4 Solitude, 2011, huile sur toile, 146 x 114 cm
Les œuvres de Jacques Migayrou qui ont été sélectionnées pour cette nouvelle exposition en la galerie Françoise Besson de Lyon sont un corpus représentatif de l'œuvre récente de l'artiste, aux sujets aussi divers que des portraits, des natures mortes, des paysages, et des créations beaucoup plus difficiles à caractériser qui font appel à l'imagination créatrice, au symbolisme, à l'émotion, à la réflexion et à la perception intimes qu'échangent l'artiste et le public.
« Jacques Migayrou est un artiste de l'onde, de la fréquence, de la vibration qui emplit le vide. Chez lui, le vide n’est jamais vide, il est plein, il sonne, il résonne, il fait écho de toutes parts, il fait musique, il est prégnant : la perception du monde par l’artiste, sa façon de le représenter sont fondées non sur la description directe du visible, de l'enveloppe externe, touchable et perceptible au premier degré, mais sur une décomposition par une peinture intérieure, une radiographie non de l'intérieur de l'objet tel qu'il est véritablement structuré physiquement, tel qu'il peut être étudié, analysé, mais par l'accession progressive, par la représentation de profondeurs souvent en parallèle, de son être intérieur. Il en va ainsi en particulier de la transcription des sujets vivants, que ce soit celle d'un autoportrait, des Trois Grâces ou de l’Homme debout, d'un personnage emblématique ou symbolique, d’un immeuble imaginaire ou des fleurs d'un bouquet…/… »
Monteburan (extrait du cahier de Crimée n°22)
« Jacques Migayrou est un artiste de l'onde, de la fréquence, de la vibration qui emplit le vide. Chez lui, le vide n’est jamais vide, il est plein, il sonne, il résonne, il fait écho de toutes parts, il fait musique, il est prégnant : la perception du monde par l’artiste, sa façon de le représenter sont fondées non sur la description directe du visible, de l'enveloppe externe, touchable et perceptible au premier degré, mais sur une décomposition par une peinture intérieure, une radiographie non de l'intérieur de l'objet tel qu'il est véritablement structuré physiquement, tel qu'il peut être étudié, analysé, mais par l'accession progressive, par la représentation de profondeurs souvent en parallèle, de son être intérieur. Il en va ainsi en particulier de la transcription des sujets vivants, que ce soit celle d'un autoportrait, des Trois Grâces ou de l’Homme debout, d'un personnage emblématique ou symbolique, d’un immeuble imaginaire ou des fleurs d'un bouquet…/… »
Monteburan (extrait du cahier de Crimée n°22)
Pratique
Galerie Françoise BESSON
10 rue de Crimée
69001 Lyon
+33(0)4 78 30 54 75
+33(0)6 07 37 45 32
contact@francoisebesson.com
www.francoisebesson.com
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