Jehan, Fillette au chaton, sculpture 35 x 14 x 13 cm
« Aussi bien sur ses toiles, qu’à travers ses sculptures, son monde ressemble à celui qui autrefois nous faisait courir à cloche-pied. Tout y est rond, coloré, affriolant, coquet, joyeux.
Ses tableaux ressemblent à des boites à musique dans lesquelles tourneraient des personnages sortis tout droit de contes à revisiter sans cesse.
Oui ! Il y a un peu de cela chez ce Jehan là, une histoire qui se raconte et qui sonne bien. Un peu comme dans le monde Gulliver. Une histoire faite de sincérité et de tolérance, où le ludique s’expose malicieusement devant celui qui veut bien le voir autrement que sous l’oeil goguenard d’un joyeux drille de la couleur.
L’amour, la nature, l’enfance, plus simplement les relations entre les êtres, ces thèmes intemporels, Jehan les aborde avec cette distance suffisante et cette présence colorée pour les interroger sans les brusquer. S’il nous donne une leçon, c’est celle de l’étonnement, s’il nous transmet une valeur, c’est encore celle de la vie, envers et contre tout. »
Christian Astolfi
Ses tableaux ressemblent à des boites à musique dans lesquelles tourneraient des personnages sortis tout droit de contes à revisiter sans cesse.
Oui ! Il y a un peu de cela chez ce Jehan là, une histoire qui se raconte et qui sonne bien. Un peu comme dans le monde Gulliver. Une histoire faite de sincérité et de tolérance, où le ludique s’expose malicieusement devant celui qui veut bien le voir autrement que sous l’oeil goguenard d’un joyeux drille de la couleur.
L’amour, la nature, l’enfance, plus simplement les relations entre les êtres, ces thèmes intemporels, Jehan les aborde avec cette distance suffisante et cette présence colorée pour les interroger sans les brusquer. S’il nous donne une leçon, c’est celle de l’étonnement, s’il nous transmet une valeur, c’est encore celle de la vie, envers et contre tout. »
Christian Astolfi