Les femmes ont-elles eut droit au génie ?
Femme poète ou compositrice. Femme interprète ou muse et inspiratrice. De la Renaissance au Baroque, dans un monde où le pouvoir appartenait au masculin, les femmes musiciennes et chanteuses pouvaient-elles exercer leur art autrement qu’à l’abri des regards ou alors remplacées par des hommes ? Le festival d’Ambronay propose aussi un regard sur notre monde contemporain, et ses compositrices actuelles. Une programmation en musique traditionnelle sous chapiteau se fera l’écho du répertoire classique de l’abbatiale.
A partir du 19 septembre, ce sont d’abord Jérôme Correas et ses Paladins dans l’Histoire d’une cantatrice, puis des chants des femmes du sud de l’Italie, suivis des Odes à Sainte Cécile. Le Choir of New College of Oxford intervient ensuite pour la première fois à Ambronay avant une rencontre avec les compositrices du baroque au contemporain ; à noter, un opéra–bouffon rarement joué, Les Troqueurs d’Antoine Dauvergnet (1713-1797) au théâtre de Bourg-en-Bresse et échappée vers l’Isère, à Autrans, pour une soirée Gabrieli et ses Trionfi sacri.
Le 27 septembre, le chœur Accentus dirigé par Laurence Equilbey et par la plume de Mahler, Schubert et Mendelssohn, célébre La Nuit et les Rêves. Là encore il s’agit d’une première visite à Ambronay pour ce chœur de 32 interprètes, dirigé par une femme décrétée personnalité musicale de l’année en 1997-1998, et Accentus, consacré Ensemble de l’année par les Victoires de la musique classique en 2002 et en 2005.
Un autre chœur, les Solistes de Lyon Bernard Tétu fait chanter Mendelssohn, Schubert et Hersant, alors que le Chœur du Festival dirigé par Marie-Laure Teissèdre propose une création mondiale d’Edith Canat de Chizy.
Le Concert secret des Dames de Ferrare est proposé par l’Ensemble Doulce Mémoire et de Joseph Adolf Hasse, on peut découvrir Venise ou les larmes de Magdalena, oratorio en re-création. La soirée Stelle Belle par le concerto Soave propose des œuvres de femmes.
Outre les splendeurs des ogives du cloître d’Ambronay on découvre un autre superbe cadre, celui du Monastère Royal de Brou qui accueille Le lointain et l’ailleurs, les dialogues en Croatie. A souligner encore, un opéra maritime les Frasques du capitaine Le Golif dit Borgnefesse par la compagnie opéra-Théâtre André Fornier et Franck-Emmanuel Comte à la direction du concert de l’Hostel-Dieu ; et enfin une Andromeda Liberata d’après Vivaldi par le Venice Baroque Orchestra.
Deux soirées pour un colloque international Musique, femmes et interdits, (les 3 et 5 octobre) permettent de dépasser cette recherche autour de la musique, en examinant tout ce qui dans le monde tient encore, de façon médiévale, les femmes sous la coupe du sombre regard des censeurs ou de la religion et de ses interdits d’un autre temps. Débat plus que jamais nécessaire. Jacqueline Aimar
du 18 septembre au 12 octobre
Réservations 04 74 38 74 04
A partir du 19 septembre, ce sont d’abord Jérôme Correas et ses Paladins dans l’Histoire d’une cantatrice, puis des chants des femmes du sud de l’Italie, suivis des Odes à Sainte Cécile. Le Choir of New College of Oxford intervient ensuite pour la première fois à Ambronay avant une rencontre avec les compositrices du baroque au contemporain ; à noter, un opéra–bouffon rarement joué, Les Troqueurs d’Antoine Dauvergnet (1713-1797) au théâtre de Bourg-en-Bresse et échappée vers l’Isère, à Autrans, pour une soirée Gabrieli et ses Trionfi sacri.
Le 27 septembre, le chœur Accentus dirigé par Laurence Equilbey et par la plume de Mahler, Schubert et Mendelssohn, célébre La Nuit et les Rêves. Là encore il s’agit d’une première visite à Ambronay pour ce chœur de 32 interprètes, dirigé par une femme décrétée personnalité musicale de l’année en 1997-1998, et Accentus, consacré Ensemble de l’année par les Victoires de la musique classique en 2002 et en 2005.
Un autre chœur, les Solistes de Lyon Bernard Tétu fait chanter Mendelssohn, Schubert et Hersant, alors que le Chœur du Festival dirigé par Marie-Laure Teissèdre propose une création mondiale d’Edith Canat de Chizy.
Le Concert secret des Dames de Ferrare est proposé par l’Ensemble Doulce Mémoire et de Joseph Adolf Hasse, on peut découvrir Venise ou les larmes de Magdalena, oratorio en re-création. La soirée Stelle Belle par le concerto Soave propose des œuvres de femmes.
Outre les splendeurs des ogives du cloître d’Ambronay on découvre un autre superbe cadre, celui du Monastère Royal de Brou qui accueille Le lointain et l’ailleurs, les dialogues en Croatie. A souligner encore, un opéra maritime les Frasques du capitaine Le Golif dit Borgnefesse par la compagnie opéra-Théâtre André Fornier et Franck-Emmanuel Comte à la direction du concert de l’Hostel-Dieu ; et enfin une Andromeda Liberata d’après Vivaldi par le Venice Baroque Orchestra.
Deux soirées pour un colloque international Musique, femmes et interdits, (les 3 et 5 octobre) permettent de dépasser cette recherche autour de la musique, en examinant tout ce qui dans le monde tient encore, de façon médiévale, les femmes sous la coupe du sombre regard des censeurs ou de la religion et de ses interdits d’un autre temps. Débat plus que jamais nécessaire. Jacqueline Aimar
du 18 septembre au 12 octobre
Réservations 04 74 38 74 04
Un programme de très grande qualité
Concert au cloître de l'abbaye d'Ambronay
A partir du 19 septembre, ce sont d’abord Jérôme Correas et ses Paladins dans l’Histoire d’une cantatrice, puis des chants des femmes du sud de l’Italie, suivis des Odes à Sainte Cécile. Le Choir of New College of Oxford intervient ensuite pour la première fois à Ambronay avant une rencontre avec les compositrices du baroque au contemporain ; à noter, un opéra–bouffon rarement joué, Les Troqueurs d’Antoine Dauvergnet (1713-1797) au théâtre de Bourg-en-Bresse et échappée vers l’Isère, à Autrans, pour une soirée Gabrieli et ses Trionfi sacri.
Le 27 septembre, le chœur Accentus dirigé par Laurence Equilbey et par la plume de Mahler, Schubert et Mendelssohn, célébre La Nuit et les Rêves. Là encore il s’agit d’une première visite à Ambronay pour ce chœur de 32 interprètes, dirigé par une femme décrétée personnalité musicale de l’année en 1997-1998, et Accentus, consacré Ensemble de l’année par les Victoires de la musique classique en 2002 et en 2005.
Un autre chœur, les Solistes de Lyon Bernard Tétu fait chanter Mendelssohn, Schubert et Hersant, alors que le Chœur du Festival dirigé par Marie-Laure Teissèdre propose une création mondiale d’Edith Canat de Chizy.
Le Concert secret des Dames de Ferrare est proposé par l’Ensemble Doulce Mémoire et de Joseph Adolf Hasse, on peut découvrir Venise ou les larmes de Magdalena, oratorio en re-création. La soirée Stelle Belle par le concerto Soave propose des œuvres de femmes.
Outre les splendeurs des ogives du cloître d’Ambronay on découvre un autre superbe cadre, celui du Monastère Royal de Brou qui accueille Le lointain et l’ailleurs, les dialogues en Croatie. A souligner encore, un opéra maritime les Frasques du capitaine Le Golif dit Borgnefesse par la compagnie opéra-Théâtre André Fornier et Franck-Emmanuel Comte à la direction du concert de l’Hostel-Dieu ; et enfin une Andromeda Liberata d’après Vivaldi par le Venice Baroque Orchestra.
Deux soirées pour un colloque international Musique, femmes et interdits, (les 3 et 5 octobre) permettent de dépasser cette recherche autour de la musique, en examinant tout ce qui dans le monde tient encore, de façon médiévale, les femmes sous la coupe du sombre regard des censeurs ou de la religion et de ses interdits d’un autre temps. Débat plus que jamais nécessaire. Jacqueline Aimar
du 18 septembre au 12 octobre
Réservations 04 74 38 74 04
Le 27 septembre, le chœur Accentus dirigé par Laurence Equilbey et par la plume de Mahler, Schubert et Mendelssohn, célébre La Nuit et les Rêves. Là encore il s’agit d’une première visite à Ambronay pour ce chœur de 32 interprètes, dirigé par une femme décrétée personnalité musicale de l’année en 1997-1998, et Accentus, consacré Ensemble de l’année par les Victoires de la musique classique en 2002 et en 2005.
Un autre chœur, les Solistes de Lyon Bernard Tétu fait chanter Mendelssohn, Schubert et Hersant, alors que le Chœur du Festival dirigé par Marie-Laure Teissèdre propose une création mondiale d’Edith Canat de Chizy.
Le Concert secret des Dames de Ferrare est proposé par l’Ensemble Doulce Mémoire et de Joseph Adolf Hasse, on peut découvrir Venise ou les larmes de Magdalena, oratorio en re-création. La soirée Stelle Belle par le concerto Soave propose des œuvres de femmes.
Outre les splendeurs des ogives du cloître d’Ambronay on découvre un autre superbe cadre, celui du Monastère Royal de Brou qui accueille Le lointain et l’ailleurs, les dialogues en Croatie. A souligner encore, un opéra maritime les Frasques du capitaine Le Golif dit Borgnefesse par la compagnie opéra-Théâtre André Fornier et Franck-Emmanuel Comte à la direction du concert de l’Hostel-Dieu ; et enfin une Andromeda Liberata d’après Vivaldi par le Venice Baroque Orchestra.
Deux soirées pour un colloque international Musique, femmes et interdits, (les 3 et 5 octobre) permettent de dépasser cette recherche autour de la musique, en examinant tout ce qui dans le monde tient encore, de façon médiévale, les femmes sous la coupe du sombre regard des censeurs ou de la religion et de ses interdits d’un autre temps. Débat plus que jamais nécessaire. Jacqueline Aimar
du 18 septembre au 12 octobre
Réservations 04 74 38 74 04