Lorenzaccio, de Musset, Théâtre de la Criée, du 2 au 4 avril 2015
Lorenzaccio © Théâtre de la Criée
Les arcanes d’un pouvoir qui se vautre dans la décadence, au cœur d’un combat inégal entre le vice et la vertu.
Faut-il faire semblant d’encourager le vice et la corruption d’un pouvoir tyrannique pour mieux l’éliminer de l’intérieur ? C’est la voie que choisit le jeune Lorenzo de Médicis, héros romantique par excellence, pour faire triompher son idéal politique en tuant le duc régnant, son cousin Alexandre. Derrière le masque de la débauche se cache donc le visage de la vertu. Dans l’enchevêtrement des intrigues politiques ou amoureuses, c’est la désillusion. Un vaste sujet de réflexion sur la possibilité d’avoir encore un idéal individuel dans une période de désenchantement collectif, hier comme aujourd'hui.
Avec Stanislas Roquette, Pauline Coffre, Olivier Constant, Païkan Garutti, Louise Herrero, Mathias Marty, Léonard Matton, Nine de Montal, Maxime Pambet, Claude-Bernard Pérot, Matthieu Protin, Anne Raphaël, Yves Roux, Maximilien Seweryn, Elie Triffault et avec la participation d'un choeur amateur
Lumières Bertrand Couderc - Costumes Thibaut Welchlin - Son Bernard Vallery - Régie générale François Pelaprat - Régie son Estelle Gotteland - Régie lumière Jérôme Delporte - Assistants à la mise en scène Raphaël Joly et Léonard Matton - Scénographie Karin Serres - Accessoires Stéphane Bardin et Nicolas Roy - Habilleuse Magali Castellan - Maquillage et coiffure Romain Marietti - Administration Laurent Letrillard
Réservez en ligne 24h/24
ou par téléphone au 04 91 54 70 54
du mardi au samedi de 12h à 18h
Faut-il faire semblant d’encourager le vice et la corruption d’un pouvoir tyrannique pour mieux l’éliminer de l’intérieur ? C’est la voie que choisit le jeune Lorenzo de Médicis, héros romantique par excellence, pour faire triompher son idéal politique en tuant le duc régnant, son cousin Alexandre. Derrière le masque de la débauche se cache donc le visage de la vertu. Dans l’enchevêtrement des intrigues politiques ou amoureuses, c’est la désillusion. Un vaste sujet de réflexion sur la possibilité d’avoir encore un idéal individuel dans une période de désenchantement collectif, hier comme aujourd'hui.
Avec Stanislas Roquette, Pauline Coffre, Olivier Constant, Païkan Garutti, Louise Herrero, Mathias Marty, Léonard Matton, Nine de Montal, Maxime Pambet, Claude-Bernard Pérot, Matthieu Protin, Anne Raphaël, Yves Roux, Maximilien Seweryn, Elie Triffault et avec la participation d'un choeur amateur
Lumières Bertrand Couderc - Costumes Thibaut Welchlin - Son Bernard Vallery - Régie générale François Pelaprat - Régie son Estelle Gotteland - Régie lumière Jérôme Delporte - Assistants à la mise en scène Raphaël Joly et Léonard Matton - Scénographie Karin Serres - Accessoires Stéphane Bardin et Nicolas Roy - Habilleuse Magali Castellan - Maquillage et coiffure Romain Marietti - Administration Laurent Letrillard
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