Pour l’occasion, une centaine de galeries,
dont le renom dépassent nos frontières, seront représentées sur la plus belle avenue du monde. Une façon de miser à la fois sur le prestige et l’exception. En effet, les exposants bénéficient d’un site unique pour lever le voile sur leurs collections : ainsi le sublime écrin des Champs Elysées va-t-il se marier à la perfection avec les peintures, sculptures et autres photographies exposées. Des œuvres, réalisées par une sélection d’artistes parmi les plus illustres de l’art moderne et contemporain, qui vont se mêler à l’élégance innée de l’avenue mythique de la capitale.
Le comité de sélection, présidé par Baudouin Lebon, directeur artistique d’ « Art Elysées » et acteur de premier plan au sein de la communauté artistique, veille à garantir qualité, intérêt et rareté des oeuvres exposées.
Celles-ci répondent, en effet, à une série de critères définis par l’ensemble des organisateurs, dont font partie notamment de nombreux galéristes français et étrangers.
L’an dernier déjà, l’esprit de cette nouvelle foire dédiée à l’art a défrayé la chronique. Et pour cause : par le caractère inédit et exigeant de l’événement, les organisateurs ont d’emblée emporté l’adhésion d’un grand nombre de professionnels de l’art, collectionneurs et amateurs éclairés. Quant au grand public, il a également été conquis par « Art Elysées », pour son côté à la fois authentique, excentrique et surtout hors des sentiers battus.
En se distinguant des autres manifestations consacrées à l’art moderne et contemporain, « Art Elysées » souhaite ainsi participer au dynamisme de Paris, comme centre d’échanges culturels, essentiel dans le cadre de la globalisation du marché de l’art. Le succès remporté l’an dernier devrait donc se confirmer cet automne.
Le comité de sélection, présidé par Baudouin Lebon, directeur artistique d’ « Art Elysées » et acteur de premier plan au sein de la communauté artistique, veille à garantir qualité, intérêt et rareté des oeuvres exposées.
Celles-ci répondent, en effet, à une série de critères définis par l’ensemble des organisateurs, dont font partie notamment de nombreux galéristes français et étrangers.
L’an dernier déjà, l’esprit de cette nouvelle foire dédiée à l’art a défrayé la chronique. Et pour cause : par le caractère inédit et exigeant de l’événement, les organisateurs ont d’emblée emporté l’adhésion d’un grand nombre de professionnels de l’art, collectionneurs et amateurs éclairés. Quant au grand public, il a également été conquis par « Art Elysées », pour son côté à la fois authentique, excentrique et surtout hors des sentiers battus.
En se distinguant des autres manifestations consacrées à l’art moderne et contemporain, « Art Elysées » souhaite ainsi participer au dynamisme de Paris, comme centre d’échanges culturels, essentiel dans le cadre de la globalisation du marché de l’art. Le succès remporté l’an dernier devrait donc se confirmer cet automne.
Pour la 2ème édition d’ « Art Elysées »,
du 23 au 26 octobre 2008 sur les Champs Elysées, des pochettes de disques réalisées par Andy Warhol seront présentées.
Une occasion de découvrir une autre facette du pape du Pop Art. On croit tout connaître de l’œuvre d’Andy Warhol. Mais les experts de la vague Pop Art sont formels : le parcours artistique d’Andy Warhol est si atypique qu’il réserve toujours des surprises. Ainsi a-t-il été un créateur de pochettes de disque de référence. Et ce, dès le début des années 1950…
A l’occasion d’ « Art Elysées », du 23 au 26 octobre 2008, le plus important collectionneur de pochettes signées Warhol, lèvera le voile sur cette facette méconnue du pape du Pop Art. « En 1996, alors que je chinais sur le marché aux puces de Montréal, mon attention fut attirée par une pochette illustrée d’un portrait de Paul Anka. Cela ressemblait à du Andy Warhol, ce que confirma le crédit porté au dos de la pochette. J’en connaissais deux autres : celle des Stones, montrant une paire de jeans arborant une véritable fermeture éclair, et celle pour le Velvet Underground présentant une banane en autocollant, que l’on invitait à retirer pour en voir l’intérieur par la mention Peel slowly and see », raconte le collectionneur.
Mais ces trois pochettes ne sont pas les seules signées Warhol. Loin de là ! Le Museum de Pittsburgh, consacré à l’œuvre de Warhol, a comptabilisé 23 pochettes de disques réalisées par l’artiste. Ces pochettes illustrent des disques d’Aretha Franklin, Liza Minnelli, Miguel Bose, mais aussi des disques
de jazz avec Kenny Burrell, Count Basie ou encore Artie Shaw. Il a donc poursuivi ses investigations et sa collection, allant jusqu’à répertorier et posséder une soixantaine de pochettes à ce jour. Sa pochette la plus rare ? Une de 1963, réalisée par Warhol dans sa cuisine et à 75 exemplaires seulement : c’était huit mois avant l’ouverture de la Factory et cette pochette s’inspire d’une affichette de supermarché.
Aujourd’hui, Il poursuit ses recherches, car il a pu démontrer que le travail de Warhol sur la pochette de disque a été régulier entre 1949 et 1987. Il est notamment en quête de la pochette d’un 45 tours de pianistes de jazz des années 1950…
Une occasion de découvrir une autre facette du pape du Pop Art. On croit tout connaître de l’œuvre d’Andy Warhol. Mais les experts de la vague Pop Art sont formels : le parcours artistique d’Andy Warhol est si atypique qu’il réserve toujours des surprises. Ainsi a-t-il été un créateur de pochettes de disque de référence. Et ce, dès le début des années 1950…
A l’occasion d’ « Art Elysées », du 23 au 26 octobre 2008, le plus important collectionneur de pochettes signées Warhol, lèvera le voile sur cette facette méconnue du pape du Pop Art. « En 1996, alors que je chinais sur le marché aux puces de Montréal, mon attention fut attirée par une pochette illustrée d’un portrait de Paul Anka. Cela ressemblait à du Andy Warhol, ce que confirma le crédit porté au dos de la pochette. J’en connaissais deux autres : celle des Stones, montrant une paire de jeans arborant une véritable fermeture éclair, et celle pour le Velvet Underground présentant une banane en autocollant, que l’on invitait à retirer pour en voir l’intérieur par la mention Peel slowly and see », raconte le collectionneur.
Mais ces trois pochettes ne sont pas les seules signées Warhol. Loin de là ! Le Museum de Pittsburgh, consacré à l’œuvre de Warhol, a comptabilisé 23 pochettes de disques réalisées par l’artiste. Ces pochettes illustrent des disques d’Aretha Franklin, Liza Minnelli, Miguel Bose, mais aussi des disques
de jazz avec Kenny Burrell, Count Basie ou encore Artie Shaw. Il a donc poursuivi ses investigations et sa collection, allant jusqu’à répertorier et posséder une soixantaine de pochettes à ce jour. Sa pochette la plus rare ? Une de 1963, réalisée par Warhol dans sa cuisine et à 75 exemplaires seulement : c’était huit mois avant l’ouverture de la Factory et cette pochette s’inspire d’une affichette de supermarché.
Aujourd’hui, Il poursuit ses recherches, car il a pu démontrer que le travail de Warhol sur la pochette de disque a été régulier entre 1949 et 1987. Il est notamment en quête de la pochette d’un 45 tours de pianistes de jazz des années 1950…
INFORMATIONS PRATIQUES
Lieu : Pavillons sur l’avenue des Champs Elysées, Paris 8ème
Du Petit Palais à la place de la Concorde
Ouverture au public : du Jeudi 23 au Dimanche 26 octobre,
tous les jours de 11H00 à 20H30
Thématique : Art Moderne et Contemporain
Exposants : galeries françaises et étrangères.
Moyens d’accès :
- Métro : Lignes 1 ou 13 Champs-Elysées-Clémenceau et Lignes 1, 8 ou 12 Concorde.
- Bus : 28, 32, 42, 72, 73, 80, 83, 93.
- Parkings : Rond-point des Champs-Elysées, Invalide, Concorde.
- Velib : Borne avenue Dutuit.
Prix d’entrée : 15 euros
Tarif catalogue : 20 euros
Site Internet : www.artelysees.fr
Du Petit Palais à la place de la Concorde
Ouverture au public : du Jeudi 23 au Dimanche 26 octobre,
tous les jours de 11H00 à 20H30
Thématique : Art Moderne et Contemporain
Exposants : galeries françaises et étrangères.
Moyens d’accès :
- Métro : Lignes 1 ou 13 Champs-Elysées-Clémenceau et Lignes 1, 8 ou 12 Concorde.
- Bus : 28, 32, 42, 72, 73, 80, 83, 93.
- Parkings : Rond-point des Champs-Elysées, Invalide, Concorde.
- Velib : Borne avenue Dutuit.
Prix d’entrée : 15 euros
Tarif catalogue : 20 euros
Site Internet : www.artelysees.fr