Quel est ce marché ? Quel est cet art ?
Ou tend-on vers des œuvres faciles, visuelles, évidentes qui ne s’adressent plus seulement à l’amateur d’art au sens noble du terme, mais à une nouvelle génération de collectionneurs pour lesquels l’art est un faire-valoir social ? Les foires ne deviennent-elles qu’une grande messe pour gens fortunés ?
Font-elles évoluer les œuvres ou est-ce le contraire ? Quel art vend-on dans un tel marché de l’art ?
Le who’s who français de L’art contemporain analyse Les évolutions d’un marché en pLeine expansion.
Avec des interviews de: Galerie Perrotin, Galerie Kamel Mennour, Cosmic galerie, Galerie Vallois, Galerie Nelson, Galerie Chantal Crousel, Galerie Loevenbruck, Galerie Michel Rein, Galerie Hussenot, Galerie Laurent Godin, Maître Pierre Cornette de Saint-Cyr, Christophe Durand-Ruel, expert chez Christie’s, Martin Guesnet, expert chez Artcurial, Grégoire Billault, expert chez Sotheby’s, Gilles Fuchs, président de l’ADIAF,, Antoine de Galbert, créateur de la Maison Rouge, David Brolliet, Stéphane Corréard, Guillaume Houzé, héritier des Galeries Lafayette, Claire Le Restif, directrice du Credac, Marie-Sophie Carron de la Carrière, responsable des achats au Musée d’art moderne de la ville de Paris, Jennifer Flay, directrice de la Fiac, Henri Jobbé-Duval, directeur d’Artparis, Colette Barbier, responsable de la fondation Ricard.
Font-elles évoluer les œuvres ou est-ce le contraire ? Quel art vend-on dans un tel marché de l’art ?
Le who’s who français de L’art contemporain analyse Les évolutions d’un marché en pLeine expansion.
Avec des interviews de: Galerie Perrotin, Galerie Kamel Mennour, Cosmic galerie, Galerie Vallois, Galerie Nelson, Galerie Chantal Crousel, Galerie Loevenbruck, Galerie Michel Rein, Galerie Hussenot, Galerie Laurent Godin, Maître Pierre Cornette de Saint-Cyr, Christophe Durand-Ruel, expert chez Christie’s, Martin Guesnet, expert chez Artcurial, Grégoire Billault, expert chez Sotheby’s, Gilles Fuchs, président de l’ADIAF,, Antoine de Galbert, créateur de la Maison Rouge, David Brolliet, Stéphane Corréard, Guillaume Houzé, héritier des Galeries Lafayette, Claire Le Restif, directrice du Credac, Marie-Sophie Carron de la Carrière, responsable des achats au Musée d’art moderne de la ville de Paris, Jennifer Flay, directrice de la Fiac, Henri Jobbé-Duval, directeur d’Artparis, Colette Barbier, responsable de la fondation Ricard.
Extraits :
L’ère de la galerie laboratoire est, pour certaines enseignes, révolue. Et comme le note Niklas Svennung, co-directeur de la galerie Chantal Crousel: « Certains jeunes marchands choisissent des images relativement accessibles, pour se fondre dans un marché qui a déjà ses codes, afin de ne pas perdre de temps et d’argent. Ils se plient à la facilité de choses accessibles, visibles, lisibles et belles. »
« Les artistes français, contrairement aux artistes anglo-saxons, ont été très mal conseillés depuis quelques années. Ils n’ont pas su créer une image de marque. » (Emmanuel Perrotin)
L’art contemporain engendre de telles possibilités de spéculations que les marchands vont chercher les futures pointures dans les écoles des beaux-arts. Il faut être le plus rapide à dégainer la Nouvelle Star de l’art contemporain.
Pour un artiste qui a dépassé les 30 ans et n’a pas de marché, là ça va être très difficile. Et concernant ceux qui marchent, certains observateurs estiment qu’ils cherchent à avoir le même niveau de vie que leurs riches collectionneurs.
Pour le marchand Antoine Laurentin, (les Frac) ont été « le fossoyeur de la création contemporaine française, transformant les artistes en fonctionnaire pointant au Frac. »
L’auteur : Marie Maertens est née en 1975 à Villeneuve d’Ascq. Critique d’art et journaliste, elle contribue notamment au Journal des Arts et à l’Œil. Elle collabore régulièrement aux revues Technikart, Particules,
Balthazar, The White Wall et Le Particulier.
« Les artistes français, contrairement aux artistes anglo-saxons, ont été très mal conseillés depuis quelques années. Ils n’ont pas su créer une image de marque. » (Emmanuel Perrotin)
L’art contemporain engendre de telles possibilités de spéculations que les marchands vont chercher les futures pointures dans les écoles des beaux-arts. Il faut être le plus rapide à dégainer la Nouvelle Star de l’art contemporain.
Pour un artiste qui a dépassé les 30 ans et n’a pas de marché, là ça va être très difficile. Et concernant ceux qui marchent, certains observateurs estiment qu’ils cherchent à avoir le même niveau de vie que leurs riches collectionneurs.
Pour le marchand Antoine Laurentin, (les Frac) ont été « le fossoyeur de la création contemporaine française, transformant les artistes en fonctionnaire pointant au Frac. »
L’auteur : Marie Maertens est née en 1975 à Villeneuve d’Ascq. Critique d’art et journaliste, elle contribue notamment au Journal des Arts et à l’Œil. Elle collabore régulièrement aux revues Technikart, Particules,
Balthazar, The White Wall et Le Particulier.
Marie Mertens, L'Art du marché de l'art.
Editions Que
37-39 Quai aux pierres de taille – 1000 Bruxelles
que.lucpire.be
Date de parution : 25/9/08
Isbn : 978-2-507000-431
Sodis : 7161056
14,8x20Cm
112 Pages
12€
Editions Que
37-39 Quai aux pierres de taille – 1000 Bruxelles
que.lucpire.be
Date de parution : 25/9/08
Isbn : 978-2-507000-431
Sodis : 7161056
14,8x20Cm
112 Pages
12€