Exposition Sébastien Bayet, Palimpseste sur voiles, 1er juillet au 30 septembre 2020 au château de la Tour d'Aigues
Après des séries sur les vanités et les ateliers d’artistes, Sébastien Bayet revisite les toiles des grands maîtres comme Goya, Velasquez ou Manet en mêlant tissu et peinture à l’huile.
Aujourd’hui à travers la thématique de son atelier, sa recherche picturale est de plus en plus épurée.
Sébastien Bayet aime la matière. Comme support de fond il adopte les voiles de pirogue de Madagascar. Voiles de seconde vie, rapiécées par les Vezos ces nomades de la mer. La matière première de son œuvre est composée de ces nombreuses traces qui offrent des indices mémoriels d’une matière qui a traversé le soleil et l’air marin.
Le processus de création de Sébastien Bayet est direct, pas de phase d’esquisse ou d’ébauche qui précède l’œuvre. Il se plonge dans les grands formats et se confronte d’emblée dans sa matière-voile. Le fond accidenté guide la composition de son vocabulaire formel. Peinture à l’huile, pastels, collage et superposition de tissus, les formes s’animent, instaurant un intime dialogue qui questionne les limites entre la matière, le fond, la forme et la couleur.
« J’aime bousculer les choses, il faut prendre des risques sinon il ne se passe jamais rien ».
HORAIRES D’OUVERTURE
Du mardi au samedi : 10h à 12h30 et 14h30 à 18h
Aujourd’hui à travers la thématique de son atelier, sa recherche picturale est de plus en plus épurée.
Sébastien Bayet aime la matière. Comme support de fond il adopte les voiles de pirogue de Madagascar. Voiles de seconde vie, rapiécées par les Vezos ces nomades de la mer. La matière première de son œuvre est composée de ces nombreuses traces qui offrent des indices mémoriels d’une matière qui a traversé le soleil et l’air marin.
Le processus de création de Sébastien Bayet est direct, pas de phase d’esquisse ou d’ébauche qui précède l’œuvre. Il se plonge dans les grands formats et se confronte d’emblée dans sa matière-voile. Le fond accidenté guide la composition de son vocabulaire formel. Peinture à l’huile, pastels, collage et superposition de tissus, les formes s’animent, instaurant un intime dialogue qui questionne les limites entre la matière, le fond, la forme et la couleur.
« J’aime bousculer les choses, il faut prendre des risques sinon il ne se passe jamais rien ».
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Du mardi au samedi : 10h à 12h30 et 14h30 à 18h
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