Magali Léger et Paulin Bündgen © J.J. Ader
Pour cette soirée entièrement dédiée à la musique sacrée italienne le Salve Regina d’Alessandro Scarlatti précèdera une des œuvres les plus émouvantes du répertoire baroque : le Stabat Mater de Giovanni Battista Pergolesi. Composées en 1736 ces pages alternant arias et solos sont basées sur un texte liturgique qui évoque la bouleversante méditation sur la souffrance de Marie, mère du Christ crucifié.
Une véritable légende entoure la genèse de ce « divin poème de la douleur » (Bellini) et contribue à sa grande popularité : commandé par la Confraternité de Saint-Louis du Palais, Pergolèse l’écrivit à Pozzuoli dans un monastère et le termina quelques jours seulement avant sa mort à l’âge de 26 ans. L’écriture vocale particulièrement brillante, la qualité mélodique et la limpidité des phrases musicales font de cette œuvre un point de passage entre la tradition baroque et le style préclassique.
Programme
Alessandro Scarlatti (1660 – 1725). Salve Regina à deux voix, deux violons et basse continue et Sonate « Al tavolino ».
Giovanni Battista Pergolesi (1710 – 1736). Stabat Mater à deux voix, cordes et basse continue
Distribution
Magali Léger, soprano
Paulin Bündgen, alto
Ensemble instrumental :
violons : Olivier Briand & Nirina Betoto
alto : Alexandra Delcroix
violoncelle : Antoine Ladrette
théorbe : Ronaldo Correia de Lima Lopes
contrebasse : Mathieu Serrano
orgue : Yasuko Uyama-Bouvard
Jean-Marc Andrieu, direction
Une véritable légende entoure la genèse de ce « divin poème de la douleur » (Bellini) et contribue à sa grande popularité : commandé par la Confraternité de Saint-Louis du Palais, Pergolèse l’écrivit à Pozzuoli dans un monastère et le termina quelques jours seulement avant sa mort à l’âge de 26 ans. L’écriture vocale particulièrement brillante, la qualité mélodique et la limpidité des phrases musicales font de cette œuvre un point de passage entre la tradition baroque et le style préclassique.
Programme
Alessandro Scarlatti (1660 – 1725). Salve Regina à deux voix, deux violons et basse continue et Sonate « Al tavolino ».
Giovanni Battista Pergolesi (1710 – 1736). Stabat Mater à deux voix, cordes et basse continue
Distribution
Magali Léger, soprano
Paulin Bündgen, alto
Ensemble instrumental :
violons : Olivier Briand & Nirina Betoto
alto : Alexandra Delcroix
violoncelle : Antoine Ladrette
théorbe : Ronaldo Correia de Lima Lopes
contrebasse : Mathieu Serrano
orgue : Yasuko Uyama-Bouvard
Jean-Marc Andrieu, direction
Informations pratiques
Réservations : www.odyssud.com/pergolese-stabat-mater
Tél. 05 61 71 75 15
Tél. 05 61 71 75 15