Entre science et beaux-arts, Pierre-Joseph Redouté incarne l’apogée de la peinture florale ; surnommé le « Raphaël des Fleurs », il est devenu un modèle encore célébré aujourd’hui grâce à l’élégance et à la justesse de son interprétation d’une nouvelle flore venue orner les jardins entre la fin de l’Ancien Régime et la Monarchie de Juillet.
Grâce à la générosité du Muséum national d'Histoire naturelle, le musée de la Vie romantique organise pour la première fois en France, une exposition consacrée à Redouté et à son influence. Peintre botaniste, il a contribué à l’âge d’or des sciences naturelles en collaborant avec les plus grands naturalistes de son temps. Il a répondu à leur préoccupation de classement et d’identification de plantes rapportées des quatre continents en les reproduisant à l’aquarelle sur de précieux vélins avec une rigueur scientifique et un talent artistiques inégalés. Peintre des souveraines, de l’impératrice Joséphine à la reine Marie Amélie, il est aussi graveur, éditeur, et professeur.
À l’époque des progrès horticoles, alors que les dames s’initient au langage des fleurs, leurs porte-bouquets, éventails et bijoux sont le reflet de leur passion botanique. Des tentures, broderies pour des robes de cour, papiers peints et porcelaines… témoignent de cet engouement pour la fleur telle que Redouté l'a sublimée. Une « classe de la Fleur » destinée à l'industrie lyonnaise de la soie a éclos au tout début du XIXe siècle, tandis qu’un « Salon des Fleurs» met à l'honneur un véritable genre pictural.
Plus de 250 peintures, aquarelles, objets d’art, et vélins qui, en raison de leur fragilité, seront présentés suivant un accrochage en partie renouvelé en trois « saisons » proviennent de nombreuses collections publiques françaises (musée du Louvre, musée des Beaux-Arts de Lyon, musée de Grenoble, musée Fabre de Montpellier…) et des musées de Belgique.
En contre-point, près de trente créateurs contemporains montreront la vitalité toujours actuelle du motif de la fleur naturaliste, au sein les collections permanentes du musée de la Vie romantique, grâce à la collaboration des Ateliers d’Art de France.
Cette exposition est réalisée avec le partenariat exceptionnel du Muséum national d’histoire naturelle et co-organisée avec les Ateliers d’Art de France.
Commisariat :
Catherine de Bourgoing, commissaire scientifique
Jérôme Farigoule, directeur du musée de la Vie romantique
Sophie Eloy, directrice adjointe du musée de la Vie romantique
Grâce à la générosité du Muséum national d'Histoire naturelle, le musée de la Vie romantique organise pour la première fois en France, une exposition consacrée à Redouté et à son influence. Peintre botaniste, il a contribué à l’âge d’or des sciences naturelles en collaborant avec les plus grands naturalistes de son temps. Il a répondu à leur préoccupation de classement et d’identification de plantes rapportées des quatre continents en les reproduisant à l’aquarelle sur de précieux vélins avec une rigueur scientifique et un talent artistiques inégalés. Peintre des souveraines, de l’impératrice Joséphine à la reine Marie Amélie, il est aussi graveur, éditeur, et professeur.
À l’époque des progrès horticoles, alors que les dames s’initient au langage des fleurs, leurs porte-bouquets, éventails et bijoux sont le reflet de leur passion botanique. Des tentures, broderies pour des robes de cour, papiers peints et porcelaines… témoignent de cet engouement pour la fleur telle que Redouté l'a sublimée. Une « classe de la Fleur » destinée à l'industrie lyonnaise de la soie a éclos au tout début du XIXe siècle, tandis qu’un « Salon des Fleurs» met à l'honneur un véritable genre pictural.
Plus de 250 peintures, aquarelles, objets d’art, et vélins qui, en raison de leur fragilité, seront présentés suivant un accrochage en partie renouvelé en trois « saisons » proviennent de nombreuses collections publiques françaises (musée du Louvre, musée des Beaux-Arts de Lyon, musée de Grenoble, musée Fabre de Montpellier…) et des musées de Belgique.
En contre-point, près de trente créateurs contemporains montreront la vitalité toujours actuelle du motif de la fleur naturaliste, au sein les collections permanentes du musée de la Vie romantique, grâce à la collaboration des Ateliers d’Art de France.
Cette exposition est réalisée avec le partenariat exceptionnel du Muséum national d’histoire naturelle et co-organisée avec les Ateliers d’Art de France.
Commisariat :
Catherine de Bourgoing, commissaire scientifique
Jérôme Farigoule, directeur du musée de la Vie romantique
Sophie Eloy, directrice adjointe du musée de la Vie romantique