Mystères et découvertes des princes de la débrouille dans un drôle de labyrinthe qui bouge et se transforme ! Après Öper Öpis, l’ingénieux duo helvète Zimmermann et de Perrot met en scène le Groupe Acrobatique de Tanger dans une pièce où tout est recyclable, risqué, spectaculaire et plastique. Une incroyable suite d’inventions et d’acrobaties pour une rencontre sans bluff ni paroles avec des êtres authentiques !
En 2006, Taoub était la première pièce du Groupe Acrobatique de Tanger mise en scène par l'astucieux Aurélien Bory. Aujourd'hui, les douze magnifiques acteurs de 20 à 46 ans, deux filles et dix garçons, se confrontent à l’univers du duo helvète, aux secrets et rouages aussi minutieux qu’une montre suisse. Sur le plateau, cinq éléments en mouvement. Ils sont tour à tour de simples volumes en bois, des façades de bâtiments, les ruelles de la Médina et des bateaux quittant le port de Tanger. Le décor dévoile ou engloutit les gens, déploie ou restreint l’espace, contraignant les mouvements ou les libérant. Là, les princes et les princesses de la débrouille ne jouent que de leur corps. Les voilà qui grimpent de volumes en volumes, font de la voltige et des acrobaties. Ils vont se prêter aux situations les plus inattendues, garder l’équilibre dans un lieu minuscule ou explorer un plateau ouvert, franchir les possibles et construire leur avenir en déplaçant le décor qui leur sert de cadre. Leur création 2009 est une pièce qui remet en question et recycle les usages. Une sculpture en mouvement qui projette la relation à l’autre, l’étranger et le différent. Une scène poétique qui sympathise avec le danger et apprivoise les gouffres. Attention ! Déséquilibres loufoques, beauté fulgurante et rires vertigineux !
mardi 4, mercredi 5 et jeudi 6 mai à 20h30
dans la grande salle
tarif B
En 2006, Taoub était la première pièce du Groupe Acrobatique de Tanger mise en scène par l'astucieux Aurélien Bory. Aujourd'hui, les douze magnifiques acteurs de 20 à 46 ans, deux filles et dix garçons, se confrontent à l’univers du duo helvète, aux secrets et rouages aussi minutieux qu’une montre suisse. Sur le plateau, cinq éléments en mouvement. Ils sont tour à tour de simples volumes en bois, des façades de bâtiments, les ruelles de la Médina et des bateaux quittant le port de Tanger. Le décor dévoile ou engloutit les gens, déploie ou restreint l’espace, contraignant les mouvements ou les libérant. Là, les princes et les princesses de la débrouille ne jouent que de leur corps. Les voilà qui grimpent de volumes en volumes, font de la voltige et des acrobaties. Ils vont se prêter aux situations les plus inattendues, garder l’équilibre dans un lieu minuscule ou explorer un plateau ouvert, franchir les possibles et construire leur avenir en déplaçant le décor qui leur sert de cadre. Leur création 2009 est une pièce qui remet en question et recycle les usages. Une sculpture en mouvement qui projette la relation à l’autre, l’étranger et le différent. Une scène poétique qui sympathise avec le danger et apprivoise les gouffres. Attention ! Déséquilibres loufoques, beauté fulgurante et rires vertigineux !
mardi 4, mercredi 5 et jeudi 6 mai à 20h30
dans la grande salle
tarif B