C’est ce qui est arrivé à Charlotte Culot née en Belgique dans le milieu du dessin. Et plus encore, éduquée en archéologie et histoire de l’art, à la photographie ; et passionnée de matériaux et de couleurs.
Elle commence à peindre en 1988 seulement, utilisant d’abord le papier kraft brun, redécouvrant les gouaches pigments et autres pastels de son enfance. Puis elle s’oriente vers le collage au travers de son goût pour les matériaux et les textures, très vite amenée au sujet dominant : la couleur, thème majeur de sa quête, « ce qui pourrait apparaître probablement de l’au-delà ». Car Charlotte Culot considère que « peindre est une mise en abîme le long de la falaise abrupte ».
Si elle expose en Europe depuis 1990 et aux Etats-Unis depuis 1994, elle est accueillie chez Michèle Emiliani depuis 1998, d’abord à la Galerie de La Bégude-de-Mazenc, puis en 2010 et 2014, à Dieulefit. Dans ce quartier des Promenades en contrebas de la route et nichées dans une verdure épaisse tout près du Jabron. Un lieu qui paraît intime, secret, et où les galeries occupent une place tout à fait à part, à l’entrée d’une charmante petite ville où les potiers, les artisans, les artistes, entre rues et places, occupent un rôle tout à fait à part.
A la Galerie Emiliani, la galeriste Michèle Emiliani reçoit depuis des années des artistes français et étrangers, souvent des fidèles, des peintres en majorité mais aussi sculpteurs et graveurs qui trouvent ici un accueil de choix.
Avec Charlotte Culot ce sont des collages qu’elle dit concevoir comme « une architecture de mes peintures pour créer un champ chromatique infini ». « Mon souhait est de créer un réservoir d’énergie, de sorte que chacun d’entre nous est confronté à sa propre vitalité». Pour créer un «champ libre », un « champ total », qui est lui-même ouvert à d’autres domaines… «Comme les ondes sur l’eau… Echos… »
Jacqueline Aimar
Elle commence à peindre en 1988 seulement, utilisant d’abord le papier kraft brun, redécouvrant les gouaches pigments et autres pastels de son enfance. Puis elle s’oriente vers le collage au travers de son goût pour les matériaux et les textures, très vite amenée au sujet dominant : la couleur, thème majeur de sa quête, « ce qui pourrait apparaître probablement de l’au-delà ». Car Charlotte Culot considère que « peindre est une mise en abîme le long de la falaise abrupte ».
Si elle expose en Europe depuis 1990 et aux Etats-Unis depuis 1994, elle est accueillie chez Michèle Emiliani depuis 1998, d’abord à la Galerie de La Bégude-de-Mazenc, puis en 2010 et 2014, à Dieulefit. Dans ce quartier des Promenades en contrebas de la route et nichées dans une verdure épaisse tout près du Jabron. Un lieu qui paraît intime, secret, et où les galeries occupent une place tout à fait à part, à l’entrée d’une charmante petite ville où les potiers, les artisans, les artistes, entre rues et places, occupent un rôle tout à fait à part.
A la Galerie Emiliani, la galeriste Michèle Emiliani reçoit depuis des années des artistes français et étrangers, souvent des fidèles, des peintres en majorité mais aussi sculpteurs et graveurs qui trouvent ici un accueil de choix.
Avec Charlotte Culot ce sont des collages qu’elle dit concevoir comme « une architecture de mes peintures pour créer un champ chromatique infini ». « Mon souhait est de créer un réservoir d’énergie, de sorte que chacun d’entre nous est confronté à sa propre vitalité». Pour créer un «champ libre », un « champ total », qui est lui-même ouvert à d’autres domaines… «Comme les ondes sur l’eau… Echos… »
Jacqueline Aimar
Charlotte Culot, Sans titre, Technique mixte collage et gouache
Pratique
Tout l’été 2017
Galerie Emiliani
Allée des Promenades
26220 Dieulefit, France
galerie-emiliani.com
+33 4 75 46 30 28
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