Lorsqu’il pose son pied sur la lune le 21 juillet 1969, le cosmonaute Neil Armstrong prononce une phrase qui appartient désormais au patrimoine de l’humanité et qui demeure cinquante ans plus tard, toujours aussi mythique que envoutante pour toute une génération d’hommes et de femmes.
Vincent Fournier, artiste diplômé de sociologie et de l'École Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles, a fait sienne cette invitation au rêve et aux défis que pose cette conquête cosmique. C’est ainsi que depuis dix ans, il ne cesse de parcourir le monde à la recherche de lieux, de situations ou de rencontres en lien avec l’exploration spatiale.
De Baïkonour à Grenoble, en passant par les Etats-Unis, l’Asie, l’Inde, la Russie ou la Norvège, l’artiste sillonne la planète afin de se confronter à de nouveaux espaces et territoires, comme une quête sans limite à la poursuite de ces mondes imaginaires.
Photographe du merveilleux, mais pas du sensationnel, Vincent Fournier procède ainsi à l’exploration méthodique de ces lieux presque virtuels, tant ils paraissent insaisissables et lointains. Les architectures vernaculaires des salles de machines ou d’entrainements des astronautes dépeignent ainsi un monde mécanique et robotique, où câbles et réseaux interconnectés font face à des paysages naturels ou merveilleux, désolés ou vertigineux.
Entre situations concrètes et physiques et mondes et aventures fantasmées, l’artiste, dont les photographies sont toujours plus suggestives que documentaires, installe dans le paysage devenu décor, une réalité sublime et magnétique. Cette exploration prouve une fois encore que la porte d’accès à cet ailleurs, tant idéalisée, demeure pour l’Homme une source d’émerveillement éternelle.
Fanny Robin, Commissaire de l'exposition
Vernissage le 14 mars à 19h
Vincent Fournier, artiste diplômé de sociologie et de l'École Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles, a fait sienne cette invitation au rêve et aux défis que pose cette conquête cosmique. C’est ainsi que depuis dix ans, il ne cesse de parcourir le monde à la recherche de lieux, de situations ou de rencontres en lien avec l’exploration spatiale.
De Baïkonour à Grenoble, en passant par les Etats-Unis, l’Asie, l’Inde, la Russie ou la Norvège, l’artiste sillonne la planète afin de se confronter à de nouveaux espaces et territoires, comme une quête sans limite à la poursuite de ces mondes imaginaires.
Photographe du merveilleux, mais pas du sensationnel, Vincent Fournier procède ainsi à l’exploration méthodique de ces lieux presque virtuels, tant ils paraissent insaisissables et lointains. Les architectures vernaculaires des salles de machines ou d’entrainements des astronautes dépeignent ainsi un monde mécanique et robotique, où câbles et réseaux interconnectés font face à des paysages naturels ou merveilleux, désolés ou vertigineux.
Entre situations concrètes et physiques et mondes et aventures fantasmées, l’artiste, dont les photographies sont toujours plus suggestives que documentaires, installe dans le paysage devenu décor, une réalité sublime et magnétique. Cette exploration prouve une fois encore que la porte d’accès à cet ailleurs, tant idéalisée, demeure pour l’Homme une source d’émerveillement éternelle.
Fanny Robin, Commissaire de l'exposition
Vernissage le 14 mars à 19h