À l’occasion du Centenaire du conflit, Landier décide de rendre un hommage pictural et de saluer la mémoire de tous les combattants de la Grande Guerre. Dès lors, il peint avec frénésie et sincérité, retranscrit ses souvenirs et ceux que lui a racontés Mac Orlan.
Il propose une exposition Requiem pour les Barthélemy qui est présentée dans son atelier de Montmartre à la fin de l’année 2018.
Cette exposition est maintenant déclinée au musée de la Grande Guerre qui a choisi d’exposer au cœur de son parcours de visite, une sélection des œuvres mémorielles les plus marquantes de Landier.
L’artiste
En regard des collections permanentes, les visiteurs pourront découvrir les peintures puissantes et hautes en couleurs d’Henri Landier qui exprime sa vision humaniste et son amour de la vie sur les malheurs et les espoirs des hommes en guerre.
Né en 1935, est marqué par les conflits qui ont ébranlé le XXe siècle : il porte le prénom d’un cousin mort la veille de l’Armistice, il a connu enfant l’exode et les souffrances des civils pendant la Seconde Guerre mondiale, il a écouté les récits de guerre de son ami, le poète Pierre Mac Orlan, rencontré en 1957 et avec lequel il a connu une amitié humaine et artisique. Mac Orlan avait alors 75 ans et Henri Landier 22 ans.
Il propose une exposition Requiem pour les Barthélemy qui est présentée dans son atelier de Montmartre à la fin de l’année 2018.
Cette exposition est maintenant déclinée au musée de la Grande Guerre qui a choisi d’exposer au cœur de son parcours de visite, une sélection des œuvres mémorielles les plus marquantes de Landier.
L’artiste
En regard des collections permanentes, les visiteurs pourront découvrir les peintures puissantes et hautes en couleurs d’Henri Landier qui exprime sa vision humaniste et son amour de la vie sur les malheurs et les espoirs des hommes en guerre.
Né en 1935, est marqué par les conflits qui ont ébranlé le XXe siècle : il porte le prénom d’un cousin mort la veille de l’Armistice, il a connu enfant l’exode et les souffrances des civils pendant la Seconde Guerre mondiale, il a écouté les récits de guerre de son ami, le poète Pierre Mac Orlan, rencontré en 1957 et avec lequel il a connu une amitié humaine et artisique. Mac Orlan avait alors 75 ans et Henri Landier 22 ans.