Erato Warner Classics, parutions de février 2022

En concert les 11 et 12 avril à la Philharmonie de Paris et plus de trente dates en Europe

Mars 2022 c’est dans son van que Jean Rondeau prendra la route pour présenter en tournée son nouvel album « Goldberg Variations » : Jean, une trentaine d'année pour une trentaine de dates avec ses trente variations, le tout en seulement 60 jours, et quelques 12 000km.
Il est accompagné dans ce road-trip de son propre clavecin et de Florian Donati, ami, accordeur et transporteur. Ils partent tous les trois pour se rendre dans les salles de concert les plus prestigieuses d'Europe, de Berlin a Genève en passant par Frankfort et Bâle, de Budapest a Paris en passant par Lljubljana et Zurich, tenter une expérience particulière, se préparer au mieux pour donner le meilleur de soi...

« Une ode au silence » : c’est ainsi que le claveciniste Jean Rondeau définit les Variations Goldberg de Bach. « Je considère qu’elles furent écrites pour le silence, en ce sens qu’elles se substituent au silence ». « Bach tient tout entier dans les Variations Goldberg…toute sa musique y est présente... et c’est une œuvre que je vais, sans nul doute, explorer jusqu’à la fin de mes jours ». Dans la phase préparatoire de cet enregistrement, Jean Rondeau a consulté une édition conservée à la Bibliothèque Nationale comportant des annotations qui sont de la main même de Bach. Il ajoute : « Me plonger dans ce document précieux m’a aidé à faire les choix que j’ai ressentis comme les plus authentiques ». Jean Rondeau exécute ce corpus de variations dans sa forme la plus complète, en effectuant toutes les reprises et en distillant des silences mûrement pensés. Jean Rondeau joue sur un clavecin Jonte Knif & Arno Pelto d’après un modèle allemand.

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Cappella Neapolitana
Antonio Florio, direction
Ian Bostridge, ténor


Avec les dix airs de son album Tormento d’amore, Ian Bostridge met en lumière la place éminente qu’occupait la voix de ténor dans l’opéra italien du milieu du 17e siècle au milieu du 18e siècle, période trop souvent réduite au règne des castrats. À cette époque, l’Italie lyrique était dominée par deux pôles : Venise et Naples. Venise, avec des maîtres tels que Cavalli, Vivaldi, Cesti, Stradella, Sartorio et Legrenzi; Naples, avec Provenzale, Caresana, Vinci et Fago. En plus de ces airs - deux d’entre eux sont ici enregistrés en première mondiale - l’album contient cinq ouvertures - sinfonie - et une chanson traditionnelle napolitaine, Lu cardillo (Le Chardonneret), du nom d’un oiseau étroitement associé à Naples. Ian Bostridge est accompagné par l’ensemble Cappella Neapolitana que dirige son chef Antonio Florio

Ian Bostridge, Tormento d'Amore
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Emőke Baráth, soprano
Philippe Jaroussky, direction
Ensemble Artaserse

En concert
le 11 mars au Théâtre des Champs-Elysées
le 13 mars Eglise de la Trinité à Lyon

Dans Dualità, album composé d’airs de neuf opéras de Haendel, Emőke Baráth explore la dualité de l’âme féminine, mélange de force et de sensibilité, ainsi que la capacité de la voix de femme à caractériser aussi bien les héroïnes que les héros. La soprano hongroise rend hommage, par la même occasion, à ses homologues du 18e siècle, notamment aux prima donna de la compagnie d’opéra qu’Haendel dirigeait à Londres. Emőke Baráth est accompagnée par l’ensemble Artaserse, placé sous la direction de Philippe Jaroussky (1er enregistrement en tant que chef). Emőke Baráth déploie un large éventail d’expressions, incarnant des héroïnes d’Alcina, Giulio Cesare, Partenope, Amadigi di Gaula et Lotario, mais aussi des héros d’Arianna in Creta, Radamisto, Faramondo et Deidamia.

Emőke Baráth, soprano
Philippe Jaroussky, direction
Ensemble Artaserse
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Mozart
Intégrale des Sonates pour piano
6 CD

En concert
les 19 avril et 2 mai à la Philharmonie de Paris

Il ne fallait pas moins qu'un projet fantastique pour célébrer la signature d'une légende vivante du piano chez Warner Classics.
L’une des pianistes les plus célèbres de notre temps, tout en restant fidèle à elle-même et à sa musique, suit les traces des grands musiciens russes de l’ère soviétique, tels que Sviatoslav Richter et Emil Gilels...
« Un Mozart kaléidoscopique avec la sagesse et l’expérience d’une vie derrière lui »
-The Arts Desk après un concert au Wigmore Hall-.

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