Dès la fin novembre 2017, le Musée des beaux-arts de Chambéry rend hommage à un artiste hors-normes, Anselme Boix-Vives, en lui consacrant l’ensemble de ses espaces d’expositions temporaires. Le parcours imaginé par l’historien de l’art Jean-François Chevrier réunit un corpus de non moins de quatre-vingt œuvres et un petit ensemble de documents. Il donnera à découvrir la richesse de la mythologie individuelle d’Anselme Boix-Vives, la variété de son expression picturale, mais aussi l’art puissant et raffiné d’un grand coloriste et la progression d’une recherche exigeante, interrompue en plein essor.
L’œuvre d’Anselme Boix-Vives (1899-1969) est une explosion créatrice d’une vitalité et d’une inventivité spectaculaires. En sept années, entre le début de sa retraite en 1962 et sa mort, l’artiste autodidacte a peint plus de deux mille quatre cents œuvres : figures humaines et animales, paysages, compositions abstraites... Idéaliste pragmatique et enjoué, optimiste viscéral, il a donné vie à un monde légendaire, merveilleux et fantastique, nourri des souvenirs des montagnes catalanes de son enfance – il avait rejoint la Savoie à pied en 1917 –, de la faune et de la flore de Tarentaise, ainsi que des images et des histoires qui lui arrivaient par la télévision, toujours allumée dans la cuisine transformée en atelier.
L’exposition sera accompagnée d’un livre publié par les Éditions Gilles Fage.
L’œuvre d’Anselme Boix-Vives (1899-1969) est une explosion créatrice d’une vitalité et d’une inventivité spectaculaires. En sept années, entre le début de sa retraite en 1962 et sa mort, l’artiste autodidacte a peint plus de deux mille quatre cents œuvres : figures humaines et animales, paysages, compositions abstraites... Idéaliste pragmatique et enjoué, optimiste viscéral, il a donné vie à un monde légendaire, merveilleux et fantastique, nourri des souvenirs des montagnes catalanes de son enfance – il avait rejoint la Savoie à pied en 1917 –, de la faune et de la flore de Tarentaise, ainsi que des images et des histoires qui lui arrivaient par la télévision, toujours allumée dans la cuisine transformée en atelier.
L’exposition sera accompagnée d’un livre publié par les Éditions Gilles Fage.