Présentation de l’exposition
© FLORE, Courtesy Galerie Clémentine de la Féronnière
L’Académie des beaux-arts accueillera du 28 octobre au 29 novembre 2020 l’exposition L’odeur de la nuit était celle du jasmin de Flore, lauréate du Prix de Photographie Marc Ladreit de Lacharrière en partenariat avec l’Académie des beaux-arts en 2018.
Indochine, mousson, moiteur, beauté du Mékong et dangers de la nuit… les récits des grands-parents de l’artiste photographe Flore, ayant vécu à la même époque et sur les mêmes lieux que Marguerite Duras, ont baigné son enfance d’insondables mystères qui nourrissent aujourd’hui un imaginaire commun entre elle et l’écrivaine.
Après Lointains souvenirs, sa première série autour de l’adolescence de Marguerite Duras, Flore continue à « inventer photographiquement » une Indochine mythifiée. Elle propose ici un voyage dans le temps et agrandit le monde d’espaces insoupçonnés, en saisissant quelque chose qui n’a pas nécessairement existé mais dont on accepte le postulat, cette vie qui aurait été vécue il y a presque 100 ans et que Marguerite Duras raconte dans ses livres.
Cette exposition sera constituée d’une cinquantaine de tirages argentiques. Argentiques réalisées par l’artiste en chambre noire, teintés au thé et cirés, ainsi que d’héliogravures, de tirages pigmentaires couleur sur papier japonais et de pièces uniques sur feuille d’or.
Le commissariat de cette exposition est confié à Sylvie Hugues.
Indochine, mousson, moiteur, beauté du Mékong et dangers de la nuit… les récits des grands-parents de l’artiste photographe Flore, ayant vécu à la même époque et sur les mêmes lieux que Marguerite Duras, ont baigné son enfance d’insondables mystères qui nourrissent aujourd’hui un imaginaire commun entre elle et l’écrivaine.
Après Lointains souvenirs, sa première série autour de l’adolescence de Marguerite Duras, Flore continue à « inventer photographiquement » une Indochine mythifiée. Elle propose ici un voyage dans le temps et agrandit le monde d’espaces insoupçonnés, en saisissant quelque chose qui n’a pas nécessairement existé mais dont on accepte le postulat, cette vie qui aurait été vécue il y a presque 100 ans et que Marguerite Duras raconte dans ses livres.
Cette exposition sera constituée d’une cinquantaine de tirages argentiques. Argentiques réalisées par l’artiste en chambre noire, teintés au thé et cirés, ainsi que d’héliogravures, de tirages pigmentaires couleur sur papier japonais et de pièces uniques sur feuille d’or.
Le commissariat de cette exposition est confié à Sylvie Hugues.
Flore
Flore est une artiste photographe franco-espagnole née en 1963. Ses séries au long cours souvent réalisées lors de voyages ont été acquises ou présentées par des institutions prestigieuses comme le Musée du Petit Palais, le MMP+ de Marrakech, le Mémorial de Rivesaltes, la BnF, ainsi qu’à l’occasion de foires internationales comme Paris Photo, Photo London, Fotofever, Marrakech Art Fair, Daegu Art Fair ou la Snif Art Fair de Osaka. Par des procédés techniques sophistiqués, Flore façonne tout autant qu’elle restitue le monde déployé sous ses yeux pour en extraire des images qui se confrontent au mystère du temps qui passe, à notre condition de mortels, à la fragilité des souvenirs et à la capacité de la photographie de créer de la vérité plus vraie qu’une réalité.
Flore est représentée par la Galerie Clémentine de la Féronnière/Paris, la Galerie 127/Marrakech, la Blanca Berlin Galeria/Madrid, la Galerie Wada-Garou/Tokyo et M.K.W Art Gallery/New-York.
Flore est représentée par la Galerie Clémentine de la Féronnière/Paris, la Galerie 127/Marrakech, la Blanca Berlin Galeria/Madrid, la Galerie Wada-Garou/Tokyo et M.K.W Art Gallery/New-York.