Un peu d'histoire
La Compagnie ACA voit le jour en 1995.
L’initiateur, Habib ADEL, démarre son apprentissage, comme beaucoup de danseurs Hip Hop, de manière autodidacte.
Sensibiliser, transmettre la culture Hip Hop lors de stages ou d’ateliers pédagogiques, … mais aussi revendiquer le Hip Hop comme un art à part entière, comme une source de créations chorégraphiques, … tels sont les objectifs poursuivis par la Compagnie ACA.
L’initiateur, Habib ADEL, démarre son apprentissage, comme beaucoup de danseurs Hip Hop, de manière autodidacte.
Sensibiliser, transmettre la culture Hip Hop lors de stages ou d’ateliers pédagogiques, … mais aussi revendiquer le Hip Hop comme un art à part entière, comme une source de créations chorégraphiques, … tels sont les objectifs poursuivis par la Compagnie ACA.
Tour d'horizon sur les nouvelles Créations ACA ...
Dans l’optique de toucher un large public, tout en abordant un thème existentiel - l’être humain dans son impénétrable complexité-, la compagnie crée en 2007 deux pièces chorégraphiques, intitulées « PAIRE » et « TOC-TOC ».
Deux portes face à face. Dans l’une le début, le commencement, la naissance. Dans l’autre la fin, plus rien, la mort.
Entre ces deux portes, un homme, un moment de vie, un clin d’oeil furtif bel et bien présent mais déjà passé.
Des lignes horizontales d’émotion viennent se croiser à la verticalité de la vie. Des lignes d’émotion toujours en opposition.
Cet homme pris dans la tourmente de la vie, découvre une puissante accoutumance à la lumière, d’autant plus que, au bout du chemin, fatalement, la pénombre l’attend.
Il progresse, parfois accompagné mais souvent seul avec lui-même, entre la vie et la mort.
Il tente de réunir les gestes et les sons qui l’amènent à une danse nuancée.
Chorégraphie et interprétation : Fathia MANSOURI et Maryna HEDREVILLE
Directeur artistique : Habib ADEL
C’est à partir d’une fusion entre deux cellules que l’être humain construit son unité.
Doté d’un cerveau unique, il est pourtant empreint d’une dualité permanente : conflits entre le bien et le mal, la peur et la sérénité…
Nous appréhendons cette cellule mentale comme un lieu de vie, où s’opposeraient deux individus.
Le choix d’un thème comme les troubles obsessionnels compulsifs est un moyen de porter un regard sur cette dualité qui existe en chacun de nous ... être conscient de son comportement, mais à la fois être incapable d’échapper à ses angoisses.
Le premier personnage représente le trouble, il est cloîtré dans un rituel maniaque.
Le second est sa raison qui vient lentement le sortir de cette prison. A travers le fil de la pièce on va voir le premier individu se détacher de ses obsessions.
Le second, à trop vouloir défaire la mécanique réglée de son double, sombrera lui-même peu à peu dans une déconstruction méthodique instaurant de nouveaux rites. ... Comme si, pour se débarrasser d’une manie on s’en créait une nouvelle.
Deux portes face à face. Dans l’une le début, le commencement, la naissance. Dans l’autre la fin, plus rien, la mort.
Entre ces deux portes, un homme, un moment de vie, un clin d’oeil furtif bel et bien présent mais déjà passé.
Des lignes horizontales d’émotion viennent se croiser à la verticalité de la vie. Des lignes d’émotion toujours en opposition.
Cet homme pris dans la tourmente de la vie, découvre une puissante accoutumance à la lumière, d’autant plus que, au bout du chemin, fatalement, la pénombre l’attend.
Il progresse, parfois accompagné mais souvent seul avec lui-même, entre la vie et la mort.
Il tente de réunir les gestes et les sons qui l’amènent à une danse nuancée.
Chorégraphie et interprétation : Fathia MANSOURI et Maryna HEDREVILLE
Directeur artistique : Habib ADEL
C’est à partir d’une fusion entre deux cellules que l’être humain construit son unité.
Doté d’un cerveau unique, il est pourtant empreint d’une dualité permanente : conflits entre le bien et le mal, la peur et la sérénité…
Nous appréhendons cette cellule mentale comme un lieu de vie, où s’opposeraient deux individus.
Le choix d’un thème comme les troubles obsessionnels compulsifs est un moyen de porter un regard sur cette dualité qui existe en chacun de nous ... être conscient de son comportement, mais à la fois être incapable d’échapper à ses angoisses.
Le premier personnage représente le trouble, il est cloîtré dans un rituel maniaque.
Le second est sa raison qui vient lentement le sortir de cette prison. A travers le fil de la pièce on va voir le premier individu se détacher de ses obsessions.
Le second, à trop vouloir défaire la mécanique réglée de son double, sombrera lui-même peu à peu dans une déconstruction méthodique instaurant de nouveaux rites. ... Comme si, pour se débarrasser d’une manie on s’en créait une nouvelle.