L’art de la calligraphie, « un jeu de caractères »
Cette présentation marque le début d’une collaboration régulière entre les deux institutions. Proposant une immersion unique au coeur d’un art traditionnel, les oeuvres présentées ont été réalisées spécialement pour le musée Guimet. Un certain nombre seront données au musée à l’issue de cet évènement, témoignage de générosité et de volonté de transmission au coeur de cette démarche commune.
Apparu au Japon au VIe siècle, l’art de la calligraphie, profondément influencé dans sa forme et son expression par les modèles chinois, évolue vers un style vraiment japonais abouti au cours du Xe siècle. Exprimant l’élan vital de l’artiste, la création calligraphique s’est perpétuée jusqu’à notre époque et repose sur la formation au pinceau de signes plus ou moins lisibles composés de lignes et de points. Des concours de calligraphie sont organisés chaque nouvelle année, témoignant encore aujourd’hui de la vivacité de cette pratique artistique, présente quotidiennement au Japon.
Un « art de l’encre et du papier vivant »
Sept catégories stylistiques réuniront poèmes classiques d’inspiration chinoise, calligraphies d’un caractère unique ou encore certaines formes littéraires purement japonaises (haïku, waka). Les avant-gardistes, dans leur libération du geste pour en privilégier l’esthétique, complèteront cette sélection, illustrant la coexistence de styles très divers et leur évolution au fil de l’histoire.
Le musée Guimet et la fondation Mainichi Shodokai espèrent ouvrir à un public occidental les portes d’un univers singulier : celui d’un « art de l’encre » et du papier « vivant », encore omniprésent aujourd‘hui dans l’archipel.
En lien avec cet accrochage des improvisations de calligraphie seront organisées au musée Guimet (rotonde du 4 e étage) proposant au public une rencontre plus intime et plus vivante de cette discipline.
Apparu au Japon au VIe siècle, l’art de la calligraphie, profondément influencé dans sa forme et son expression par les modèles chinois, évolue vers un style vraiment japonais abouti au cours du Xe siècle. Exprimant l’élan vital de l’artiste, la création calligraphique s’est perpétuée jusqu’à notre époque et repose sur la formation au pinceau de signes plus ou moins lisibles composés de lignes et de points. Des concours de calligraphie sont organisés chaque nouvelle année, témoignant encore aujourd’hui de la vivacité de cette pratique artistique, présente quotidiennement au Japon.
Un « art de l’encre et du papier vivant »
Sept catégories stylistiques réuniront poèmes classiques d’inspiration chinoise, calligraphies d’un caractère unique ou encore certaines formes littéraires purement japonaises (haïku, waka). Les avant-gardistes, dans leur libération du geste pour en privilégier l’esthétique, complèteront cette sélection, illustrant la coexistence de styles très divers et leur évolution au fil de l’histoire.
Le musée Guimet et la fondation Mainichi Shodokai espèrent ouvrir à un public occidental les portes d’un univers singulier : celui d’un « art de l’encre » et du papier « vivant », encore omniprésent aujourd‘hui dans l’archipel.
En lien avec cet accrochage des improvisations de calligraphie seront organisées au musée Guimet (rotonde du 4 e étage) proposant au public une rencontre plus intime et plus vivante de cette discipline.
Pratique
Accès musée Guimet : 6, place d’Iéna - 75116 Paris ; Tel : 01 56 52 53 00
Autour de l’exposition, tarifs, informations pratiques, et horaires : www.guimet.fr
Autour de l’exposition, tarifs, informations pratiques, et horaires : www.guimet.fr