Après une foisonnante complicité avec Fabrice Melquiot, Franck Berthier, dans cette nouvelle création, met en scène la farce caustique d’Alfred Jarry, Ubu Roi. Un bouffon qui réunit en lui tout le grotesque du monde et la fameuse banalité du mal. Merdre alors, c’est carrément ubuesque !
Jarry a quinze ans lorsqu’il écrit Ubu Roi, personnage inspiré d’un de ses professeurs. Cette satire sociale fait scandale dès sa première représentation au théâtre de de l’Œuvre en 1896. Ubu est un fort grand voyou qui, sur les conseils de son ambitieuse moitié, tue le roi pour accéder au trône. Pris dans le tourbillon du pouvoir, le régicide massacre tous ses sujets. La machine à décervelage est en route, c’est la faillite de toutes les valeurs et l’explosion des repères. L’adaptation de Stéphane Guérin fait se frotter le texte au réel et la mise en scène de Franck Berthier, menée tambour battant, rappelle que cette “farce bouffonne, dénonce la démagogie et la bêtise, il est sain et urgent de rire avec Jarry de notre réalité”. Marie-Christine Letort, après une éblouissante Eileen Shakespeare, campe une Mère Ubu plus pourrie que son infâme mari, incarné par Jean-Philippe Ecoffey, que l’on a pu voir cette année dans les films le Scaphandre et le papillon et Commis d’Office .
mardi 5, mercredi 6, vendredi 8 et samedi 9 janvier à 20h30 jeudi 7 janvier à 19h dimanche 10 janvier à 17h
dans la petite salle
tarif B
Jarry a quinze ans lorsqu’il écrit Ubu Roi, personnage inspiré d’un de ses professeurs. Cette satire sociale fait scandale dès sa première représentation au théâtre de de l’Œuvre en 1896. Ubu est un fort grand voyou qui, sur les conseils de son ambitieuse moitié, tue le roi pour accéder au trône. Pris dans le tourbillon du pouvoir, le régicide massacre tous ses sujets. La machine à décervelage est en route, c’est la faillite de toutes les valeurs et l’explosion des repères. L’adaptation de Stéphane Guérin fait se frotter le texte au réel et la mise en scène de Franck Berthier, menée tambour battant, rappelle que cette “farce bouffonne, dénonce la démagogie et la bêtise, il est sain et urgent de rire avec Jarry de notre réalité”. Marie-Christine Letort, après une éblouissante Eileen Shakespeare, campe une Mère Ubu plus pourrie que son infâme mari, incarné par Jean-Philippe Ecoffey, que l’on a pu voir cette année dans les films le Scaphandre et le papillon et Commis d’Office .
mardi 5, mercredi 6, vendredi 8 et samedi 9 janvier à 20h30 jeudi 7 janvier à 19h dimanche 10 janvier à 17h
dans la petite salle
tarif B