Le Cercle de l'Harmonie ©DR
La soprano colorature Tara Stafford et le baryténor Michael Spires, deux merveilleux ambassadeurs du bel canto, venus d’Amérique, se joindront à eux pour ce programme absolument enivrant, réunissant des ouvertures, airs et duos de Rossini et de Donizetti : de l’étourdissant « Largo al factotum » du Barbier de Séville au poignant « Una furtiva lagrima » de l’Elisir d’amore. Un programme en parfait accord avec l’esprit de cette résidence aixoise, tel que Jérémie Rhorer et Dominique Bluzet, le directeur des lieux, l’ont pensé : « allier l’exigence de sens et le populaire, deux pôles souvent dissociés aujourd’hui »*).
Leur démarche s’inscrit dans le cadre d’un projet de transmission, s’accompagnant de différentes actions pédagogiques et sociales au sein du Grand Théâtre et Hors les murs du 13 au 15 décembre.
Leur démarche s’inscrit dans le cadre d’un projet de transmission, s’accompagnant de différentes actions pédagogiques et sociales au sein du Grand Théâtre et Hors les murs du 13 au 15 décembre.
Le 18 décembre, à 16 heures, rendez-vous à Lyon pour des frissons Brahmsiens à l’Auditorium .
Ce nouveau programme du Cercle de l’Harmonie, dirigé par Jérémie Rhorer associera le cycle des Variations sur un thème de Haydn, la Première Symphonie et une sélection de Danses hongroises. Différentes facettes de l’écriture orchestrale du compositeur seront ainsi célébrées : de ses emprunts à l’art de Haydn comme au contrepoint de Bach à ses affinités avec la musique tzigane. Autant de références que le chef ne manquera pas de mettre en avant lui qui, justement, revendique les racines classiques, baroques et populaires de la musique de Brahms, à travers une conception interprétative tout à fait pertinente.