Jacques Henri Lartigue est né à Courbevoie le 13 juin 1894. Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Peintre et photographe, il devient célèbre grâce à ses clichés évoquant sa vie familiale et la société mondaine de la Belle Epoque. Il est considéré au XXe siècle comme un génie du noir et blanc.
Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours de 1908 à 1986.
Cette exposition met en lumière le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie. Elle montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort. Elle n’a jamais été présentée en France.
Une exposition imaginée par Florian Rodari
Cette exposition se veut une lecture du regard que pose Lartigue sur le monde. La qualité de ce regard réside peut-être moins dans la légèreté et la grâce – pourtant l’une et l’autre recherchées à tout moment par cet artiste – que dans la conscience sensible d’une soudaine relativité des choses entre elles. L’époque où l’enfant commence à photographier est comme déstabilisée dans ses lois ordinaires de gravité et de perspective. Tout va désormais tellement vite que tout devient aussitôt immatériel, indécis, sujet au hasard. L’exposition réunit ainsi quelque 200 photographies sur le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie et montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort.
Commissaires : Martine d’Astier, Marie-France Bouhours et Florian Rodari.
Textes de Florian Rodari et Martine d’Astier.
Curieux, il essaie toutes les nouvelles techniques photographiques ; clichés de sujets en mouvement, ses images représentent aussi bien les membres de sa famille que les premiers temps de l’aviation, les manifestations sportives, les « belles dames » du bois de Boulogne, et les photographies de la Riviera où il fait de nombreux séjours de 1908 à 1986.
Cette exposition met en lumière le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie. Elle montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort. Elle n’a jamais été présentée en France.
Une exposition imaginée par Florian Rodari
Cette exposition se veut une lecture du regard que pose Lartigue sur le monde. La qualité de ce regard réside peut-être moins dans la légèreté et la grâce – pourtant l’une et l’autre recherchées à tout moment par cet artiste – que dans la conscience sensible d’une soudaine relativité des choses entre elles. L’époque où l’enfant commence à photographier est comme déstabilisée dans ses lois ordinaires de gravité et de perspective. Tout va désormais tellement vite que tout devient aussitôt immatériel, indécis, sujet au hasard. L’exposition réunit ainsi quelque 200 photographies sur le thème de l’instant qui passe, de la brièveté du bonheur et de la fragilité de la vie et montre que l’art du photographe est autant l’évocation du bonheur qu’un combat de tous les instants contre la pesanteur et la mort.
Commissaires : Martine d’Astier, Marie-France Bouhours et Florian Rodari.
Textes de Florian Rodari et Martine d’Astier.
Pratique
Vernissage le Jeudi 16 juin 2016 à 19 heures
Théâtre de la Photographie et de l’Image - Charles Nègre
27, boulevard Dubouchage
06000 Nice
Théâtre de la Photographie et de l’Image - Charles Nègre
27, boulevard Dubouchage
06000 Nice