Tom Drahos, SÉRIE “PERIPHERY” 70 x 100 cm
Tom Drahos - Né en République Tchèque - Vit et travaille à Paris. A enseigné à l’IDHEC (FEMIS), à l’École Nationale de la Photographie à Arles, à l’École supérieure d’Art et de Design de Reims, au Studio national des arts visuels du Fresnoy.
Il enseigne maintenant à l’École Régionale des Beaux Arts de Rennes.
• samedi 12 septembre > samedi 21 novembre 2009
• vernissage : samedi 12 septembre à partir de 18 h 30
• nuit de la Biennale : jeudi 19 novembre de 19 h à minuit
• ouverture : mercredi > samedi - 15 h > 19 h ou sur R.V.
Il enseigne maintenant à l’École Régionale des Beaux Arts de Rennes.
• samedi 12 septembre > samedi 21 novembre 2009
• vernissage : samedi 12 septembre à partir de 18 h 30
• nuit de la Biennale : jeudi 19 novembre de 19 h à minuit
• ouverture : mercredi > samedi - 15 h > 19 h ou sur R.V.
Survol de l'expo de Tom Drahos
SÉRIE “PERIPHERY”
Écumer les banlieues de Paris, vieilles et fuligineuses, industrielles, pavillonnaires, de meulière ou de brique, de tours et de “barres”.
La banlieue de Cendrars avec ses courettes, ses jardinets, ses terrains vagues aux murs couronnés de lilas et de tessons de bouteilles. Refléter les apparences - suburbaines ou autres - n’est pas précisément son fait.
Sans cadrage, sans mise au point, sans prendre la mesure du temps, sa boîte noire engloutit non pas des images toutes faites, mais une matière recolorée dans toutes les nuances du prisme : herbe, ciel ou béton, passantes et passants indifféremment violets, indigo, bleus...
SÉRIE “S.O.S.”
La démarche de ce travail est basée sur le désir de vouloir “s’engager dans le monde”, en réalisant à travers ces tableaux une espèce de commentaire, sorte de reportage subjectif et rêvé des événements et des acteurs qui le font, qu’il s’agisse de parler de la guerre, de chirurgie esthétique ou d’obésité.
Et cela sans jamais chercher à vouloir émettre un quelconque jugement critique, mais en adoptant au contraire une attitude pleinement candide. Tom Drahos dit vouloir opérer comme s’il s’adressait à des gens venus d’une autre planète, c’est-à-dire qu’il attend de l’autre - le regardeur - qu’il soit sans aucune idée préconçue sur ce qu’il lui montre et qu’il ait cet esprit curieux qui préside naturellement à tout découverte.
Écumer les banlieues de Paris, vieilles et fuligineuses, industrielles, pavillonnaires, de meulière ou de brique, de tours et de “barres”.
La banlieue de Cendrars avec ses courettes, ses jardinets, ses terrains vagues aux murs couronnés de lilas et de tessons de bouteilles. Refléter les apparences - suburbaines ou autres - n’est pas précisément son fait.
Sans cadrage, sans mise au point, sans prendre la mesure du temps, sa boîte noire engloutit non pas des images toutes faites, mais une matière recolorée dans toutes les nuances du prisme : herbe, ciel ou béton, passantes et passants indifféremment violets, indigo, bleus...
SÉRIE “S.O.S.”
La démarche de ce travail est basée sur le désir de vouloir “s’engager dans le monde”, en réalisant à travers ces tableaux une espèce de commentaire, sorte de reportage subjectif et rêvé des événements et des acteurs qui le font, qu’il s’agisse de parler de la guerre, de chirurgie esthétique ou d’obésité.
Et cela sans jamais chercher à vouloir émettre un quelconque jugement critique, mais en adoptant au contraire une attitude pleinement candide. Tom Drahos dit vouloir opérer comme s’il s’adressait à des gens venus d’une autre planète, c’est-à-dire qu’il attend de l’autre - le regardeur - qu’il soit sans aucune idée préconçue sur ce qu’il lui montre et qu’il ait cet esprit curieux qui préside naturellement à tout découverte.