ce garçon n’a pas de cœur ? Ce n’est pas très compliqué… il suffit d’aller y voir pour découvrir son univers intime où Louise continue de rêver et de dessiner.
format : 25 x 34 cm, 48 p., relié, couv. cartonnée
collection : hors coll.
âge : dès 5 ans
parution : septembre 2014
ISBN : 978-2-35558-087-1
genre : album, histoire tendre pour grandir
mots clés : amitié, enfance, absence, imaginaire, vie intérieure
prix : 16,50 €
Yllavu
Yllavu, Gambhiro BHIKKHU ~ Samuel RIBEYRON
Résumé - Il était une fois un pays où les gens vivaient heureux, en harmonie les uns avec les autres. Le ciel, le soleil, les arbres, les étoiles, le temps… toutes les merveilles du monde étaient à leur portée. Le peu qu’ils possédaient leur suffisait. Mais un jour, de petites pierres brillantes apparurent sur le sol. Bientôt, tout le monde n’eut qu’une obsession : en trouver le plus possible. A force de courber l’échine et de baisser la tête, tous en vinrent à penser que la lune était une invention des rêveurs. Bien des générations plus tard, un des habitants de ce monde s’écarta du chemin tracé et se perdit. La nuit venue, il tomba à la renverse dans un trou. De là, il a vu… tant de belles choses qu’il s’empressa d’aller partager sa joie et sa découverte. On l’appellera Yllavu, mais le croira-t-on ?
format : 18,7 x 24,6 cm, 40 p., relié, couv. cartonnée
âge : dès 7 ans
parution : 5 février 2015
ISBN : 978-2-35558-092-5
genre : texte illustré, conte de sagesse d'Asie
mots clés : éveil, joie78-2éveil, joie partage
prix : 12,70 €
Résumé - Il était une fois un pays où les gens vivaient heureux, en harmonie les uns avec les autres. Le ciel, le soleil, les arbres, les étoiles, le temps… toutes les merveilles du monde étaient à leur portée. Le peu qu’ils possédaient leur suffisait. Mais un jour, de petites pierres brillantes apparurent sur le sol. Bientôt, tout le monde n’eut qu’une obsession : en trouver le plus possible. A force de courber l’échine et de baisser la tête, tous en vinrent à penser que la lune était une invention des rêveurs. Bien des générations plus tard, un des habitants de ce monde s’écarta du chemin tracé et se perdit. La nuit venue, il tomba à la renverse dans un trou. De là, il a vu… tant de belles choses qu’il s’empressa d’aller partager sa joie et sa découverte. On l’appellera Yllavu, mais le croira-t-on ?
format : 18,7 x 24,6 cm, 40 p., relié, couv. cartonnée
âge : dès 7 ans
parution : 5 février 2015
ISBN : 978-2-35558-092-5
genre : texte illustré, conte de sagesse d'Asie
mots clés : éveil, joie78-2éveil, joie partage
prix : 12,70 €
Samuel Ribeyron ~ auteur-illustrateur
Samuel Ribeyron, diplômé de l'École Émile-Cohl à Lyon et inspiré par ses nombreux voyages, notamment en Chine et au Japon, poursuit ses activités de créateur en Ardèche. Entre balades et baignades en rivière dans le Vercors, il écrit et illustre des histoires pour les enfants et réalise des films d'animation dont Beau voyage (éd. Corridor, 2010). Bricoleur touche-à-tout, il collabore depuis plusieurs années avec le studio d’animation Folimage comme décorateur-volume pour des films d'animation parmi lesquels ceux de la tétralogie Les quatre saisons de Léon.
Entretien avec Samuel RIBEYRON à l'occasion de la parution de son livre Ce n'est pas très compliqué. " Je peins les liens qui nous enrichissent. "
Tout en cultivant une expression plastique sensuelle, concrète et précise, Samuel Ribeyron aime dépeindre des vérités intérieures.
A l’occasion de la sortie de Ce n’est pas très compliqué, l’auteur-illustrateur évoque son travail de créateur.
Comme illustrateur, les personnages que vous créez séduisent immédiatement les lecteurs par leur physique évocateur et durablement par leur imaginaire mis en image. D’où vient votre inspiration ?
Le dessin a cela de magique qu’il permet toutes les fantaisies et les formes possibles. J’aime explorer des pistes graphiques différentes, et trouver le trait qui collera le mieux à chaque histoire. Je travaille les personnages avec les décors ; je ne peux pas dissocier les deux : ils fonctionnent ensemble et tiennent un rôle équivalent dans l’équilibre d’une image. Par exemple, l’univers graphique de "Pi, Po, Pierrot" est axé sur un jeu de formes rondes et carrées, évoquant la lourdeur ou la légèreté. C’est ce qui m’avait marqué à la lecture de ce texte. Pour chaque album, j’ai besoin d’un fil rouge qui me guidera : une forme, un trait, une couleur, une technique. Trouver de ce fil rouge me pousse à prendre des risques, à me surprendre. Pour chaque projet, je passe par une période de remise en question : je fais beaucoup de croquis, je réunis des ambiances colorées et des matières ; puis les personnages et les décors en découlent rapidement. Alors seulement je perçois l’ambiance qui se dégagera de l’album.
Comme auteur, vos personnages ont-ils déjà une image lorsque vous leur inventez une vie et des aventures ?
C’est assez variable, même s’il est vrai que mes personnages racontent à eux seuls une histoire par leurs formes, leurs attitudes, leurs couleurs. Je crois que j’écris les histoires que j’ai envie d’illustrer. Parfois c’est un personnage qui m’inspire une histoire. Dans le cas de Super Beige, par exemple, l’histoire est née deux ans après que j’ai construit le héros. Au contraire, l’histoire de "Ce n’est pas très compliqué", est inspirée d’une personne bien réelle, une amie d’enfance. Son image m’a suivi de l’écriture jusqu'à la mise en forme graphique.
Ce n’est pas très compliqué aborde les thèmes de l’amitié, la distance (indispensable aux liens), le dessin, la forêt. Vos illustrations (peinture et collages) accompagnent un texte où le silence vient après le mouvement (intérieur) : peut-on y voir un livre « témoin » de votre univers intime ?
Oui, sûrement ! D’abord, Louise a existé. Elle était ma voisine lorsque j’habitais dans un petit bourg de la Drôme. On dessinait dans la rue, avec de grosses craies de couleurs. C’était un moment privilégié, et j’en garde aujourd’hui un souvenir ému. C’est un point de départ rêvé pour une histoire ; ensuite je l’ai fait basculer dans l’imaginaire. En outre, "Ce n’est pas très compliqué" réunit aussi les thèmes qui me sont chers. Notamment la nature, très présente dans mon travail et la métaphore également. Dans ce livre les forêts sont autant de figures de sentiments intimes et le sujet principal du livre est précisément le monde intérieur. Enfant, les sentiments qui nous habitent sont nouveaux, confus et imprécis. Comment la peur et la douceur, l’imaginaire et la réalité, peuvent-ils cohabiter ?
En quoi cet univers vous paraît-il s’adresser aux enfants ? Comment réagissent-ils à vos créations ?
L’imaginaire est le plus grand espace de liberté des enfants ; c’est le lieu de tous les possibles. Il est précieux et intime à la fois. Pour le reste, il faut leur demander.
Le lien entre réel et imaginaire est très présent dans vos récits (textes ou images) et vous passez avec aisance de l’un à l’autre. Vous êtes un dessinateur de la vérité intérieure tout en restant sensuel, concret et précis dans votre expression plastique. Cela, même lorsque l’imaginaire est teinté d’ailleurs. Comment relevez-vous ce défi ?
Je ne me pose pas la question ainsi. Ce n’est pas un défi, c’est mon métier. À travers "Yllavu" et "Pi, Po, Pierrot", j’ai eu l’occasion d’aborder en image l’univers chinois. Ayant vécu une année en Chine, j’ai réalisé combien cette culture était empreinte de richesse humaine et graphique, et combien ces deux éléments pouvaient s’imbriquer parfaitement. Ce fut une aubaine et une sacrée coïncidence lorsque à mon retour de voyage vous me proposiez d’illustrer "Yllavu". J’étais alors imprégné et prêt à faire quelque chose de mon état.
A travers vos livres, revient sans cesse la question du lien – souvent ébranlé par les circonstances – avec les autres ("Salade de fruits", "Ce n’est pas très compliqué"), avec des parents proches ("Philbert", "Les Deux Maisons", "Beau Voyage", "Le Grand papa et sa toute petite fille"). Pour le bonheur des lecteurs, vous dépassez toujours le simple registre de la complicité et vos créations touchent comme une intime évidence. D’où vient votre sensibilité à cette question ?
Je crois que j’ai des thèmes de prédilection. Mais il y a aussi le choix que font les éditeurs de me proposer des textes dans un certain registre. Quoi qu’il en soit, j’illustre des histoires qui me touchent.
J’ai un lien très fort à ma famille, mes amis, et aujourd’hui à mes enfants, et j’aime vivre entouré des gens qui me sont chers. Ce thème m’a toujours intéressé. Lorsqu’on est adulte, ces liens nous enrichissent ; enfant, ils nous construisent. Les enfants évoluent avec les autres, et se retrouvent confrontés à des expériences de groupe, des amitiés, des conflits, etc. ; tout un éventail de sentiments dépendant du lien à l’autre. Il s’agit parfois de sentiments nouveaux, inquiétants sur lesquels les enfants ne mettent pas de mots, parce qu’ils leur sont encore inconnus. En grandissant, on appelle ça: l’amitié, l’amour, la jalousie, le secret, la peur, la douceur, la violence, la tendresse, la colère… et on se démène toujours avec les mêmes mots une fois adulte.
Comme adulte et lecteur, quels auteurs de littérature « jeunesse » appréciez-vous ?
Les livres sont là pour nourrir un monde intérieur. Pour les adultes comme pour les enfants. Pour ma part, j’ai découvert les livres sur le tard. Enfant, je ne lisais pas beaucoup ; je préférais jouer dehors. Je nourrissais mon monde intérieur avec des fusils en bois et des cabanes dans la forêt ! Adulte, je peux dire que certaines lectures « jeunesse » m’ont marqué. Notamment les romans de Jean-Claude Mourlevat, de Marie-Aude Murail, ou Michael Morpurgo ; les histoires d’Arnold Lobel, de Toon Tellegen ; les albums de Claude Ponti, Béatrice Alemagna, Kitty Crowther… et tant d’autres.
A l’occasion de la sortie de Ce n’est pas très compliqué, l’auteur-illustrateur évoque son travail de créateur.
Comme illustrateur, les personnages que vous créez séduisent immédiatement les lecteurs par leur physique évocateur et durablement par leur imaginaire mis en image. D’où vient votre inspiration ?
Le dessin a cela de magique qu’il permet toutes les fantaisies et les formes possibles. J’aime explorer des pistes graphiques différentes, et trouver le trait qui collera le mieux à chaque histoire. Je travaille les personnages avec les décors ; je ne peux pas dissocier les deux : ils fonctionnent ensemble et tiennent un rôle équivalent dans l’équilibre d’une image. Par exemple, l’univers graphique de "Pi, Po, Pierrot" est axé sur un jeu de formes rondes et carrées, évoquant la lourdeur ou la légèreté. C’est ce qui m’avait marqué à la lecture de ce texte. Pour chaque album, j’ai besoin d’un fil rouge qui me guidera : une forme, un trait, une couleur, une technique. Trouver de ce fil rouge me pousse à prendre des risques, à me surprendre. Pour chaque projet, je passe par une période de remise en question : je fais beaucoup de croquis, je réunis des ambiances colorées et des matières ; puis les personnages et les décors en découlent rapidement. Alors seulement je perçois l’ambiance qui se dégagera de l’album.
Comme auteur, vos personnages ont-ils déjà une image lorsque vous leur inventez une vie et des aventures ?
C’est assez variable, même s’il est vrai que mes personnages racontent à eux seuls une histoire par leurs formes, leurs attitudes, leurs couleurs. Je crois que j’écris les histoires que j’ai envie d’illustrer. Parfois c’est un personnage qui m’inspire une histoire. Dans le cas de Super Beige, par exemple, l’histoire est née deux ans après que j’ai construit le héros. Au contraire, l’histoire de "Ce n’est pas très compliqué", est inspirée d’une personne bien réelle, une amie d’enfance. Son image m’a suivi de l’écriture jusqu'à la mise en forme graphique.
Ce n’est pas très compliqué aborde les thèmes de l’amitié, la distance (indispensable aux liens), le dessin, la forêt. Vos illustrations (peinture et collages) accompagnent un texte où le silence vient après le mouvement (intérieur) : peut-on y voir un livre « témoin » de votre univers intime ?
Oui, sûrement ! D’abord, Louise a existé. Elle était ma voisine lorsque j’habitais dans un petit bourg de la Drôme. On dessinait dans la rue, avec de grosses craies de couleurs. C’était un moment privilégié, et j’en garde aujourd’hui un souvenir ému. C’est un point de départ rêvé pour une histoire ; ensuite je l’ai fait basculer dans l’imaginaire. En outre, "Ce n’est pas très compliqué" réunit aussi les thèmes qui me sont chers. Notamment la nature, très présente dans mon travail et la métaphore également. Dans ce livre les forêts sont autant de figures de sentiments intimes et le sujet principal du livre est précisément le monde intérieur. Enfant, les sentiments qui nous habitent sont nouveaux, confus et imprécis. Comment la peur et la douceur, l’imaginaire et la réalité, peuvent-ils cohabiter ?
En quoi cet univers vous paraît-il s’adresser aux enfants ? Comment réagissent-ils à vos créations ?
L’imaginaire est le plus grand espace de liberté des enfants ; c’est le lieu de tous les possibles. Il est précieux et intime à la fois. Pour le reste, il faut leur demander.
Le lien entre réel et imaginaire est très présent dans vos récits (textes ou images) et vous passez avec aisance de l’un à l’autre. Vous êtes un dessinateur de la vérité intérieure tout en restant sensuel, concret et précis dans votre expression plastique. Cela, même lorsque l’imaginaire est teinté d’ailleurs. Comment relevez-vous ce défi ?
Je ne me pose pas la question ainsi. Ce n’est pas un défi, c’est mon métier. À travers "Yllavu" et "Pi, Po, Pierrot", j’ai eu l’occasion d’aborder en image l’univers chinois. Ayant vécu une année en Chine, j’ai réalisé combien cette culture était empreinte de richesse humaine et graphique, et combien ces deux éléments pouvaient s’imbriquer parfaitement. Ce fut une aubaine et une sacrée coïncidence lorsque à mon retour de voyage vous me proposiez d’illustrer "Yllavu". J’étais alors imprégné et prêt à faire quelque chose de mon état.
A travers vos livres, revient sans cesse la question du lien – souvent ébranlé par les circonstances – avec les autres ("Salade de fruits", "Ce n’est pas très compliqué"), avec des parents proches ("Philbert", "Les Deux Maisons", "Beau Voyage", "Le Grand papa et sa toute petite fille"). Pour le bonheur des lecteurs, vous dépassez toujours le simple registre de la complicité et vos créations touchent comme une intime évidence. D’où vient votre sensibilité à cette question ?
Je crois que j’ai des thèmes de prédilection. Mais il y a aussi le choix que font les éditeurs de me proposer des textes dans un certain registre. Quoi qu’il en soit, j’illustre des histoires qui me touchent.
J’ai un lien très fort à ma famille, mes amis, et aujourd’hui à mes enfants, et j’aime vivre entouré des gens qui me sont chers. Ce thème m’a toujours intéressé. Lorsqu’on est adulte, ces liens nous enrichissent ; enfant, ils nous construisent. Les enfants évoluent avec les autres, et se retrouvent confrontés à des expériences de groupe, des amitiés, des conflits, etc. ; tout un éventail de sentiments dépendant du lien à l’autre. Il s’agit parfois de sentiments nouveaux, inquiétants sur lesquels les enfants ne mettent pas de mots, parce qu’ils leur sont encore inconnus. En grandissant, on appelle ça: l’amitié, l’amour, la jalousie, le secret, la peur, la douceur, la violence, la tendresse, la colère… et on se démène toujours avec les mêmes mots une fois adulte.
Comme adulte et lecteur, quels auteurs de littérature « jeunesse » appréciez-vous ?
Les livres sont là pour nourrir un monde intérieur. Pour les adultes comme pour les enfants. Pour ma part, j’ai découvert les livres sur le tard. Enfant, je ne lisais pas beaucoup ; je préférais jouer dehors. Je nourrissais mon monde intérieur avec des fusils en bois et des cabanes dans la forêt ! Adulte, je peux dire que certaines lectures « jeunesse » m’ont marqué. Notamment les romans de Jean-Claude Mourlevat, de Marie-Aude Murail, ou Michael Morpurgo ; les histoires d’Arnold Lobel, de Toon Tellegen ; les albums de Claude Ponti, Béatrice Alemagna, Kitty Crowther… et tant d’autres.