Florence Vair-Piova - Photographie, dessin, vidéo ; Barbara Lerch - Dessin, à la MAPRA, Lyon, du 14 mars au 30 mars 2013
Barbara Lerch
”De la fenêtre, du bus, de l’immeuble, du trottoir” vidéo, 10’46, 2011, Marseille
Je dessine comme on tricote, maille après maille. Ainsi se crée le pli.
Par la ligne, des formes apparaissent, se superposent, s’enchevêtrent, vibrent entre elles et tendent vers l'abstraction.
Ce travail découle d’un rituel, le remplissage d’une feuille de papier de variations d’un même motif : une pile de vêtements, presque indéfiniment, comme une obsession.
Contact : babs.babsou@hotmail.fr
Par la ligne, des formes apparaissent, se superposent, s’enchevêtrent, vibrent entre elles et tendent vers l'abstraction.
Ce travail découle d’un rituel, le remplissage d’une feuille de papier de variations d’un même motif : une pile de vêtements, presque indéfiniment, comme une obsession.
Contact : babs.babsou@hotmail.fr
Florence Vair-Piova
Etre à l’intérieur de soi et voir bouger le monde. Vivre cette dualité de l’enfermement de soi dans un corps et vouloir se sortir de soi. Vivre ces limites, son émotion en éveil tout à l’intérieur, s’échappe comme elle peut, trouve sa voie de sortie dans la matière, dans l’image.
L’émotion devient le centre, le lieu où tout se passe, une personne à part entière, le personnage. L’émotion se retrouve en butée, ce corps qui lui fait lui rappeler qu’il est ici, dans ce temps là, ce temps qui lui est si difficile d’appréhender. Alors, l’expérimentation dans le mouvement, lui devient nécessaire, apercevoir dans l’interstice ce qui est si difficile de voir. Cette multitude de sensations comme des vaguelettes viennent se flanquer sur vous et vous êtes là, ahuri, dans le flou, dans le chaos, dans le bain, au milieu et vous en recevez continuellement à la surface, la tête hors de l’eau quand vous ne plongez pas, le reste du corps, lui, est dedans.
De nuit comme de jour, viennent par fragments, comme dans les rêves, ces sensations, nous y mettons un ordre dès la parole prononcée, le dessin, la caméra, l’écriture sont ces paroles.
Contact : florencevairpiova@yahoo.fr
Site: www.florencevairpiova.com
L’émotion devient le centre, le lieu où tout se passe, une personne à part entière, le personnage. L’émotion se retrouve en butée, ce corps qui lui fait lui rappeler qu’il est ici, dans ce temps là, ce temps qui lui est si difficile d’appréhender. Alors, l’expérimentation dans le mouvement, lui devient nécessaire, apercevoir dans l’interstice ce qui est si difficile de voir. Cette multitude de sensations comme des vaguelettes viennent se flanquer sur vous et vous êtes là, ahuri, dans le flou, dans le chaos, dans le bain, au milieu et vous en recevez continuellement à la surface, la tête hors de l’eau quand vous ne plongez pas, le reste du corps, lui, est dedans.
De nuit comme de jour, viennent par fragments, comme dans les rêves, ces sensations, nous y mettons un ordre dès la parole prononcée, le dessin, la caméra, l’écriture sont ces paroles.
Contact : florencevairpiova@yahoo.fr
Site: www.florencevairpiova.com
Détail de “Sans titre”, encre de chine sur papier, 18,50X40 cm, 2012”
Pratique
MAPRA
9 rue Paul CHENAVARD
69001 – LYON
Tél. 04 78 29 53 13 – Fax. 04 78 29 46 34
Horaires : mardi – samedi de 14H30 à 18H30
Mercredi – jeudi – vendredi de 10H à 12H30 et de 14H30 à 18H30
Vernissage le 13 mars 2013 - 18H30
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Mercredi – jeudi – vendredi de 10H à 12H30 et de 14H30 à 18H30
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