Après un album coloré et rythmé, California Dreamin, une ode à ses années hollywoodiennes, le flûtiste Julien Beaudiment a choisi de retourner aux sources avec un album Mozart, aux côtés de la harpiste Anaïs de Gaudemart et du chef Philippe Bernold, auquel il succéda à l’Orchestre de l’Opéra national de Lyon.
Dans ce nouvel album le musicien révèle un chapitre charnière de la vie de Mozart, mêlant des textures instrumentales pour évoquer la profondeur émotionnelle et la virtuosité de ses compositions. En collaboration avec l’Orchestre de l’Opéra national de Lyon, l’album capture l’essence du génie mozartien, des sonorités mélancoliques des six variations de «Alas I lost my lover» aux échanges animés entre la harpe et la flûte.
Virtuosité technique, langage amoureux, brillance instrumentale, lyrisme, mélancolie, tristesse, tant de qualifications et d’émotions pour décrire cet album dans lequel l’instrument flûte irradie de sa douceur féminine et aimante, d’une voix pleine de clarté, aux côtés de la harpe qui vient accentuer cet état de grâce.
Philippe Bernold, quant à lui, fin connaisseur de cet orchestre et de Mozart, dont il a appris toutes les subtilités de langage auprès de son maitre, Sir John Eliot Gardiner, d’un doigté magique apporte panache et grandeur à ces pages du grand répertoire.
Un vibrant hommage à ce grand orchestre, qui célébrait il n’y a pas si longtemps ses 40 ans!
Dans ce nouvel album le musicien révèle un chapitre charnière de la vie de Mozart, mêlant des textures instrumentales pour évoquer la profondeur émotionnelle et la virtuosité de ses compositions. En collaboration avec l’Orchestre de l’Opéra national de Lyon, l’album capture l’essence du génie mozartien, des sonorités mélancoliques des six variations de «Alas I lost my lover» aux échanges animés entre la harpe et la flûte.
Virtuosité technique, langage amoureux, brillance instrumentale, lyrisme, mélancolie, tristesse, tant de qualifications et d’émotions pour décrire cet album dans lequel l’instrument flûte irradie de sa douceur féminine et aimante, d’une voix pleine de clarté, aux côtés de la harpe qui vient accentuer cet état de grâce.
Philippe Bernold, quant à lui, fin connaisseur de cet orchestre et de Mozart, dont il a appris toutes les subtilités de langage auprès de son maitre, Sir John Eliot Gardiner, d’un doigté magique apporte panache et grandeur à ces pages du grand répertoire.
Un vibrant hommage à ce grand orchestre, qui célébrait il n’y a pas si longtemps ses 40 ans!