Des régions qui étaient en partie représentées dans les collections du musée Guimet des origines, alors « musée des Religions », demeurent des photographies de l’Algérie, du bassin méditerranéen et du Moyen-Orient.
Plusieurs panoramas sont exposés pour la première fois : Athènes, le Pirée, Constantinople ou encore Aden. Un album unique de 1860 sur l’Iran clôt cette première partie du voyage qui se poursuit par une série de rares photographies d’Afghanistan prises par B. Simpson en 1880-1881.
Une cinquantaine d’années les sépare de celles des époux Hackin, alors qu’ils travaillaient pour la Délégation archéologique française en Afghanistan. Le visiteur découvre ensuite Peshawar au Pakistan et pénètre en Inde par Srinagar au Cachemire. Plus d’une vingtaine d’épreuves montrent le continent indien à travers l’œuvre de photographes célèbres comme Beato, Tripe et Bourne.
Après un détour par Ceylan, le voyage se continue en Birmanie, puis avec les toutes premières photographies du Siam, avant celles des découvreurs d’Angkor, de la Cochinchine et du Tonkin.
À cette étape du parcours, est présenté un panorama de Singapour vers 1874, attribué à Sachtler, et des photographies prises en Indonésie et aux Philippines. Puis, la Chine ouvre grand ses portes sur l’Extrême-Orient avec son architecture impériale et ses mandarins.
Deux nouveaux panoramas, l’un de Macao par W. P. Floyd, et l’autre de Hong Kong par le photographe chinois Lai Fong, rappellent la présence des Portugais et des Britanniques dans la région. L’avant-dernière étape de ce grand périple est la Corée en 1908, vue par un jeune photographe amateur J. Corpet. Le Japon, pays pour lequel le MNAAG conserve une collection exceptionnelle, est représenté par plusieurs albums de différents auteurs comme Le Bas, Beato, ou J. Jansen lorsque ce dernier photographie depuis Nagasaki et Kobe le passage de Vénus devant le soleil le 9 décembre 1874, mais également Tamamura, Suzuki – dont un album accordéon est déployé sur plusieurs mètres – et quelques petits albums de poche à destination des touristes. Afin de montrer la qualité des plats en laque dont ils sont recouverts, deux albums sont exposés fermés.
Ce panorama des trésors photographiques du MNAAG ne serait pas complet sans la présentation des photographes contemporains comme Marc Riboud, avec une vingtaine de photographies prises en Chine, Inde et Japon, Suzanne Held, le Coréen Bohnchang Koo ou encore le daguerréotypiste japonais Takashi Arai.
Plusieurs panoramas sont exposés pour la première fois : Athènes, le Pirée, Constantinople ou encore Aden. Un album unique de 1860 sur l’Iran clôt cette première partie du voyage qui se poursuit par une série de rares photographies d’Afghanistan prises par B. Simpson en 1880-1881.
Une cinquantaine d’années les sépare de celles des époux Hackin, alors qu’ils travaillaient pour la Délégation archéologique française en Afghanistan. Le visiteur découvre ensuite Peshawar au Pakistan et pénètre en Inde par Srinagar au Cachemire. Plus d’une vingtaine d’épreuves montrent le continent indien à travers l’œuvre de photographes célèbres comme Beato, Tripe et Bourne.
Après un détour par Ceylan, le voyage se continue en Birmanie, puis avec les toutes premières photographies du Siam, avant celles des découvreurs d’Angkor, de la Cochinchine et du Tonkin.
À cette étape du parcours, est présenté un panorama de Singapour vers 1874, attribué à Sachtler, et des photographies prises en Indonésie et aux Philippines. Puis, la Chine ouvre grand ses portes sur l’Extrême-Orient avec son architecture impériale et ses mandarins.
Deux nouveaux panoramas, l’un de Macao par W. P. Floyd, et l’autre de Hong Kong par le photographe chinois Lai Fong, rappellent la présence des Portugais et des Britanniques dans la région. L’avant-dernière étape de ce grand périple est la Corée en 1908, vue par un jeune photographe amateur J. Corpet. Le Japon, pays pour lequel le MNAAG conserve une collection exceptionnelle, est représenté par plusieurs albums de différents auteurs comme Le Bas, Beato, ou J. Jansen lorsque ce dernier photographie depuis Nagasaki et Kobe le passage de Vénus devant le soleil le 9 décembre 1874, mais également Tamamura, Suzuki – dont un album accordéon est déployé sur plusieurs mètres – et quelques petits albums de poche à destination des touristes. Afin de montrer la qualité des plats en laque dont ils sont recouverts, deux albums sont exposés fermés.
Ce panorama des trésors photographiques du MNAAG ne serait pas complet sans la présentation des photographes contemporains comme Marc Riboud, avec une vingtaine de photographies prises en Chine, Inde et Japon, Suzanne Held, le Coréen Bohnchang Koo ou encore le daguerréotypiste japonais Takashi Arai.