Etel Adnan, New York, 23 mai 1990, leporello © Etel Adnan
Etel Adnan est tout à la fois poétesse, peintre, essayiste et écrivaine trilingue (anglais, français, arabe). Elle réside en France depuis de nombreuses années. L'exposition s'articule en quatre grandes sections, qui explorent toutes les facettes de son œuvre.
L'Apocalypse arabe-Tapuscrit
Retour sur la vie et le travail d'Etel Adnan, et les moments clés qui les ont jalonnés. Cette section met en avant un de ses textes fondateurs, L'Apocalypse Arabe (1980), soulignant l'importance de la langue écrite dans son œuvre et son engagement politique. La diffusion du texte, lu en français, anglais et arabe, plonge le visiteur dans une ambiance sonore multilingue.
Le Mont Tamalpaïs
Une évocation du lien d'Etel Adnan avec la côte ouest-américaine et le milieu underground de San Francisco. Cette section illustre l'importance de son travail pictural, entre abstraction et figuration. Des dessins, des peintures et l'un de ses célèbres leporellos, carnets en accordéon remplis de textes et de dessins, soulignent la place majeure qu'y occupe le Mont Tamalpaïs. Situé en Californie, celui-ci est la véritable « Montagne Sainte-Victoire » de l'artiste.
Des ponts, des exils
La production artistique d'Etel Adnan porte l'influence de ses nombreux déplacements et lieux de résidence. En témoignent les dessins sur la thématique des ponts, les leporellos représentant Beyrouth, New York et Paris, ou encore le film tourné en 1982 depuis une fenêtre à New York.
Un monde de couleurs et de sonorités
Etel Adnan découvre la tapisserie dans les années 1960, dans l'atelier cairote de Wissa Wassef. Son travail sur tapisserie est présenté au travers de plusieurs pièces réalisées de sa main, mais aussi de dessins, peintures et leporellos.
L'Apocalypse arabe-Tapuscrit
Retour sur la vie et le travail d'Etel Adnan, et les moments clés qui les ont jalonnés. Cette section met en avant un de ses textes fondateurs, L'Apocalypse Arabe (1980), soulignant l'importance de la langue écrite dans son œuvre et son engagement politique. La diffusion du texte, lu en français, anglais et arabe, plonge le visiteur dans une ambiance sonore multilingue.
Le Mont Tamalpaïs
Une évocation du lien d'Etel Adnan avec la côte ouest-américaine et le milieu underground de San Francisco. Cette section illustre l'importance de son travail pictural, entre abstraction et figuration. Des dessins, des peintures et l'un de ses célèbres leporellos, carnets en accordéon remplis de textes et de dessins, soulignent la place majeure qu'y occupe le Mont Tamalpaïs. Situé en Californie, celui-ci est la véritable « Montagne Sainte-Victoire » de l'artiste.
Des ponts, des exils
La production artistique d'Etel Adnan porte l'influence de ses nombreux déplacements et lieux de résidence. En témoignent les dessins sur la thématique des ponts, les leporellos représentant Beyrouth, New York et Paris, ou encore le film tourné en 1982 depuis une fenêtre à New York.
Un monde de couleurs et de sonorités
Etel Adnan découvre la tapisserie dans les années 1960, dans l'atelier cairote de Wissa Wassef. Son travail sur tapisserie est présenté au travers de plusieurs pièces réalisées de sa main, mais aussi de dessins, peintures et leporellos.