Un croisement des regards
Pour comprendre cette histoire coloniale riche et complexe, l’exposition Indochine. Des territoires et des hommes, 1856-1956 offre au visiteur une double clé de lecture en abordant du point de vue français et indochinois les notions de conquête, guerre, répression, aménagement ou exploitation. Sans tabou, cette rétrospective critique permet ainsi d’appréhender la complexité des interactions entre les groupes sociaux, linguistiques et culturels, les heurts ou assimilations choisies ou contraintes et les apports institutionnels.
Une exposition inédite
Second volet d’un diptyque consacré à la thématique coloniale, après Algérie 1830-1962, avec Jacques Ferrandez (mai-juillet 2012), cette manifestation marque la volonté du musée de l’Armée de poursuivre son travail historiographique sur des sujets encore absents de ses salles d’expositions permanentes. Une sélection de pièces inédites des collections est ainsi mise en relation avec les œuvres, objets et documents de collections particulières et de nombreuses institutions de référence dans ce domaine, dont les Archives nationales d’outre-mer, le Service historique de la défense, le musée de la Marine, la BnF, le musée du quai Branly, le musée Guimet, les Missions Etrangères de Paris, le musée des châteaux de Versailles et de Trianon…
Des territoires… et des hommes
Le parcours–chronologique et thématique–se dessine en trois temps: les premiers pas de la France en Asie du Sud-Est et la constitution du territoire de l’Indochine française entre 1859 et 1907, la vie coloniale indochinoise et les mouvements nationaux dans l’entre-deux-guerres, puis la fin de l’Empire français en Extrême-Orient. Citations et portraits de personnalités françaises et indochinoises, tant intellectuelles que politiques ou militaires, émaillent le parcours et rendent compte de l’évolution des idées et des représentations de l’époque.
Le film à l’honneur
Du fonds des frères Lumière aux films d’actualités couvrant la guerre d’Indochine, l’exposition fait la part belle aux projections d’archives avec le soutien de l’INA et de l’ECPAD,et réserve une surprise inédite en fin de parcours. En écho à cet événement, un cycle cinéma est programmé durant 3 semaines en novembre au musée de l’Armée, à la BnF et au MK2, partenaires du projet.
Pour comprendre cette histoire coloniale riche et complexe, l’exposition Indochine. Des territoires et des hommes, 1856-1956 offre au visiteur une double clé de lecture en abordant du point de vue français et indochinois les notions de conquête, guerre, répression, aménagement ou exploitation. Sans tabou, cette rétrospective critique permet ainsi d’appréhender la complexité des interactions entre les groupes sociaux, linguistiques et culturels, les heurts ou assimilations choisies ou contraintes et les apports institutionnels.
Une exposition inédite
Second volet d’un diptyque consacré à la thématique coloniale, après Algérie 1830-1962, avec Jacques Ferrandez (mai-juillet 2012), cette manifestation marque la volonté du musée de l’Armée de poursuivre son travail historiographique sur des sujets encore absents de ses salles d’expositions permanentes. Une sélection de pièces inédites des collections est ainsi mise en relation avec les œuvres, objets et documents de collections particulières et de nombreuses institutions de référence dans ce domaine, dont les Archives nationales d’outre-mer, le Service historique de la défense, le musée de la Marine, la BnF, le musée du quai Branly, le musée Guimet, les Missions Etrangères de Paris, le musée des châteaux de Versailles et de Trianon…
Des territoires… et des hommes
Le parcours–chronologique et thématique–se dessine en trois temps: les premiers pas de la France en Asie du Sud-Est et la constitution du territoire de l’Indochine française entre 1859 et 1907, la vie coloniale indochinoise et les mouvements nationaux dans l’entre-deux-guerres, puis la fin de l’Empire français en Extrême-Orient. Citations et portraits de personnalités françaises et indochinoises, tant intellectuelles que politiques ou militaires, émaillent le parcours et rendent compte de l’évolution des idées et des représentations de l’époque.
Le film à l’honneur
Du fonds des frères Lumière aux films d’actualités couvrant la guerre d’Indochine, l’exposition fait la part belle aux projections d’archives avec le soutien de l’INA et de l’ECPAD,et réserve une surprise inédite en fin de parcours. En écho à cet événement, un cycle cinéma est programmé durant 3 semaines en novembre au musée de l’Armée, à la BnF et au MK2, partenaires du projet.